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Les facteurs de motivation du personnel

Les facteurs de motivation du personnel
La motivation est ce qui incite un employé ou un groupe d'employés, ayant des besoins et des aspirations distinctes, à travailler en vue d'atteindre les buts de l'organisation avec plus de satisfaction. I/ L'analyse des facteurs de motivation La motivation des salariés étant un facteur déterminant pour augmenter la productivité du personnel, de nombreux auteurs ont essayé de cerner les facteurs de motivations qui pouvaient la favoriser. A) L'analyse de Taylor Taylor est l'un des premiers à analyser les rapports entre l'homme et son travail. Son analyse se base sur le postulat que "l'homme est un être rationnel" dont le but est davoir un salaire pour satisfaire ses besoins. B) L'analyse de Mayo Mayo réagit contre la conception rationnelle de Taylor qui oublie la dimension humaine du travailleur. C) L'apport de l'analyse Maslow Maslow complète l'analyse de Mayo par une pyramide des besoins à cinq niveaux. II/ Les techniques de motivation A) Les mesures de motivation financières 1. 2. 3.

Théorie de l'auto-détermination et motivation Emmanuel G. BLANCHARD, Claude FRASSON Laboratoire HERON, Département d’Informatique et Recherche Opérationnelle, Université de Montréal 1. 1. Depuis maintenant près de trente ans, la recherche sur les Systèmes Tutoriels Intelligents (STI) s’est portée sur des moyens de créer des systèmes informatiques adaptatifs pour enseigner, de manière efficace, une multitude de domaines. Cet article est organisé de la manière suivante : dans la partie qui suit, nous présentons des travaux récents liés aux STI et ayant porté sur la motivation. 2. 3. Dans ce qui suit, nous décrivons plus en détail ces deux principes. 3.1. Les recherches distinguent motivation intrinsèque et extrinsèque. La SDT précise ces types de motivation : elle considère l’amotivation (l’absence totale de motivation), et elle segmente la motivation extrinsèque en quatre sous-catégories. Tableau 1. Selon la SDT, les quatre types de régulation de la motivation extrinsèque sont : 3.2. 3.2.1. 3.2.2. 3.2.3. 4. 4.1.

L’intérêt de la négociation raisonnée en situation difficile et complexe I. Qu’est-ce que la négociation raisonnée La négociation raisonnée, ou méthode gagnant/gagnant est fondée sur la coopération. Elle a été mise au point par les professeurs Fisher et Ury de Harvard. Ne pas confondre le différend à résoudre (provenant des écarts de besoins, de valeurs) et les personnalités face à face pour encourager les acteurs à traiter le problème, à faire preuve de compréhension ; Se concentrer sur les intérêts (divergents et communs) et les besoins ; Chercher des options c’est-à-dire des solutions pouvant apporter aux parties prenantes un bénéfice mutuel, une satisfaction de leurs besoins ; Retenir des critères de décision objectifs, non soumis aux influences des parties, faciles à mettre en œuvre, clairs, acceptés Un processus à suivre. 1. Il va s’agir de : Ainsi, il devient déjà possible d’augmenter la valeur totale de ce qui pourra être gagné. 2. On tiendra compte du nombre d’interlocuteurs, de leur pouvoir de décision, de leur degré d’expertise. 3. 4. 5. 6. II. 1.

Grille de BLAKE et MOUTON Le modèle de Blake et Mouton est un outil qui permet de cartographier rapidement et cerner les styles génériques de management. Cette matrice s'articule autour de 2 axes : l'intérêt pour la production (ou les résultats) en abscisses, et l’intérêt pour l'élément humain en ordonnées. La grille est découpée en 9 valeurs pour chaque axe. Le résultat de cette analyse est la mise en valeur de 5 styles prédominants de manager (le premier chiffre donne la valeur pour le degré d'orientation "production", le second pour l'humain) : (1-1) "Laisser faire" : le partisan du management laxiste. Ce profil évite toute situation difficile (conflits, confrontations...). (1-9) "Social" : les collaborateurs sont au centre de ses préoccupations. (5-5) "Intermédiaire" : la voie de l'équilibre entre orientation vers l'humain (prise en compte des besoins psychologiques) et résultats. (9-1) "Centré sur la tâche" : un style autoritaire centré sur la production au détriment de la prise en compte de l'humain. Keyros

6 styles de leadership et leurs effets | Coaching de dirigeant Le leadership, ce qui fait un bon leader, c’est un ensemble de qualités personnelles et de compétences relationnelles. Nous avons vu celles répertoriées par Goleman, Boyatzis et McKee dans l’article Leadership : quelles sont vos qualités de leader. Restons avec Daniel Goleman pour voir quels styles de leadership il a identifiés, et décrits dans la Harvard Business Review*. Cet article inaugure une série sur le Leadership. Voici ces 6 styles de leadership, 6 approches différentes : Leader Directif (Coercive) Leader Chef de file (Pacesetting) Leader Visionnaire (Authoritative) Leader Collaboratif (Affiliative) Leader Participatif (Democratic) Leader « Coach » (Coaching) Précisons d’emblée que ces styles ne sont pas des types exclusifs, mais au contraire des tendances à combiner pour être un bon leader. Leader Directif (Coercive) C’est le style le plus autoritaire. Le leader directif laisse peu de place aux initiatives : il impose les actions à mener, sans expliquer la vision globale. A vous !

Le digital maintenant présent dans toutes les étapes de l'expérience d’achat 90% des consommateurs français interrogés par Digitas se rendent désormais sur Internet avant d’effectuer leur choix en magasin, pour consulter des comparateurs de prix ou des avis des consommateurs. Même si le magasin physique demeure le deuxième canal pour l’information produit, il est de plus en plus utilisé comme simple showroom par les consommateurs. C'est ce que dévoile Digitas France, en collaboration avec VivaKi Advance, dans son second baromètre de l’Expérience Marchande Connectée, qui met en lumière les évolutions des comportements des consommateurs et de leurs attentes concernant leur expérience d’achat. Internet consulté avant et pendant l’achat en magasin En effet, ce sont maintenant 55% des consommateurs français qui utilisent un Smartphone, et 59% de ces possesseurs de smartphone l’utilisent même à l’intérieur du magasin afin de comparer les prix ou d’obtenir des avis et des informations complémentaires. Intégrer davantage d’outils technologiques in-store

bouhmouch à cor et écrit: LE MODELE EKB DU COMPORTEMENT D’ACHAT ET SES LIMITES Un individu a l’intention d’acheter un micro-ordinateur afin de se connecter à internet. Loin de se lancer sur un coup de tête, il consulte les sites internet spécialisés, fait le tour des magasins, compare les prix, interroge les vendeurs. Finalement, il opte pour un modèle assez cher de marque Sony… Mais à l'utilisation, il a l’impression d’avoir fait un mauvais choix. Il veut se rassurer auprès du technicien-vendeur. De là, ces questions : le consommateur a-t-il un comportement rationnel ? Processus de décision d’achat L'étude du comportement du consommateur est vitale pour l'entreprise en raison de son impact sur toutes les décisions marketing (stratégie, mix). Par comportement du consommateur, en effet, on entend « toutes les actions visant l'obtention et l'utilisation des produits, ainsi que les processus qui précèdent et suivent ces actions ». (2) Il s’agit d’un processus – qui doit être étudié en tant que tel, un processus de résolution d'un problème. Limites du modèle EKB

Le vendeur connecté : 2 compétences clés|Le blog du Manager commercial Julie Herman nous parle du point de vente connecté sur le blog de la stratégie marketing Qui dit point de vente connecté dit vendeur connecté. Quelles sont les compétences clés du vendeur connecté ? Si le point de vente se doit avant tout d’être un lieu d’expérience forte pour le client, si la théâtralisation de l’espace, la mise à disposition des outils digitaux y participent grandement, c’est l’expérience vécue par le client avec le vendeur qui va faire la différence. Le vendeur connecté devra maitriser deux dimensions. Le vendeur connecté est un expert C’est la condition sine qua non de sa crédibilité. Expert de son offre Replongeons-nous quelques années en arrière : il suffisait au vendeur de maitriser les principaux points techniques de son technique, parfois même de relire rapidement la fiche technique du produit, pour faire illusion auprès d’un client profane, facilement impressionné par quelques termes techniques débités avec assurance. Expert de l’offre concurrente Ecoute du client

Le CROSS CANAL, c’est une révolution ! Que ce soit sur son ordinateur, sa tablette ou son smartphone, un consommateur prépare aujourd’hui 8 fois sur 10 son achat en ligne avant de se rendre en magasin. A priori, on pourrait penser que les grandes enseignes de distribution qui possèdent, pour la quasi-totalité d’entre elles, quel que soit leur secteur d’activité (habillement, alimentation, etc.), un réseau de distribution physique et un réseau de distribution virtuel (un site Internet marchand sur lequel il est possible d’acheter tout ou partie de ce qui est disponible en magasin), sont bien préparées à ce nouveau comportement mais seuls 17% des consommateurs trouvent à l’heure actuelle qu’elles rendent, dans les faits, agréable le passage d’un canal à un autre (1). Pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs, elles doivent par conséquent changer en profondeur leur stratégie de distribution et penser désormais CROSS CANAL ! Qu’est-ce qu’un consommateur cross-canal ? Xavier Schneider (Illustration par Eric Taccone) Notes

Cross canal Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le cross-canal est l’adoption de nouveaux comportements par les clients, qui opèrent un changement de canal durant leur processus de décision, alors même qu’ils étaient tenus auparavant de réaliser l’ensemble des étapes de ce processus (identification du besoin, recherche des informations, évaluation des alternatives de choix, choix, évaluation post-achat) auprès du seul canal disponible[1]. Définition et concept [modifier | modifier le code] Depuis les années 2000, attirées par les opportunités de croissance offertes par internet, de nombreuses entreprises de distribution, issues de l’économie dite « traditionnelle », ont développé des sites internet parallèlement à leurs points de vente. On utilise ainsi le terme « multi-canal » pour désigner l’utilisation de plusieurs canaux par une même entreprise sans lien particulier entre eux[2]. Passage du multi-canal au trans-canal en passant par le cross-canal [modifier | modifier le code]

L'Art de l'argumentation 1/2 | Le blog du Manager commercial L’Art de l’argumentation 1/2 Par Laurent Boby le 10 septembre 2018 Négociation 1 Commenter Pour que les clients et clientes nous écoutent, nous entendent et nous comprennent, il faut parler leur langage. Voyons ici si vous savez parler le « Client » ou comment bien traduire vos arguments. L’argumentation selon la méthode A.P.B. A comme Avantages : L’avantage caractérise et définit ce que vous proposez – en quoi cela consiste. P comme Preuves : La preuve conforte et confirme l’avantage – en quoi c’est vérifiable. B comme Bénéfices : Le bénéfice est le résultat de l’avantage du point de vue de l’autre partie – ce que cela leur permet de faire ou obtenir. Avantage > Preuve > Bénéfice En version mémo-technique, les termes qui rendent votre argumentation persuasive sont : Voici ce que nous proposons et comment nous le faisons, … [Avantage]Comme vous pouvez le constater, … [Preuve]Ce qui vous permet de … [Bénéfice] « Et alors ? Commenter 1 Articles sur le même sujet Lire la suite Oser dire non à ses clients

L’éclatement de la relation client à l’heure des réseaux sociaux - ZDNet Apps, chat, twitter, facebook, forum en ligne (etc.) : le territoire de la communication, du marketing et du relationnel de l’entreprise s’est étendu. Si la “relation client digitale” ramène naturellement les logiques d’innovation “user centrics” au centre d’un dispositif par ailleurs multicanal, quels sont les bons outils à disposition des grands comptes pour épouser les exigences d’instantanéité, la versatilité des usages et la multiplication des supports ? Comment s’organiser ? Faut-il adopter une posture “test and learn” dans ses services ? Le Social Media Club a organisé un atelier chez Solocal Group pour faire le point sur les défis nécessairement technologiques, communautaires et organisationnels que continue de poser la digitalisation de la relation client. L’éclatement de la relation client à l’heure des réseaux sociaux Quelle transformation digitale pour la relation client ? Les réseaux sociaux transforment la relation client Rester réactif 24 heures / 24 ? Les forums.

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