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Albert Jacquard démonte le concept de 'Propriété Intellectuelle'

Albert Jacquard démonte le concept de 'Propriété Intellectuelle'

Houellebecq sous licence Creative Commons ! La carte et le territoire est le dernier roman de Michel Houellebecq et l’un des plus attendus de la rentrée littéraire 2010. Or le 2 septembre 2010, avant même sa parution le 3, le journaliste Vincent Glad révélait que l’œuvre était entachée d’un plagiat de Wikipédia (en l’espèce des articles sur Frédéric Nihous, la mouche domestique et Beauvais). Dès le 6 septembre, Michel Houellebecq répliquait dans une vidéo de Joseph Vebret. Une qualification juridique : l’œuvre composite La qualification juridique d’œuvre composite est décrite dans l’article L. 113-2 alinéa 2 du Code de la propriété intellectuelle (CPI) : Est dite composite l’oeuvre nouvelle à laquelle est incorporée une oeuvre préexistante sans la collaboration de l’auteur de cette dernière. La carte et le territoire est de manière incontestable une œuvre nouvelle de Michel Houellebecq, œuvre à laquelle il a incorporé, sans collaboration de leurs auteurs, des contributions préexistantes de l’encyclopédie Wikipédia.

ChevalDeuxTrois: ses vidéos LES NAVETS BLANCS EMPÊCHENT DE DORMIRRachel LANG - fiction - 27'48 - France/Belgique - 2011 SYNOPSIS1. Trouver une explication rassurante à une insomnie : avoir mangé des navets blancs. 2. SYNOPSIS1. - Prix du jury 13th Belo Horizonte International Short Film Festival (BRÉSIL)- Prix INGMAR BERGMAN Festival international du film court d'Uppsala (SUÈDE)- 2e prix du Jury au festival Silence, on court ! - Festival International du Film Francophone (BELGIQUE) - Festival Internacional de Curtas de Belo Horizonte (BRÉSIL) 2011- Uppsala Kortfilmfestival (SUÈDE) - Internationale Kurzfilmtage Winterthur (SUISSE) - Festival Media 10/10 (BELGIQUE)- Internationaal Kortfilmfestival Leuven (BELGIQUE) CHEVALDEUXTROIS et STEMPEL, avec l’aide du centre national du cinéma et de l'image animée, du centre du cinéma et de l’audiovisuel de la communauté française de Belgique, de l'agence culturelle d'Alsace, de la communauté urbaine de Strasbourg et de Francetélévisions

Un nombre peut-il être illégal ? [Vidéo] Mardi 14 mai Vidéo - 14 mai 2013 :: 16:30 :: Par Axel-Cereloz Pourquoi un nombre peut-il être illégal ? Comment peut-il l’être ? La question peut paraitre saugrenue et il semble étrange de se la poser, un nombre, en apparence, ne semble pas pouvoir être légal ou illégal. A partir de ce constat, on peut donc estimer que toute donnée numérique est représentée par un nombre. Sous cette explication un brin compliquée se cachent de vraies questions de droit. Voici la vidéo de Numberphile qui explique assez clairement la chose en prenant l’exemple de leur propre nom. Tags: informatique , Loi , mathématiques , nombres , protection

Pirates De l'Internet, Unissez-Vous ! « Mais qu’est-ce que tu fous encore devant ton ordi ! N’oublie pas que tu m’avais promis d’aller avec moi au MAXXI ! Remue-toi, on est déjà en retard… » Fichtre alors, je ne m’en souvenais effectivement pas ! De plus ou moins bonne grâce me voici donc en train d’accompagner N. au MAXXI. Mais qu’est-ce donc que ce MAXXI ? Ceci étant dit, j’étais quand même curieux de voir ce que donnait ce musée. Je confirme. Mais force est de constater que cela ne fait pas le mien. Finalement, l’intérêt principal reste encore de partager cela avec quelqu’un en lui demandant à chaque fois ce qu’il en pense. Tiens, voilà justement N. qui me demande mon impression générale au sortir de la dernière salle. Et c’est à ce moment-là que je remarque une bien étrange affiche qui recouvre tout le mur de la cafétéria du musée. Elle est signée de l’artiste Miltos Manetas et n’avait pas encore été traduite en français. Pirates de l’Internet, unissez-vous ! Pirates of the Internet Unite!

La symphonie de l’open source » Article » OWNI, Digital Journalism Alors que les grandes oeuvres symphoniques sont tombées dans le domaine public, leurs arrangements et enregistrements disponibles dans le commerce sont toujours régentés par le copyright. Musopen ouvre une brèche pour libérer ces trésors culturels. Que les amoureux de la musique prennent note : la bibliothèque de musique classique libre de droits Musopen a besoin de vous pour libérer bon nombre de symphonies emprisonnées par le copyright. Musopen cherche à résoudre un problème bien difficile : alors que les symphonies écrites par Beethoven, Brahms, Sibelius ou encore Tchaïkovsky sont tombées dans le domaine public, de nombreux enregistrements et arrangements des ces oeuvres restent sous le coup du copyright. Crowdfunding symphonique Pour en finir avec cette injustice, Musopen demande donc à sa communauté de se rassembler pour pouvoir embaucher un orchestre de niveau international afin d’enregistrer de superbes interprétations de ces symphonies. Que le partage se fasse !

[ITW] Didier Lockwood: “Internet, c’est une vraie bouée de sauvetage” » Article » OWNImusic, Réflexion, initiative, pratiques Entretien avec le jazzman français Didier Lockwood, au cours duquel sont abordés les thèmes de la création artistique, de l'éducation musicale, de la valeur de l'art, mais aussi sa mission auprès du ministre de la Culture. Didier Lockwood est l’un des jazzmen français ayant contribué à faire reconnaître l’école de violon jazz française dans le monde. Issu de la génération de Stéphane Grappelli et Jean-Luc Ponty, il est actuellement vice-président du Haut Conseil de l’Education Artistique et Culturelle. Nous l’avons rencontré pour évoquer son expérience avec le CMDL, l’école de violon et de musiques actuelles qu’il a créée il y a maintenant onze ans en parallèle de sa carrière très dynamique. Avant l’interview, Didier Lockwood confie qu’il travaille actuellement sur un projet intéressant. “Le ministre m’a mandaté pour cette mission qui consiste à travailler sur les conservatoires et j’ai demandé d’élargir cette mission à l’Education Nationale. 10-15 ans. Cela va de soi.

Libération du film d'animation Sita Sings the Blues Sita Sings the Blues (Sita chante le blues) est un long métrage d’animation entièrement écrit et réalisé par une seule et même personne, Nina Paley. Primé au Festival international du film d’animation d’Annecy en 2008, il met en parallèle la légende hindouiste du Râmâyana et une rupture amoureuse autobiographique, en mélangeant les techniques d’animation (dessins, papiers découpés, ordinateur 2D, utilisation d’images libres de droits…). Si vous aimez les dessins animés, l’Inde, le jazz et les histoires d’amour qui finissent mal (en général), ce film de 80 min devrait vous plaire. En voici la bande-annonce (via Framatube) : Loaded: 0% Progress: 0% —> La vidéo au format webm Sita Sings the Blues vient tout de juste de passer sous licence Creative Commons By-Sa, comme l’annonce Nina Paley dans un joli message que nous avons traduit ci-dessous. Cette « libération » est un heureux évènement et un élément de qualité à ajouter à la Culture Libre. Une dernière chose. Sita Sings the Blues Nina Paley

Petites précisions sur les licences Creative Commons par Nina Paley Les licences Creative Commons sont flexibles et puissantes. Extension naturelle de la GPL [1] à autre chose que du logiciel 10 ans plus tard, ce jeu de licences se présente comme le couteau suisse du droit d’auteur, déclinable en 6 versions de bases, plus quelques fantaisies récentes. Il en résulte que quelque soit votre envie, une déclinaison de licence Creative Commons devrait y répondre, seulement le résultat ne sera pas forcément « libre », une CC-By-NC-ND ne permettant par exemple pas de remixer une œuvre. Malheureusement, cette flexibilité et cette richesse de possibilités semblent bien souvent perdre les créateurs de tout poils désireux de remixer des œuvres libres sans prendre le temps d’en comprendre le fonctionnement. Enthousiasmée par la Culture Libre qu’elle découvrait à cette occasion, elle n’a cessé depuis d’alimenter des blogs dédiés à ce mouvement, gagnant sa vie par des conférences et des produits dérivés. Le fléau de mon existence Creative Commons’ Branding Confusion

Le contrat d’édition, ce fossile vivant… J’ai le très grand honneur aujourd’hui de publier un article sur le site Nonfiction, au sein d’un dossier "Pourquoi les éditeurs français courent à leur perte". Je remercie à la rédaction d’avoir accepté ce texte et tout particulièrement @Remimathis d’en avoir coordonné la réalisation. J’ai écrit cet article en réaction à une grande partie de la doctrine juridique dominante, qui répète à longueur de journées d’étude et d’articles que le contrat d’édition, tel qu’il existe dans le code, pourra s’adapter aux mutations provoquées par l’environnement numérique sans connaître de refonte de ses principes fondamentaux. J’ai la conviction que c’est faux et que le contrat d’édition est aujourd’hui à réinventer. J’ai écrit cet article il y a deux semaines. Je vous laisse lire la suite de l’article pour vous faire une idée, ici chez son auteur, ou sur le site Nonfiction, mis en regard avec d’autres contributions apportant un éclairage différent sur la question. Fish Fossil. Dinosaurs. Like this:

Philippe Aigrain » Le partage est légitime Le partage de fichiers représentant des oeuvres couvertes par le droit d’auteur entre individus sans but de profit a été rendu illégal au cours des 30 dernières années dans la plupart des pays et dans la plupart des cas. Cela ne m’empêche d’affirmer haut et fort que l’acte de prendre une oeuvre numérique qu’on a acquis et de la copier, la rendre accessible à d’autres ou leur envoyer est non seulement légitime, mais une contribution essentielle à l’établissement d’une culture commune. Je propose de défendre cette position en suivant les points suivants: montrer l’utilité du partage (délimité comme ci-dessus) et sa légitimité même sans autorisation des auteurs, montrer que lorsqu’on l’interdit, les pratiques culturelles appauvrissantes chassent les pratiques enrichissantes, et finalement affirmer que la prohibition du partage sera un jour vue comme un étonnant obscurantisme. 1. 2. 3. This post is also available in: English

Piratage ou usage commun ? « ®om's blog - Iceweasel Lorsqu’on parle de la loi Hadopi, c’est souvent pour mettre en évidence son caractère inapplicable ou pour dénoncer son atteinte aux libertés fondamentales. Il me semble que beaucoup sont d’accord pour « lutter contre le piratage, mais pas comme ça ». C’est ce que je pensais avant. Pour une fois, je voudrais évoquer les fondements mêmes de la guerre contre le partage, le « fléau » qu’elle s’est donné comme objectif de combattre. Un peu de science-fiction Supposons qu’on invente une machine capable de dupliquer les objets matériels, accessible à tous. De la même manière, si demain on inventait un téléporteur permettant à chacun de se déplacer d’un point du globe à un point autre instantanément et gratuitement, que deviendraient les entreprises de transport, les constructeurs automobiles et les stations-services ? Mettrions-nous tout ceci en œuvre afin de préserver les modèles économiques en place dans le monde d’avant ces innovations ? Internet Valeur Transition Financement Références

Mon commentaire pour alimenter la discussion... : by dzakyem Dec 29

autour de lintervention de Richard Stallman by drone Dec 19

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