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Le Courrier de l'Ouest

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Actualité à la Une Centre Presse, journal d'informations locales de la Vienne Anjou - Conseil général de Maine-et-Loire: CG49 - Accueil Actualités Centre, Poitou, France & étranger - La Nouvelle République L’humain, valeur ajoutée des superettes bio Economie sociale et solidaire. Monoprix, Carrefour… la grande distribution tente de mettre la main sur le marché du bio. Pourtant, l’esprit militant du statut coopératif permet à une enseigne comme les Nouveaux Robinson de tenir la concurrence. Mêmes produits en rayons, même look de magasins, même affichage de valeurs qui prônent les bienfaits d’une consommation responsable… En surface, les supérettes du commerce bio se ressemblent. Et pourtant… entre Naturalia, enseigne à but lucratif, détenue à 100 % par Monoprix, elle-même détenue à 100 % par Casino, et les Nouveaux Robinson, coopérative à but non lucratif détenue collectivement par 755 sociétaires, la différence est de taille. « Chez nous, actionnaire est un gros mot. Nous tenons comme à la prunelle de nos yeux à l’esprit militant qui anime l’entreprise. Au sein du magasin historique de ce supermarché coopératif, à Montreuil (Seine-Saint-Denis), Hassane apprête les légumes.

Le Télégramme - Retrouvez en direct et en vidéo toute l'actualité de Bretagne : Brest, Guingamp, Lorient, Quimper, Vannes, Saint-Brieuc L'agriculture biologique prise au piège de la grande distribution Basta ! : On trouve de plus en plus de produits biologiques dans les rayons des supermarchés. Mais la surface agricole cultivée en bio stagne à 3 % en France. Comment expliquer ce décalage ? Philippe Baqué [1] : On assiste depuis 15 ans à un développement fulgurant de l’agriculture biologique. Environ 40 millions d’hectares seraient certifiés bio aujourd’hui dans le monde, selon l’Agence Bio (soit l’équivalent de l’Allemagne et de la Suisse, ndlr). En dehors de ces prairies, la majeure partie des surfaces certifiées bio appartiennent à de grandes exploitations, spécialisées dans des monocultures d’exportation – soja, huile de palme, blé ou quinoa. Sur quelle stratégie commerciale se fonde ce « bio-business » ? C’est une véritable OPA de la grande distribution, qui a vu dans le bio un marché qu’elle devait investir à tout prix. Dans le secteur des fruits et légumes, la grande distribution reproduit dans le bio ce qu’elle fait dans le secteur conventionnel.

La Presse de la Manche - Cherbourg Octeville Les produits bio en grande distribution : qu'en penser ? Carrefour, Auchan, Leclerc, tous les distributeurs ont leurs gammes de produits biologiques. Et depuis peu, la guerre des prix bio a été déclarée entre les géants de la grande distribution. Le succès des produits bio en grande surface est-il une chance pour ce marché "de niche" ? Des dérives ne sont-elles pas à craindre ? Le bio y perd-t-il son âme ? Surenchère de prix bas chez les distributeurs Il y a quelques années, proposer des produits bio dans ses rayons était pour une enseigne de distribution un moyen de se différencier de ses concurrents, et de se donner une image valorisante, entre qualité, santé et développement durable. Aujourd'hui, toutes les enseignes ont leurs gammes bio, qu'il s'agisse de marques nationales ou de marques de distributeur. La grande distribution, un levier de démocratisation pour le bio Bio et discount, un mariage bancal Cependant, le raz-de-marée bio en grande distribution n'est pas sans générer quelques interrogations. Les risques de dérive Source : gerbeaud

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