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Bonjour Tristesse

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Philippe Meirieu : L’ennui à l’école : un véritable tabou ? La ministre de l’Éducation nationale a fait, dit-on un peu partout dans les médias, des maladresses de communication sur la réforme des collèges. Outre son attaque contre les « pseudo-intellectuels », elle aurait affirmé que les élèves – ou, du moins, certains d’entre eux – s’ennuyaient en classe. L’histoire se répète, ou, du moins bégaye : c’est aussi pour avoir utilisé ce mot d’ « ennui » que l’équipe chargée de la consultation sur les lycées en 1998 s’était faite épingler et avait subi les foudres de ceux et celles qui entendent lutter contre la démagogie scolaire, refusent de s’en remettre aux « caprices des élèves » et prônent l’exigence intellectuelle contre les tentations de la séduction qui feraient de l’École républicaine une nouvelle forme d’agence publicitaire… L'ennui n’est donc nullement un phénomène nouveau dans l’institution scolaire, mais ce qui, de toute évidence, a changé, ce sont ses manifestations. Ces trois formules mènent donc à des impasses. Philippe Meirieu

La gestion du temps - Les Amphis de France 5 La gestion du temps La gestion du temps doit permettre à chacun d'être organisé et d'avoir une vie équilibrée. Pour cela, il faut identifier, évaluer, hiérarchiser et organiser ses activités. C'est un état d'esprit et une affaire de technique. Gérer son temps, c'est définir sa relation au temps mais aussi gérer son stress : trouver un équilibre entre activité et temps consommé. Voir l'ensemble des programmes de la collection "des méthodes pour apprendre" : La gestion du temps GénériqueEmission conçue et préparée par Régine Acquier, Université de Montpellier 1.

Digital Studies - Home Mode d’emploi du Vidéo-Livre L’éditorialisation de l’enregistrement vidéographique réalisée ici en complément de l’article publié par le journal Mediapart sur les enjeux du numérique pour l’université est un prototype de ce que l’Institut de recherche et d’innovation appelle un vidéolivre. Chapitré, le vidéolivre est navigable par diverses voies : la table des matières donne accès à des résumés de chaque chapitre qui permettent de se faire rapidement une idée du propos général. Mais la représentation graphique et donc spatiale de son contenu temporel sous le logiciel Lignes de temps permet aussi d’en avoir une vision d’ensemble, et d’y naviguer directement à travers les mots clés qui se trouvent au-dessous de l’écran. Une annotation est possible par toute personne qui consulte la vidéo. La table des matières Passez avec la souris sur le bouton « Table des matières » et les chapitres s’affichent avec deux options : consulter le résumé ou le chapitre complet.

Un film de synthèse sur l’exigence démocratique populaire qui monte dans le pays : « J’ai pas voté » Il y a quelques années, pour la préparation de ce film, une équipe de jeunes gens a réuni (à Paris) et filmé les trois personnes qui, à ma connaissance, travaillent et défendent le plus -en France- le tirage au sort en politique : Yves Sintomer, Jacques Testart et moi. Formidable moment, vous imaginez comme j’étais content. Nous nous sommes rencontrés à Paris, et ce fut une bien intéressante conversation à trois. Le film ci-dessus, que je trouve très bien fait (et qui comporte des passages très convaincants et originaux, que des gentils virus isoleront sans doute dans petites vidéos séparées), utilise quelques (petits) fragments de cet entretien parisien. L’équipe des réalisateurs est en train de bosser sur le film complet de la rencontre Sintomer-Testart-Chouard.

Master of the Universe Après une vie au service de banques d’investissement allemandes, Rainer Voss, la cinquantaine, a décidé de parler. Depuis des locaux désaffectés du quartier des affaires de Francfort, il décrit par le menu le monde qu’il a fini par quitter : son ascension dans les années 1980, la libéralisation à outrance, la dérégulation et les "innovations financières" qui ont pu offrir à ceux qui en maîtrisaient les arcanes la sensation d’être les maîtres de l’univers. Les acteurs du secteur, brassant quotidiennement des millions d’euros, se sont peu à peu éloignés du monde réel, tandis que la finance se déconnectait des réalités économiques et sociales. Secte

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