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La g n ration Y n'existe pas

La g n ration Y n'existe pas
Publié le 02/12/2010 Attention, cet article a été publié le 02/12/2010. Ce dispositif d'archives vous donne accès à l'ensemble des publications du site FocusRH. Professeur en gestion des ressources humaines à Rouen business school, Jean Pralong a réalisé une étude sur l’image du travail selon la génération Y. Pour quelles raisons avez-vous réalisé cette étude sur la génération Y ? La question des générations revient sur le devant de la scène tous les 25 ans, avec un circuit de production assez classique qui démarre généralement par des recherches dans les universités nord-américaines, puis de la littérature que s’approprient les consultants. Comment avez-vous procédé ? Nous avons constitué quatre échantillons distincts composés d’étudiants et de jeunes cadres de la génération Y (20-30 ans), de cadres de la génération X (30-45 ans) et de cadres baby-boomers. Quels résultats avez-vous obtenus ? L’étude a montré que la génération Y n’existe pas. Propos recueillis par Yves Rivoal Related:  funkythony

Une ?tude r?v?le le "coup de blues" de la G?n?ration Y Une étude réalisée par Opinion Way pour le compte du cabinet d'audit KPMG révèle que les « digital natives », ont été touchés de plein fouet par la crise économique. Elle met également en évidence un paradoxe : si le le désir d'indépendance des Gen Y est fort, ces derniers plébiscitent également la sécurité d'emploi. Cette étude réalisée en septembre auprès d'un échantillon représentatif de 1008 jeunes (étudiants et actifs) de 18 à 30 ans met à jour le "blues" de la Génération Y. Nés entre la fin des années 1970 et le début des années 1990, ceux-ci seraient plus de 50% en moyenne a estimé qu'ils ont été personnellement affectés par les effets de la crise. Augmentation du stress (30% en moyenne), perte des illusions quant à la possibilité de faire une belle carrière (30%), difficultés pour trouver un stage (45%) ou stagnation des revenus pour 45% des actifs : le moral des Digital Natives n'est pas au beau fixe, selon cette enquête. Crédit photo | Dreamstime Igorigorevich

Mythes et réalités de la génération Y | Le blog groupe Reflect Mythes et réalités de la génération Y Il ne manque pas de billets et d’alerte pour nous dire tous les jours que les petits jeunes arrivent, pensent et font différemment, sont nativement digitaux, sinon ont muté du cerveau. Il est en tous les cas certain que toute marque ou organisation qui ne s’intéresserait pas à la première vraie génération digitalisée prend un risque de décalage inconsidéré d’avec ses publics. Derrière la mythologie, il est bon parfois de descendre sur terre et de constater par soi-même. L’occasion s’est très récemment présentée à moi puisqu’une école d’ingénieur a souhaité que j’évangélise toute une promotion aux joies des médias sociaux, problématique de la recherche d’emploi et de la modernité des réseaux sociaux d’entreprise oblige. Ayant donc passé en revue quelques 150 têtes bien faites, force est de constater que cette génération est effectivement parfaitement à l’aise avec les technologies, dégage une certaine confiance dans l’avenir et ses capacités.

Les talents de la génération y | Generation Y 2.0 Imaginez un monde « inversé » où tous nos principes de fonctionnement et de management seraient le contraire de ce que nous connaissons… Dans ce monde, les tuteurs ne seraient plus les seniors mais…les jeunes. Quelles capacités, talents pourraient-ils bien transmettre à leurs ainés ? La liste serait longue mais voici quelques talents liés à la culture Y : L’Ecologie Respecter son environnement et se respecter soi-même. à se recentrer sur eux, satisfaire leurs besoins, que cela n’a rien d’égoïste, bien au contraire. Le réseau Composer et compter avec les autres, développer et maintenir un réseau, faire partie d’une communauté pour partager, apprendre et se nourrir des autres. Le positivisme Voir le verre à moitié plein. L’assertivité Affirmer ses besoins dans le respect de l’autre et de la relation. L’empathie Se mettre à la place de l’autre afin d’accéder à sa vision des choses, ses ressentis, son système de pensée, pour mieux le comprendre et collaborer.

Génération Y en entreprise ? De nombreux préjugés plus qu'une réalité La preuve d’un véritable effet « générationnel » n’est pas rigoureusement apportée. Il convient de prendre de la distance avec les « représentations spontanées » sur la génération Y et de proposer aux managers une analyse rigoureuse. Crédits photo : shutterstock.com Depuis quelques années, de nombreux stéréotypes circulent sur la génération Y dans l’entreprise. « Capricieuse génération Y »1, « Comment bien manager les nouvelles générations »2, « Je suis de la génération Y, et alors ? La « génération Y » commence en 1975 En sociologie, le terme de « génération sociale » s’applique à un ensemble d’individus appartenant à la même tranche d’âge, qui évoluent au sein d’un même environnement géographique et culturel, et qui ont été confrontés à des réalités économiques ou politiques où ils ont expérimenté des avancées techniques, intellectuelles ou sociales dont les conséquences sont particulières pour eux du fait de leur âge. Crédits photo : D. Notons toutefois deux particularités françaises.

Mais qui sont les «digital natives»? Les ados d'aujourd'hui seraient-ils des (futurs) drogués aux écrans d'ordinateurs, laptops, netbooks et autres smartphones? Déjà cette étude de Pew Internet and American Life Project avait beaucoup fait jaser sur le sujet. D'après celle-ci, les ados américains délaisseraient les blogs au profit des réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter: seulement 14% déclarent avoir blogué en 2009, alors qu'ils étaient 28% en 2006. Une étude réalisée par les sociologues Elodie Kredens et Barbara Fontar (1) pour l’association Fréquence écoles, taille en pièces bon nombre d’idées reçues sur les digital natives. Geeks, vraiment? Certes, ils sont nés après Internet, et l’ont donc toujours connu. Le téléphone portable a largement envahi les cours de récré: la quasi-totalité des lycéens en a un, 61,1% des collégiens aussi, et même… 30% des petits en primaire. Dans la pratique, loin d’être scotchés à leurs écrans, «ils passent en moyenne 2 heures par jour sur le Net à la maison», estime Elodie Kredens.

Génération Y et inter-génération : l’âgisme, ce nouvel racisme La sélection du jour … apprendre aux jeunes qui apprennent aux vieux … De temps immémoriaux, les vieux ont appris aux jeunes qui ont appris aux vieux qui ont appris aux jeunes et ainsi de suite (à moins que ce soit l’inverse) … et ma boule de cristal me dit que cela … ne changera pas malgré les tentatives de mercantilisation des générations qui tendent à les enfoncer dans des caricatures. Derrière cette réflexion apparemment anodine et évidente qui consiste à dire que travailler ensemble vaut mieux que travailler les uns contre les autres, et au-delà de l’apparente simplicité qui en dérive du point de vue de l’efficacité de la société et de son simple fonctionnement, se pose en fait la véritable question soulevée fort à propos dans un document publié par la société de conseil Achieveglobal et trouvé sur le site Web d’une université américaine : les stéréotypes entre générations sont-ils une nouvelle forme de racisme dénommé « âgisme ». vidéo de JP Déranlot sur l’inter génération WordPress:

Mais que veulent les ‘Digital Natives’ de la génération Y ? Selon Wikipedia : “La Génération Y comprend les enfants nés entre 1979 et 1994. Pour ce qui est de l’Europe, on considère que les enfants qui n’ont aucune mémoire de dictature ou de communisme sont des “Y”, puisque les autres montrent habituellement un caractère attribuable à la génération X. Ils ont confiance en eux, sont optimistes, indépendants, orientés sur les objectifs, maîtres d’Internet et des ordinateurs personnels (PCs), instruits et perspicaces.” Pour faire simple, disons que la génération Y représente la relève, ces fameux “jeunes” qui vont remplacer les baby boomers qui partent à la retraite. Beaucoup spéculent sur leurs aspirations mais peu le font aussi bein que Don Tapscott. Lors d’une récente conférence, le Don en question a ainsi très bien résumé l’état d’esprit de cette “net generation“ (Don Tapscott discusses the “net” generation) : Voilà en quelques lignes les traits de caractère principaux de cette nouvelle génération d’employés. Peut-être ceci peut-il vous aider :

Le mythe de la génération Y La génération Y existerait : Jean-François Fiorina l'a rencontrée. "Depuis cinq ans, je suis témoin d'un changement radical de comportement de mes étudiants, raconte le directeur de l'ESC Grenoble. La fracture numérique qui les sépare des plus anciens est réelle et en fait des futurs cadres d'un nouveau genre." Comme Jean-François Fiorina, ils sont nombreux à relater l'apparition de ces nouveaux salariés, rassemblés sous l'étrange appellation de génération Y. "Anti-yologues" Professeur de gestion des ressources humaines à la Rouen Business School, Jean Pralong a assisté, sceptique, à cette déferlante médiatique. Dans sa quête de vérité scientifique, Jean Pralong s'est trouvé quelques alliés, favorisant l'émergence d'un nouveau courant : les "anti-yologues". Mode d'emploi Selon Jean Pralong, tout est affaire de contexte. Dès lors, quelles sont les fameuses règles à faire appliquer ? 1.

Gen Y: I Wanna Hold Your Hand In a rousing presentation this summer at ILTA09, Jason Ryan Dorsey gave us a terrific overview of how the presence of as many as four generations in the workplace at once can lead to tensions or opportunities, depending on the quality of their management. The generational differences he described in his talk were quite striking. For example, he contrasted the boomer style (i.e., just leave me alone to get my job done) with the Gen Y need for constant attention and approval. In particular he spoke of the Gen Y tendency to engage their managers constantly, seeking feedback on their work. When I heard this, I was initially dismissive of these folks who seemed to need to have their hands held at the office. The Gallup organization recently tested the impact on employee engagement of three different management styles: (1) my manager focuses on my strengths, (2) my manager focuses on my weaknesses, and (3) my manager ignores me. Those Gen Y folks may be on to something.

Faut-il être plus directif avec la génération Y ? Les clichés foisonnent autour du management des moins de 30 ans dans l'entreprise. Nés après 1978-80, on les appelle, de colloques en conférences, la génération "Y"...une génération dite "ingérable" et "qui n'en fait qu'à sa tête", à en croire bon nombre chefs d'entreprises et de DRH. Tout simplement parce qu'ils demandent beaucoup d'énergie et d'investissements. Certainement plus que la génération précédente, les X, nés entre 1960/65 et 1978-80, qui se débattent chaque jour pour rester adaptés aux changements de la société qui vieillit, créée par les baby boomers. Et si plutôt qu'un effet de génération "Y", il s'agissait d'un nouvel enjeu culturel et du symptôme de mutations de notre société ? Ces jeunes gens sont souvent présentés comme émotifs, critiques, opportunistes, entreprenants et impatients, voire parfois cossards et "perso", faisant passer leur vie privée au premier rang. Des "adultes rois" Et s'ils étaient plutôt des "enfants rois" devenus des "adultes rois" ?

Generation Y for Dummies Remember that time you were talking to the Generation X-aged employee in your department and referred to punch cards and he or she responded with a blank stare? “We recorded digital information on them through punch-outs,” you explained to the clueless face before you, “and then developed programs to read the data and … Oh, forget it.” Well, imagine trying to explain to the new 23-year-old hire what that 5.25-inch slot in an old computer is for, because theres going to be a lot of that in the next few years as the Generation Y work force hits your IT department, bringing along their unique combination of gifts and aggravations. Generation Y workers have a reputation for experiencing boredom and frustration with slow-paced environments, traditional hierarchies and even slightly outdated technologies—that is, almost everything common in most workplaces. A common reaction of other workers to that frustration is aggravation: “Why do we need to adjust to them? How Generation Y is different Dr.

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