Le premier compte bancaire low cost : « compte Nickel » - Le blog de UFC Que Choisir 43 Le discount fait son apparition dans le domaine bancaire avec la création d’un nouveau compte bancaire appelé « Nickel », dont le fonctionnement est simplissime. Il s’agit d’un coffret avec une Mastercard. La particularité majeure de ce produit est qu’il n’est pas lié à un réseau bancaire. L’ouverture du compte se fait auprès d’un buraliste (les bureaux de tabac réalisent le réseau de distribution du produit) sur simple présentation d’une pièce d’identité et d’un numéro de mobile. Ce compte offre toutes les possibilités de paiement classique : mastercard, relevé de compte, retrait et dépôt d’espèce. Il n’y a pas de guichet car la gestion du compte se fait en ligne. Ce compte bancaire s’adresse à un public pour qui les offres bancaires classiques sont trop chères. Il est intéressant de se pencher sur le coût de revient du compte « Nickel ». Ce service est étudié pour être trois fois moins cher que les banques traditionnelles et ne pas dépasser 50€/an. UFC Que Choisir 43 G.A.
(20+) Le compte Nickel fait sauter les banques C’est une petite révolution dans ce monde sans pitié pour le quidam en délicatesse avec son banquier. Lancé le 11 février 2014, le compte Nickel, une offre bancaire alternative lancée par la Financière de paiements électroniques (FPE), a conquis en un an plus de 100 000 clients. Explications. Nickel, c’est quoi donc ? Une solution de dépôt et de retrait d’argent pour tous, sans conditions de ressources ni de revenus, qui n’est adossée à aucun établissement bancaire, qui n’autorise ni découvert ni épargne, et n’accorde aucun prêt à ses clients. Créée par deux amis, l’un informaticien, Ryad Boulanouar, l’autre financier, Hugues Le Bret (ancien directeur de la communication de la Société générale puis PDG de sa filiale en ligne Boursorama), la FPE, qui s’appuie donc sur le réseau des 26 500 buralistes français, commence à chatouiller vigoureusement les banques traditionnelles. Où en est le compte Nickel ? 103 000 comptes sont actuellement actifs auprès de 740 buralistes. Pourquoi ce succès ?
Low cost : la banque aussi Ouvrir un compte en banque comme on achète un carnet de timbres, c'est ce que permettront à partir du mois de novembre un certain nombre de buralistes en région parisienne ainsi qu'à Lyon, Nantes et Douai. Selon l'initiateur du projet et ancien PDG de la banque en ligne Boursorama, Hugues Le Bret, le "compte nickel" pourra être ouvert en quelques minutes, après avoir acheté un coffret contenant une carte de paiement Mastercard et fourni un document d'identité et un numéro de téléphone. Le relevé d'identité bancaire (RIB) sera alors immédiatement créé, tout comme le code de la carte. Sur ce compte bancaire "low cost", il sera possible de domicilier ses revenus, d'effectuer des retraits, de déposer de l'argent et de payer par carte dans le monde entier ou par prélèvement. Aucune possibilité de découvert ou de crédit n'est prévue et la carte coûtera 20 € par an. Quelques dizaines de buralistes auront été agréés début novembre pour l'ouverture du service, selon M. Merci !
"Nickel", le compte en banque "low-cost" LE MONDE | • Mis à jour le | Par Anne Michel "Le journal, un paquet de cigarettes… et un compte bancaire, s'il vous plaît" : à partir du mois de novembre, en France, il sera possible d'ouvrir un compte en banque dans un bureau de tabac. Un authentique compte en banque, baptisé "compte Nickel" pour en symboliser l'accès simple et le bas tarif. Des moyens de paiement y seront associés : pas de chèques, mais des virements et, surtout, une carte bancaire Mastercard acceptée en France et à l'étranger à 20 euros l'an. Aucun découvert ne sera autorisé, ce qui exclura de facto les tarifications "punitives". S'il manque de l'argent sur le compte avant la tombée d'un prélèvement, le titulaire sera prévenu par texto. Ce compte sera accessible sans condition de revenus, dépôts ou patrimoine : toutes les personnes âgées de plus de dix-huit ans en possession d'un document d'identité valide (carte d'identité, permis de séjour…) pourront en faire la demande.
Low cost | Emmanuel Combe Le «low cost» est un modèle novateur de concurrence, qui repose sur une équation simple : simplifier les produits et services, pour diminuer les coûts et les prix. Ce modèle se distingue de pratiques commerciales telles que les promotions, les soldes, les prix d’appel, consistant simplement à baisser occasionnellement les prix, mais sans s’attaquer à la question des coûts de production. et à la redéfinition des besoins des consommateurs. Le «low cost» ne se limite plus aujourd’hui au seul transport aérien et envahit tous les secteurs de l’économie, à l’exception peut-être du luxe : services à la personne (coiffure, banque directe, hôtel, etc.), automobile, téléphonie mobile, maisons et, bien entendu, distribution alimentaire et commerce en ligne. Je vous invite à découvrir les ressorts de ce modèle et son impact sur la concurrence et le pouvoir d’achat. News 2013/2014 Une tribune « Pourquoi Air France doit pousser les feux dans le low cost » parue le 23 Septembre 2014 dans Les Echos :
Comparatif Banque en Ligne – ActuBancaire Manque de transparence, facturation de services inutiles ou peu utiles, perte de confiance depuis la crise, les banques traditionnelles sont accusées de beaucoup de maux. La commission Européenne dénonce les banques Françaises, les frais bancaires représentent annuellement 120€ à 160€ par an et par compte, plus du double comparé aux banques Belges. Face à ce constat de nouvelles banques low-cost ont fait leur apparition : les banques en ligne. Le classement des banques en ligne par la rédaction 1. Profitez dès à présent du parrainage Boursorama! Remplissez le formulaire ci-dessous et recevez dans l’heure votre offre de parrainage. [form form-bourso] 2. Une alternative aux banques de guichet encore trop chères Manque de lisibilité des tarifs, packages onéreux et inutiles, frais sanction en augmentation de 28% en cinq ans, dénomination des services variables d’un établissement à l’autre…
Banques : une offre "low cost" pour les clients les plus fragiles Pour des centaines de milliers de Français asphyxiés financièrement, ce pourrait être une bouffée d'oxygène. Toutes les banques mettent en place à partir de mercredi, comme la loi bancaire de 2013 les y oblige, une offre destinées à leurs clients les plus fragiles. Au tarif maximum de 3 euros par mois, ce compte "low cost" proposera de vraies prestations : pas de chéquier, certes, mais une carte de paiement à autorisation systématique (débit immédiat), ainsi que deux chèques de banque, quatre virements gratuits par mois ou des prélèvements en nombre illimité. "Cette officialisation d'une offre spécifique pour les clients fragiles, jusqu'ici appliquée de manière disparate, est une bonne nouvelle pour tous ceux qui se retrouvaient à devoir changer de banque ou qui se voyaient retirer leurs instruments de paiement, estime Jean-Louis Kiehl, président de Crésus, l'association d'accompagnement des familles souffrant de surendettement. Crainte que les banques "ne traînent des pieds"
Le low-cost est déjà bien implanté en France dans plusieurs secteurs (Paris - Relax news) - Le rapport de Charles Beigbeder, président de Poweo, sur la mission "low-cost et pouvoir d'achat", présenté ce mercredi, fait un état des lieux des services low-cost proposés aux Français dans plusieurs secteurs. Le bas coût est déjà présent dans l'alimentaire, les transports et de plus en plus dans les services. Dans l'aérienLes compagnies aériennes proposant des offres à bas coût s'installent en priorité dans les aéroports secondaires, constate le rapport. Cela leur permet de payer des redevances aéroportuaires moins importantes que dans les grands aéroports et de bénéficier de rotations plus rapides. Pour faire diminuer les coûts, les offres sont standardisées, avec une classe unique et un service à bord réduit au minimum, voire payant. En France, "le "low-cost" aérien est principalement assuré par deux opérateurs, Ryanair et Easyjet. Dans l'alimentaireLe low-cost est caractérisé par les enseignes hard-discount. Site : www.minefe.gouv.fr Attention! Masculin.com
Le low-cost envahit tous les secteurs d'activités Le Parisien | Son principe? Des coûts réduits à l'essentiel qui permettent de tirer les prix vers le bas. Selon Pascal Perri, économiste et spécialiste du sujet, le low-cost répond à la demande des consommateurs actuels et est donc voué à se développer. « C'est un modèle qui repose sur la simplicité d'une offre ou d'un produit. On enlève le superflu pour ne garder que l'indispensable.