Frugal Innovation: Low Tech, Simple Designs That Improve Lives Arou... Le bonheur au travail Qui, aujourd'hui, peut se vanter d'être heureux sur son lieu de travail ? Certainement pas les 31% de salariés "activement désengagés" – ceux qui ont une vision négative de leur entreprise et peuvent aller jusqu'à lutter contre les intérêts de cette dernière. Inspiré de l'armée, le modèle d'organisation du travail visant à contrôler l'ensemble des salariés en leur attribuant des tâches limitées a peu changé depuis la fin du XIXe siècle. Aujourd'hui, employeurs comme employés doivent s'accommoder d'un système archaïque qui ne correspond plus à personne : ni efficace, ni rentable. Toutefois, au milieu de l'apathie générale causée par ce dérèglement, certains refusent la fatalité et travaillent à l'entreprise du futur. Métro, boulot, bingo Que peuvent avoir en commun le ministère de la Sécurité sociale belge, le géant indien HCL et Chronoflex à Nantes, leader en France du dépannage de flexibles hydrauliques ?
3M Lead User Methodology for Innovation Décryptage : le Big data santé En santé, le Big Data promet également beaucoup, notamment dans le domaine de l’épidémiologie, puisqu’il permet d’analyser des données sur des échantillons cliniques plus grands, voire de se passer d’échantillon et de laisser émerger des tendances que l’on n’aurait pas imaginées à l’avance. Par exemple, en 2009, en pleine pandémie de grippe H1N1, le ministère américain de la santé a demandé l’aide de Google. En localisant sur une carte la position la provenance des mots-clés tapés dans le célèbre moteur de recherche, les ingénieurs ont pu dessiner et finalement anticiper l’évolution de l’épidémie. Google Flutrends était né, et l’outil a depuis été utilisé pour suivre d’autres maladies comme la grippe ou la dengue. Mais plus les données étudiées sont fiables, plus les résultats seront pertinents. Toutefois, la plus grande prudence est de mise. Au-delà des moyens légaux, il existe également de nombreux moyens techniques pour protéger l’accès aux données de santé.
Graine de flibuste | L'avenir se trouve à l'horizon humifère | Page 3 Lorsqu’on va faire un tour dans un supermarché (oui, malheureusement, ça m’arrive encore), on peut y voir un grand rayon dans lequel ne se trouve qu’un unique produit, décliné sous de nombreuses formes : le yaourt. Bien heureusement pour moi, c’est depuis longtemps un rayon dans lequel je n’ai plus besoin de me rendre. Parmis d’autres. Et j’en suis bien content, car si le produit lui-même est un très bon produit, les grandes quantités d’emballages, non recyclables, qu’il nécessite, sont une plaie pour notre environnement. Tant au niveau de sa production (plastique, donc pétrole), qu’au niveau du déchet lui-même. Une production de déchets que je contribue donc à réduire largement. Mais lorsqu’on va dans des vides-greniers, ou dans des magasins qui vendent de l’électroménager d’occasion, on remarque aussi la présence de nombreuses yaourtières d’occasion. J’achette des yaourts bios, mais surtout fermiers (très important !)
UP Magazine Alors que la recherche sur le sujet n’a jamais été aussi dense, l’impression 3D de cellules vivantes nourrit de grands espoirs ! Le procédé devrait en effet permettre de régler la pénurie liée aux dons d’organes, alors que l’on estime à 19 000 le nombre de personnes en attente d’une greffe en 2013 rien qu’en France. Et le Japon l’a bien compris et pourrait devenir rapidement le numéro un mondial dans le bio-printing. Les crédits seront partagés entre cinq instituts de recherche rattachés à l’Université d’Osaka et devrait concerner le développement de tissus humains réalisés par impression 3D. Ces cellules pourraient notamment servir à réparer des organes abimées ou tester l’efficacité de certains médicaments. De son côté, Tsuyoshi Takato, professeur à l’hôpital universitaire de Tokyo, annonce avoir développer la prochaine génération de bio-imprimantes 3D qui pourrait servir à la réalisation d’os et de tissus à la demande.Photo : Le Pr. L’imprimante 3D mise au point par l’équipe du Pr.
Innovation "frugale": comment créer des produits de qualité à bas coût Faire plus avec moins. Cet objectif sous-tend toutes les démarches d'innovation frugale à l'oeuvre dans les économies émergentes, comme le Brésil, la Chine, le Nigeria ou l'Inde. Pour les entreprises, l'idée consiste à "revenir à de la simplicité, en créant des produits qui sont peut-être un peu moins sophistiqués, mais qui répondent aux besoins des populations des pays émergents", explique Bénédicte Faivre-Tavignot, directrice exécutive à HEC de la chaire Social business, entreprises et pauvreté. >> A lire aussi: Objectif Mars: le "système D" ou l'innovation à l'indienne "L'approche participative" est la clef du succès, estime Olivia Verger-Lisicki. Popularisée par quelques grandes multinationales (Renault, L'Oréal, General Electric...), l'innovation frugale fait aujourd'hui son chemin dans tous les secteurs. Un service de paiement sur mobile >> A lire aussi: "Afrique: la téléphonie mobile, un acteur clé du développement" Un éclairage économe Une nouvelle génération de fours
Santé, médecine. Le corps sous protection Les 12 et 13 décembre, se tient à Paris un colloque consacré au santéisme. Organisée par le Centre d’études des techniques, des connaissances et des pratiques (CETCOPRA), cette rencontre va interroger les enjeux de l’autosurveillance généralisée par les capteurs, les diagnostics précoces, la quantification permanente de soi. Deux organisateurs posent ici le paysage de la « santé assistée » et pointent quelques questions : quelles figures du corps, du vivant et de la santé façonnent ces pratiques ? Quel est leur impact sur la médecine et les politiques de santé publique actuelles ? Le « santéisme » est une idéologie qui envahit de plus en plus nos sociétés contemporaines. La « vie saine » quantifiée ou normée ? Pensons, par exemple, aux podomètres, aux biocapteurs et aux appareils de mesure utilisés pour produire des données biologiques personnelles au sujet de l’alimentation, de l’état de santé, des prestations sportives ou sexuelles. Auto-surveillance ou conditionnement massif ?
Sommes-nous prêts pour le Jugaad ? Suite de l’interview de Navi Radjou, cialis vs viagra dosage equivalents co-auteur de L’innovation Jugaad : Redevenons Ingénieux, consultant en innovation & leadership, basé dans la Silicon Valley, membre du World Economic Forum Les pays occidentaux sont-ils prêts pour le Jugaad ? Nous avons vu ici les obstacles. Voyons maintenant les recommandations de Navi Radjou, éclairées par son expérience de terrain, au contact de petites et grandes entreprises, au Nord et au Sud : Learning by doing Le monde des affaires déteste les surprises et aime la generic viagra pay with paypal prévisibilité : les prévisions, les plans et les budgets destinés à « contrôler » l’avenir. De l’orchestre au groupe de jazz : un nouveau modèle d’innovation ! Nos modèles d‘innovation classiques sont conçus de haut en bas, conduit par les cadres supérieurs de façon rigide. Citation du livre : Tim Harford dans son livre Adapt : « Le monde est devenu beaucoup trop imprévisible et profondément complexe.
Les grandes tendances de l’innovation biomédicale au XXIe siècle - Les grandes tendances de l’innovation biomédicale au XXIe siècle 1Monsieur l’Administrateur, Mes Chers Collègues, Chers Amis, Mesdames, Messieurs, 2En premier lieu, je voudrais remercier Pierre Corvol et Philippe Kourilsky, ainsi que Mesdames et Messieurs les professeurs, de me donner l’opportunité de partager ma vision sur les grandes tendances qui, aujourd’hui, dessinent l’innovation médicale. Norman Augustine, l’ancien président de l’Académie nationale d’Engineering des États-Unis faisait remarquer que les institutions dédiées au savoir font preuve d’une espérance de vie bien supérieure à celle des gouvernements. 1 Abraham H. 3Les scientifiques estiment que l’univers a commencé à l’occasion d’un « Big Bang » remontant à plus de quatorze milliards d’années. 2 André Leroi-Gourhan, Évolution et techniques, vol. 3 Joseph Schumpeter, Theorie der wirtschaftlichen Entwicklung, 2e édition, 1926. 5De par sa complexité, la définition même de l’innovation est difficile à résumer simplement. Le paradoxe central Recherche biomédicale : espoir ou désespoir ?
"L'innovation frugale est un complément aux processus d'innovation occidentaux" Faire plus avec moins. Voilà la définition de l'innovation frugale, dont on parle surtout dans les pays émergents. Le concept commence à être adopté par des entreprises occidentales, qui y voient le moyen d'être plus agiles. Entretien avec Navi Radjou, consultant en innovation et co-auteur avec Jaideep Prabhu et Simone Ahuja de "L'Innovation Jugaad : Redevenons ingénieux!", publié aux éditions Diateino. En hindi, "jugaad" signifie ingéniosité, capacité à trouver des solutions nouvelles avec peu de moyens. Dans votre ouvrage, vous revenez sur le fait qu'en occident, les entreprises investissent parfois de lourdes sommes en R&D, sans le succès escompté. Il ne faut pas voir la situation en noir et blanc, mais se dire qu'il ne faut pas se reposer sur un processus unique d'innovation et s'intéresser à d'autres comme l'innovation frugale. Mais pourquoi s'intéresser à des concepts qui ont fait leurs preuves sur des marchés encore différents du marché occidental ?
5 innovations qui vont bouleverser le XXIème siècle Homo Sapiens Sapiens va sans grand doute accomplir plus de progrès techniques au XXIème siècle que pendant ses 100 000 premières années sur la planète. Passage en revue de 5 technos qui vont façonner notre siècle. Passage en revue de 5 technos qui vont façonner notre siècle : logiciels de reconnaissance des formes et comportements, véhicules autopilotés, logiciels de traduction, impression 3D, et appareils d’autodiagnostic médical. Les logiciels de reconnaissance faciale, reconnaissance des formes, des humeurs, logiciels d’anticipation comportementale. Grâce d’une part au perfectionnement croissant des capteurs en tous genres (caméras, micros, etc.) et d’autre part à l’immense puissance de calcul désormais disponible, les machines vont être en mesure de capter de plus en plus d’informations et de l’interpréter de façon de plus en plus fine. Viendront ensuite les visages. Les véhicules autopilotés : voitures et drones Notre ciel quant à lui s’apprête à être envahi par les drones.
Le calcul numérique, ça chauffe ! | Digital MIF « Jugaad » (*) ! Ainsi s’exclamerait Navi Radjou, le chantre franco-indien de l’innovation frugale, en découvrant les solutions des Français Qarnot Computing et Stimergy. Ces deux start-ups développent des infrastructures de cloud computing en rupture avec celles communément concentrées dans les data centers actuels. Paul Benoît, CEO de Qarnot Computing. Paul Benoît est le premier à être sorti du bois en fondant fin 2010 sa société Qarnot Computing implantée à Paris et Montrouge. Les différents composants d’un radiateur numérique. Le parc de Qarnot est aujourd’hui formé de 350 radiateurs numériques, dont 300 ont récemment été déployés dans des logements sociaux en collaboration avec la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP). Qarnot Computing destine son cloud HPC aux entreprises du secteur de la banque/assurance (simulation de risques bancaires par exemple), de la 3D (jeux vidéo, génération image de synthèse, architecture) ou encore des biotechnologies (simulation de protéine…).