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Tableau Kanban

Tableau Kanban
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un kanban (カンバン ou 看板, terme japonais signifiant « enseigne, panneau »[1]?) est une simple fiche cartonnée que l'on fixe sur les bacs ou les conteneurs de pièces dans une ligne d'assemblage ou une zone de stockage. Principe[modifier | modifier le code] Le Kanban est un mécanisme permettant d'asservir la production ou l'approvisionnement d'un composant à la consommation qui en est faite. Le nombre de kanban en circulation doit être limité pour éviter la constitution d'en-cours trop importants. Le système Kanban fonctionne entre les postes de production aval et amont : L'opérateur aval entame un conteneur. L'ingénieur japonais Taiichi Ōno est généralement considéré comme l'inventeur de la méthode kanban[3]. Règles d'implantation du système Kanban[modifier | modifier le code] Règle 1 : Pour une référence d'article donnée, un poste de fabrication produit des pièces par lots de taille réduite, et dont la quantité est toujours fixe.

Méthode PDCA - Roue de Deming La roue de Deming (de l'anglais Deming wheel) est une transposition graphique de la méthode de gestion de la qualité dite PDCA (plan-do-check-act). Si la paternité de cette méthode revient à Walter A. Shewhart, c'est le statisticien William Edwards Deming qui l'a fait connaître aux industriels japonais dans les années 1950 en la présentant sous l'appellation de cycle de Shewhart (the Shewhart cycle), lors d'une conférence[1] devant 45 membres du Nippon Keidanren, l'organisation patronale japonaise. Au cours des années 1980, Deming a modifié partiellement ce titre qui est devenu PDSA (plan-do-study-adjust)[2]. Technique de mémorisation[modifier | modifier le code] La roue de Deming est un moyen mnémotechnique qui permet de repérer avec simplicité les étapes à suivre pour améliorer la qualité dans une organisation[3]. À quoi sert le cycle PDCA ? « Le cycle PDCA sert à transformer une idée en action et l'action en connaissance. Démarche d'utilisation[modifier | modifier le code] Walter A.

MRP et KANBAN efin réunis Juste-à-temps (gestion) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Juste-à-temps[1] est une méthode d'organisation et de gestion de la production, propre au secteur de l'industrie, qui consiste à minimiser les stocks et les en-cours de fabrication. Appelée aussi « flux tendu » ou « 5 zéros » ou encore « zéro-délai », la méthode est issue du toyotisme ; elle consiste à minimiser le temps de passage des composants et des produits à travers les différentes étapes de leur élaboration, de la matière première à la livraison des produits finis. Les cinq zéros correspondent à zéro panne, zéro délai, zéro papier, zéro stock et zéro défaut. À l'origine, le juste-à-temps était lié à des problèmes de gestion : les échoppes japonaises étant de très petite taille, il était difficile, sinon impossible, de stocker plusieurs exemplaires d'un même produit, pour peu qu'il fût encombrant. Ce n'est qu'ultérieurement que Taiichi Ohno en fit un système allant bien au-delà de cette pure question de stockage. Portail du management

Sociocratie QQOQCCP (5W/2H) Cinq W QQOQCCP (pour « Qui ? Quoi ? Ce concept est notamment utilisé en journalisme. Les cinq W sont particulièrement utilisés en agence de presse[3], qui exige que les réponses aux cinq questions soient données dès le début de la dépêche, ce qui permet un découpage de l'information par priorité. Cette méthode est également utilisée de façon courante dans l'éducation pour l'étude de documents, ainsi qu'en gestion de la qualité, comme première étape d'une analyse de cause racine de problèmes. Origine et histoire[modifier | modifier le code] Chez Aristote et les scolastiques[modifier | modifier le code] Le sigle a pour origine un moyen mnémotechnique latin (« Quis, Quid, Ubi, Quibus auxiliis, Cur, Quomodo, Quando ») utilisé par les savants scolastiques pour la mémorisation des particularités d'un acte telles que définies par Aristote[4],[5]. Plusieurs autres utilisations ont ensuite assuré la persistance de l'expression jusqu'à aujourd'hui : Sous forme de tableau[modifier | modifier le code]

Mode de fonctionnement du Kanban Le Kanban : introduction Le Kanban : définition Le Kanban : pourquoi Kanban ou méthode de production classique Modes de fonctionnement du Kanban Les différents types de Kanban Entre un fournisseur et un client, l’objectif est de répondre à la demande dans les délais et qualité sans stocker excessivement. Conditions de fonctionnementLe Kanban "n’aime" pas les conditions erratiques comme le lancement d’un produit ou trop de références. constance dans la consommation, nombre de références gérables (10 par poste). Conditions de dysfonctionnementLe Kanban est certes une technique mais elle ne vaut que par un environnement préparé. la préparation et la conduite du changement sont primordiales ainsi qu’une planification via le processus PIC / PDP afin de mettre en place les capacités requises et permettre de réviser la taille des boucles en fonction de l’évolution de la demande.

Six Sigma Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La méthode Six Sigma se base sur une démarche fondée à la fois sur la voix du client (enquêtes, etc.) et sur des données mesurables (par indicateurs) et fiables. Cette méthode est utilisée dans des démarches de réduction de la variabilité dans les processus de production (ou autre) et au niveau des produits et vise ainsi à améliorer la qualité globale du produit et des services. Le symbole de six sigma. Histoire[modifier | modifier le code] L’histoire de Six Sigma débute en 1986 chez Motorola, mais la méthode devient célèbre dans les années 1990 lorsque General Electric décide de l’appliquer et de l’améliorer. Origine de l'appellation[modifier | modifier le code] En statistiques, la lettre grecque sigma σ désigne l'écart type ; « Six Sigma » signifie donc « six fois l'écart type ». Concept[modifier | modifier le code] Exemple[modifier | modifier le code] Prenons le cas d'une pièce mécanique dont la longueur nominale est L. Principe DMAIC

Durée de vos sprints en 2013, résultats et commentaires Le gagnant est ... le sprint de 2 semaines. Je remercie chaleureusement les 212 votants, c'est 2 fois plus que lors de mon sondage précédent sur le même sujet, en 2010. Ca va faire un beau camembert dans la prochaine version de mon livre. Voilà ce que ça donne : Je ne sprinte pas 8.49 % de réponses alors qu'il y en avait 9% il y a 3 ans. C'est à peu près stable, mais difficile à analyser. Avec le commentaire d'Emilie, je pense qu'il est probable que des répondants au sondage n'appliquent pas vraiment Scrum ni une approche agile, mais ont cependant donné une durée de sprint. Une semaine 9.43 % en 2013 contre 9% en 2010. On aurait pu croire que la tendance pressentie à la réduction de la durée donnerait un plus grand nombre de sprints d'une semaine. Deux semaines 41.51 % alors qu'il n'y en avait que 37% il y a 3 ans. La durée de 2 semaines est celle la plus fréquemment utilisée, sans devenir la norme pour autant. Trois semaines 25.47 % contre 35% en 2010. Quatre semaines ou plus 8.49 %.

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