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L’endométriose, une maladie méconnue qui touche 1 femme sur 10

L’endométriose, une maladie méconnue qui touche 1 femme sur 10
Le 13 mars est la journée mondiale contre l’endométriose. Il s’agit d’une maladie chronique à l’origine inconnue causée par la colonisation de tissu semblable au tissu endométrial qui se développe hors de l’utérus et provoque des lésions, des adhérences et des kystes. Cette colonisation a principalement lieu sur les organes génitaux et le péritoine mais peut s’étendre aux appareils urinaire, digestif, et plus rarement pulmonaire. Elle provoque de fortes douleurs en période de règles mais également des douleurs pendant les rapports sexuels, des difficultés à uriner, des douleurs lombaires ou abdominales. Il ne s’agit pas d’une maladie rare puisqu’elle touche une femme sur dix et constitue la première cause d’infertilité féminine. À l’occasion de cette journée, une marche a lieu dans plus de 45 capitales du monde avec, pour objectif, d’informer sur la maladie, de demander une meilleure reconnaissance et une meilleure prise en charge. Vous pouvez me suivre sur , sur et sur

Le "point du mari" Lorsqu'on est désœuvrée, on a tendance à passer beaucoup de temps sur les réseaux sociaux, histoire de ne pas rompre le contact avec le monde de la santé et ses consœurs et confrères. C'est pourquoi j'ai été une des premières au courant de cette histoire de Point du Mari. Née d'une anecdote racontée par une collègue et qui a choqué bon nombre d'entre nous, cette histoire a quitté le sphère "intime" de la page privée pour se répandre sur le net lorsque Agnès Ledig, sage-femme et auteur, a utilisé sa plume pour mettre des mots sur cet acte. (Vous pouvez trouver le texte ici) L'indignation, l'horreur, la méfiance se sont répandus à vitesse grand V sur la toile et parmi les groupes de femmes, de parents, de professionnel de la santé. (#PointDuMari sur Twitter) Parmi ces derniers, nombreux sont ceux qui ignoraient cette pratique (heureux soient-ils !) Dans mon cas, le cous a été très technique : "on suture tel plan avec tel plan, on s'assure de la conformité anatomique".

Laisser le choix au temps Remercions Djaúsðr pour la dernière image de ce strip. Nous avons décidé lui et moi de lancer un manga intitulé Musume no ke, dans lequel une jeune fille qui arrive dans l’internat d’une école spécialisée en philosophie découvre que son chignon est en réalité un sceptre magique qui lui permet de lutter contre les forces du mal (les sociologues). Le tumblr « Je n’ai pas consenti » est à cette adresse. Comme je le disais dans la BD, c’est souvent violent à lire.

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