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LA MEDITATION ZEN

LA MEDITATION ZEN
Si l'on en croit l'exemple du Bouddha, il vous faut pour méditer : Premièrement, un arbre dit ficus religiosa. Il est vrai qu'une fois le Sage du clan des Shâkya s'accommoda d'un parasol formé des sept têtes d'un dieu-serpent. On peut également se retirer dans un ermitage de montagne. Deuxièmement, un coussin d'herbes dit kusa. Troisièmement, un corps. Reprenons pour les autres. Si vous suivez cette première instruction, vous n'aurez vraisemblablement que le sentiment d'être banalement assis. Car on reste bien finalement assis simplement sans se préoccuper du vrai et du faux, d'une technique ou d'une absence de technique. Ne dites pas : "Pourquoi méditer ?" À vrai dire, la méditation zen est une perte de temps. Et pourtant... En savoir plus : Petit manuel à l'usage des aspirants qui désirent apprendre la méditation zen, ou comment réussir sa première méditation. Des conseils de Ryôtan Tokuda et de Gudô Nishijima, deux maîtres zen japonais contemporains en anglais). Pas de chemin du tout !

Bouddhisme, méditation et travail sur l'Esprit Bouddhisme, méditation et travail sur l'Esprit "... Beaucoup de personnes réagissent au Bouddhisme comme à une nouvelle religion de salut, qui pourrait leur permettre de traiter le monde comme on cueille des fleurs dans un beau jardin. Mais si nous souhaitons cueillir les fleurs d’un arbre, nous devons préalablement en cultiver les racines et le tronc, ce qui signifie travailler avec nos peurs, frustrations, déceptions et irritations, c’est-à-dire sur tous les aspects pénibles de la vie. ... Dans la pratique, nous ne contrôlons pas l’esprit étroitement, pas plus que nous le laissons aller complètement. Ainsi reconnaissons-nous ce que nous sommes, plutôt que d’échapper aux problèmes qui nous irritent. La méditation ne consiste pas seulement à s’asseoir seul, dans une posture particulière en prêtant attention à des processus élémentaires, elle réalise également une ouverture à l’environnement au cœur duquel ces processus prennent place. CHOGYAM TRUNGPA RIMPOCHÉ (Lama Tibétain)

Méditation sur la respiration Anapana-Sati Vénérable Balangoda Anandamaitreya Mahathera Traduit de l’anglais par Michel NICOLAS –« Érudit auditoire, nous devrions avoir présent à l’esprit que nous marchons sur le Sentier et ainsi nos voeux seront renforcés » –Bouddha– Bien que minuscule, ce livre explique nettement, la théorie et la pratique du système bouddhiste de méditation. Nous présentons nos hommages au Vénérable Ananda Maitreya Maha Nakaya Thera : son éminente explication du système de méditation Anapana Sati selon la tradition Théravada, constitue un précieux service. Nous espérons que le public généreux, reconnaissant la valeur de ce service rendu aux êtres humains qui souffrent, se manifestera pour nous encourager à poursuivre nos publications. Le Vénérable visita deux fois (en 1982 et 1985) Paris où il donna plusieurs conférences sur le Bouddhisme qui eurent beaucoup de succès et suscitèrent l’enthousiasme. Vénérable Parawahera Chandaratana Président de l’Association Bouddhique Internationale (a) confiance,

Vipassanā, la vision directe dans la réalité Accueil de la partie « vipassanā » Il est facile de cueillir un fruit. Faut-il encore savoir comment grimper sur l’arbre. Bienvenue dans la partie vipassanā, qui fournit de nombreuses explications concernant la méditation dite « vipassanā ». Attention : Il ne s’agit pas encore ici de ce que Bouddha appelait véritablement « vipassanā », qui est une vision éclairée de la réalité ultime grâce à un esprit dont la concentration est si aiguisée qu’il est capable de distinguer les moments de conscience un à un. À titre indicatif, ces moments apparaissent par millions durant le temps d’un clin d’œil ! La principale différence ? En réalité, vipassanā est une connaissance juste et directe de la réalité. Définition précise de vipassanā Cette connaissance, qu’est vipassanā, se développe par un entraînement appelé satipaṭṭhāna : l’établissement de l’attention.

Vision profonde : La conscience du tréfonds (Télécharger le PDF) (cloche) Bonjour chers amis. La conscience du tréfonds Nous avons parlé l'autre jour de la pratique comme une culture, culture de l'esprit. La diligence juste Et cela fait partie de la pratique appelée la diligence juste. 1. Le premier aspect de la pratique, c'est qu'il faut s'arranger pour que les mauvaises graines, les graines négatives puissent dormir tranquillement là-bas, il ne faut pas leur donner une chance de se manifester. 2. Deuxièmement : s'il arrive que la graine négative se soit déjà manifestée, faire quelque chose tout de suite pour aider la formation mentale à redevenir graine le plus tôt possible. 3. Troisième aspect de la pratique : aider la bonne graine à se manifester. 4. Quatrièmement : quand la bonne graine se manifeste, chercher à la retenir le plus longtemps possible. L'arrosage sélectif Donc, le quatrième aspect de la pratique est d'aider la bonne formation mentale à rester le plus longtemps possible, que la joie demeure. Embargo

Méditation bouddhique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Bouddha Shâkyamouni en méditation. La méditation bouddhique, méditation théorisée et pratiquée dans le bouddhisme, diffère radicalement de la méditation dans son acception occidentale. Introduction[modifier | modifier le code] La méditation bouddhique correspond toujours à une pratique posturale, mentale, relaxante et rigoureuse. Certaines des techniques méditatives de Bouddha ont été partagées avec d'autres traditions de son temps. Présentation succincte selon les écoles[modifier | modifier le code] La méditation a toujours été centrale au bouddhisme. shamatha (calme) développe la capacité de focaliser l'attention en un seul point;vipassanā (vision) développe la perspicacité et la sagesse en voyant la vraie nature de la réalité. Différencier ces deux types de pratiques n'est pas toujours aisé. Theravada[modifier | modifier le code] Mahāyāna[modifier | modifier le code] Bodhidharma, premier patriarche du T'chan en Chine

Ce qu'est réellement la méditation Par Urgyen Sangharakshita. Au cours de ces dernières décennies, diverses parties du monde, et l'Occident peut-être en particulier, ont subi un bon nombre de changements : des changements politiques, des changements sociaux et culturels, ainsi que d'importants changements dans la technologie. Nous pourrions presque dire que, durant ces dernières décennies, le monde, et surtout l'Occident, a vu plus de changements que durant toute autre période historique de durée égale. En ce qui concerne les affaires humaines tout au moins, nous avons vu durant cette période un rythme de changement s'accélérant constamment. Mais nous ne considérerons ici que l'un de ces domaines que, pour utiliser un terme pratique, neutre et général, j'appellerai le domaine culturel. Il y a quinze ou vingt ans, l'Occident avait à peine entendu parler de la méditation. Bien des fois, j'ai entendu des gens dire : « méditer, c'est ne plus penser, c'est faire le vide. ». Le pourquoi de ces malentendus paraît assez évident.

L'étape de la concentration dans la méditation La concentration a deux aspects qui comprennent à la fois la focalisation plus étroite de notre attention, et une unification de l'énergie. On peut donc dire que la concentration est en fait une unification qui est « horizontale » aussi bien que « verticale ». L'unification horizontale signifie l'unification de la conscience ordinaire en soi-même, ou à son niveau propre, tandis que l'unification verticale implique l'unification du conscient avec l'inconscient : un procédé qui entraîne la libération d'énergie somatique bloquée aussi bien que l'exploitation d'énergies de plus en plus profondes produites par la psyché. L'unification horizontale correspond à ce que l'on appelle l'attention et le rassemblement. Ce mot de « rassemblement » est particulièrement adéquat parce qu'il signifie exactement ce qu'il dit : re-assembler. Dans la tradition bouddhique, l'attention, ou rassemblement, est de trois sortes. Si nous pratiquons de cette manière, nous achevons l'unification horizontale.

Le stade de l'absorption dans la méditation L'absorption, qui est le second niveau de méditation, est en général divisée en quatre niveaux au cours desquels l'unification verticale commencée au stade de la Concentration continue. Il faut noter qu'il n'est pas question ici d'unifier le conscient et l'inconscient puisque cela a déjà été fait. Ici l'esprit conscient, qui est déjà unifié et purifié va être lui-même intégré dans le supra conscient. Et les énergies de ce supra conscient - qui sont purement spirituelles - commencent à être exploitées. L'absorption représente par conséquent l'unification de l'esprit et des niveaux de conscience de l'être à des niveaux de plus en plus élevés. Au fur et à mesure que ce procédé continue, nos états mentaux et nos fonctions mentales les plus grossiers sont raffinés progressivement et nos énergies sont absorbées à des niveaux plus élevés et dans des fonctions supérieures. Dans ce que nous appelons le premier niveau d'absorption, il y a une certaine quantité d'activité mentale.

Le stade de la vue pénétrante dans la méditation Par vue pénétrante, nous entendons une vision claire, une perception claire de la nature intrinsèque des choses - ce que la terminologie bouddhiste traditionnelle appelle les choses « comme elles sont véritablement ». En d'autres termes, et pour utiliser une phraséologie plus abstraite et plus philosophique, c'est la perception directe de la Réalité elle-même. C'est ce qu'est la méditation à son plus haut niveau - c'est ce qu'est la vue pénétrante ou vision. Une telle perception a deux aspects. C'est la vue pénétrante de ce qui est conditionné (c'est-à-dire du « monde » ou de ce qui est terrestre, transitoire, et ainsi de suite) ; et c'est la vue pénétrante qui est Inconditionnée et transcende le monde : l'Absolu, l'Ultime. La vue pénétrante du conditionné comprend trois choses, ou a trois aspects. La vue pénétrante de l'Inconditionné elle, consiste en ce qui est connu, selon une certaine formulation, sous le nom des Cinq connaissances, ou des Cinq sagesses.

La méditation de metta-bhavana * Ce résumé est à l'intention des personnes qui ont suivi nos cours, où un enseignement plus complet de la méditation est offert. metta_bhavana.pdf Metta-bhavana est le nom pâli (une ancienne langue de l'Inde) de cette méditation enseignée par le Bouddha. Metta veut dire amour, amitié ou bienveillance illimitée et universelle, bhavana signifie développement. Cette méditation nous aide donc à cultiver les graines de bienveillance déjà présentes en nous et à les faire grandir pour développer dans notre cœur une attitude toujours grandissante d'ouverture et de bienveillance. Nous développons donc la capacité à vivre de plus en plus en harmonie avec les autres et avec nous-mêmes. Donnez un rythme à votre pratique en la faisant à une heure régulière, dans un endroit particulier, avec vos propres petits rites (par exemple une image qui vous inspire, un bouquet de fleurs, une bougie ou un bâton d'encens allumé). Après la méditation, prenez le temps de quitter la pratique en douceur.

La méditation d'anapana-sati * Ce résumé est à l'intention des personnes qui ont suivi nos cours, où un enseignement plus complet de la méditation est offert. anapana-sati.pdf Traditionnellement appelée anapana-sati, ce qui signifie « attention sur le souffle », cette méditation a pour but de calmer l'esprit, d'unifier nos énergies et de développer notre capacité à la concentration. Pour en tirer le meilleur parti, il est recommandé de méditer tous les jours, alternant celle-ci avec celle sur la bienveillance. Pour commencer, n'essayez pas d'en faire trop ; une courte période d'attention bien centrée de 15 ou 20 minutes (ce qui correspond à environ 4 ou 5 minutes par stade) sera beaucoup plus efficace que de laisser l'esprit aller à la dérive pendant une heure et demie. Donnez un rythme à votre pratique, en la faisant à une heure régulière, dans un endroit particulier, avec vos propres petits rites (par exemple une image qui vous inspire, un bouquet de fleurs, une bougie ou un bâton d'encens allumé).

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