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Cyberdépendance : la dépendance à l'ordinateur et à Internet, e-sante.fr

Cyberdépendance : la dépendance à l'ordinateur et à Internet, e-sante.fr
La cyberdépendance ou netaholisme désigne une dépendance à l'ordinateur et à Internet. Les jeunes sont les plus susceptibles de tomber dans ce piège (mais de nombreux adultes aussi). Comment savoir si mon enfant est véritablement cyberdépendant ? Comment savoir si mon enfant est cyberdépendant ? Le temps passé devant l'ordinateur témoigne évidemment du niveau de dépendance. Questionnaire pour déterminer le degré de cyberdépendance 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. De 0 à 3 réponses positives : petite tendance à devenir cyberdépendant. De 4 à 6 réponses positives : risque de développer une dépendance. De 7 à 10 : forte tendance à devenir dépendant. Initialement publié le 18/02/2008 - 01h00 et mis à jour par Isabelle Eustache, journaliste santé le 22/07/2013 - 16h36 Impact médecine, 14 février 2008.

Position du GREA sur l’hyperconnectivité | GREA - Groupement Romand d'Etudes des Addictions Introduction Le présent document présente la vision du GREA sur l’hyperconnectitivé (usage excessif des médias électroniques). Il fait suite à de nombreux échanges professionnels et s’appuie sur les résultats de la recherche en la matière. Les médias électroniques ont intégré le champ des addictions sans substance, appelé aussi «nouvelles addictions» ou «addictions comportementales». Au cours de ces dernières années sont apparues des offres de prévention et de traitement, et des spécialistes ont développé des compétences solides sur la question. C’est notamment le cas en Suisse romande, où se trouvent plusieurs centres spécialisés. Par le positionnement représenté dans ce document, les professionnels des addictions entendent participer à ce débat. Terminologie et définition Le GREA recommande d’utiliser les termes suivants: Hyperconnectivité pour aborder la problématique dans son ensemble. Compréhension de la problématique Le domaine des médias électroniques est en évolution constante.

La cyberdépendence, un mal silencieux. Note 3 la cyberdépendance - Paroles de femmes ................"Le portrait type de la personne cyberdépendante a évolué depuis quelques années. Autrefois on pouvait reconnaître majoritairement des hommes âgés de 25 à 35 ans, scolarisés, financièrement capables de se doter d'un ordinateur assez dispendieux et qui passaient un nombre incalculable d'heures devant l'écran de leur appareil. Maintenant, il semble y avoir une certaine parité entre les hommes et les femmes. La démarche des deux sexes, vis-à-vis d'Internet et de son utilisation, est cependant très différente. Les hommes cyberdépendants recherchent beaucoup de site reliés à la pornographie, à l'érotisme, aux rencontres affectives avec un aboutissement dans la sexualité. La dépendance affective et la compulsion dans le sexe semblent être les deux principaux moteurs qui nourrissent la cyberdépendance. Le phénomène du day trading est aussi en recrudescence. Mais si Internet était, principalement, une grosse agence de rencontre ? M. par Jean-Pierre Rochon M.

Digital detox, le jeûne des hyperconnectés Pour répondre au malaise généré par une connexion permanente, centres de thalasso et hôtels spa ont ajouté le sevrage numérique à leur menu. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Catherine Rollot Avant de plonger dans l’inconnu, son réflexe a été de lire un dernier mail. Un geste dérisoire puisqu’il ne pourrait pas y répondre. Puis, il a déposé ses armes numériques dans un délicat pochon orné d’un ruban bleu. A côté des bijoux, montres de luxe et liquidités entreposés par la clientèle fortunée, le trésor d’Eric Chesnel – un ordinateur portable et un smartphone somme toute banal –, 48 ans, n’avait rien d’extravagant. Prendre du recul par rapport à une « addiction » aux mails qui brouille les frontières entre sa vie professionnelle et sa vie privée, c’est l’objectif d’Eric Chesnel. En moyenne, un cadre reçoit au bureau 50 mails par jour. 70 % des Français vérifient leur messagerie toutes les cinq minutes, 78 % se connectent avant de dormir, à peine moins dès le réveil…

Accro au numérique ? Les nouvelles addictions... - La gazette de Danièle : "Des idées et des Arts..." Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent... Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La « e-dépendance » et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. Les premiers écrits sont nord-américains, Ivan Goldberg, suivi en 1996 par mes écrits français. Michael Stora :

Note 2 Dépendance aux écrans : une addiction de l'ère numérique Des pratiques en ligne très répandues et parfois addictives... Internet a fait naître de nouvelles modalités d’interaction ludique entre personnes. Les jeux en ligne et les réseaux sociaux connaissent un succès croissant auprès de toutes les tranches d’âge. 69% des 13-19 ans jouent régulièrement à des jeux vidéo (source : Etude Junior Connect, Ipsos Connect, 2015).Désormais, certains préfèrent même les interactions électroniques aux modes relationnels traditionnels. De véritables addictions liées aux écrans sont ainsi apparues. Elles relèvent des addictions dites "comportementales", comme :- la dépendance aux jeux d’argent et de hasard,- les achats compulsifs,- les addictions alimentaires ou à l’activité physique,- les dépendances sexuelles ou affectives... Comme tous ces comportements, l’usage excessif des écrans empêche la personne touchée de se consacrer à d’autres activités, et tend à provoquer des problèmes relationnels.

Note 1 Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Une enquête sur les loisirs devant écran (Internet, jeux vidéo et télévision) a été menée auprès de 444 élèves de 3e scolarisés dans l'ensemble des collèges publics et privés d'une grande ville du Nord de la France53(*). En bref, s'il existe bien une cyberaddiction, plus puissante que la dépendance à la télévision, qui commence à prendre des proportions inquiétantes, la solution est connue : il s'agit du contrôle des parents, qui disposent des moyens pour couper la connexion ou pour maîtriser les horaires de navigation. Selon M. * 52 « There is three kinds of death in this world.

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