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Women Scientists You Need To Know

Women Scientists You Need To Know
If you think about the greatest women scientists throughout history, Marie Skłodowska-Curie is probably at the top of the list. For good reason - she is still, after all, the only person in history to win two Nobel prizes in two sciences. However, for many people she remains the only historical female scientist they have heard of. Because March 8 is International Women’s Day, here is an introduction to some women who have made incredible contributions to science. Valentina Tereshkova Valentina Tereshkova became the first woman in space in 1963, onboard the Vostok 6 as part of the Cosmonaut Corps. Following her time in space, she earned a doctorate in engineering and eventually entered politics where she used her position to advocate for space exploration, particularly for women. Jocelyn Bell Burnell While working as a postgrad, Jocelyn Bell Burnell observed radio pulsars for the first time. Later, Bell worked as a physics professor at Open University in the UK and at Princeton. Related:  Femmes de sciences (sauf maths)

Anna Wierzbicka Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Livres écrits par Anna Wierzbicka: What Did Jesus Mean? Explaining the Sermon on the Mount and the Parables in simple and universal human concepts (2001)Emotions Across Languages and Cultures: Diversity and universals (1999)Understanding Cultures Through Their Key Words: English, Russian, Polish, German, Japanese (1997)Semantics: Primes and Universals (1996)Semantics, Culture and Cognition: Universal human concepts in culture-specific configurations (1992)Cross-cultural pragmatics: The semantics of human interaction (1991)The Semantics of Grammar (1988)English Speech Act Verbs: A semantic dictionary (1987)Lexicography and Conceptual Analysis (1985)The Case for Surface Case (1980)Lingua Mentalis: The semantics of natural language (1980)Semantic Primitives (1972)

Joanna Bryson Primary research interest: Using Artificial Intelligence to understand Natural Intelligence. Secondary interests: Agent-based modelling of animal societies & cultural evolution, modular models of individual intelligence, AI development methodologies, action selection and dynamic planning, intelligent and cognitive systems (e.g. intelligent environments, artificial companions, game characters), AI & Society. Hobbies include political science, neuroscience and music. Novikova, J., Watts, L. and Bryson, J. J., 2014. The role of emotions in inter-action selection. Wang, Y., Matthews, S. and Bryson, J. Taylor, D. and Bryson, J.J., 2014. Gunkel, D.J. and Bryson, J., 2014. Novikova, J., Gaudl, S. and Bryson, J., 2014. Gaudl, S. and Bryson, J. Bann, E. Bryson, J. Sylwester, K., Herrmann, B. and Bryson, J., 2013. Bann, E. Gaudl, S., Davies, S. and Bryson, J. Huang, B., El-Khoury, S., Li, M., Bryson, J. Huang, B., Bryson, J. Seth, A. Bryson, J.J., 2012. Powers, S.T., Taylor, D. Bryson, J.

Émilie du Châtelet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Châtelet. Émilie du Châtelet Gabrielle Émilie Le Tonnelier de Breteuil. Biographie[modifier | modifier le code] De ses divers amants, c’est Voltaire qui eut le plus d’influence sur elle, l’encourageant à approfondir ses connaissances en physique et en mathématiques, matières pour lesquelles il lui reconnaissait des aptitudes particulières, la considérant supérieure à lui-même en ce domaine de la « Philosophie Naturelle», car c'est ainsi qu'on appelait à l'époque les sciences physiques. Elle fait la connaissance de Voltaire en 1734, alors qu’il est en disgrâce ; elle l’accueille chez elle, dans son château de Cirey-sur-Blaise : il a trente-neuf ans et elle vingt-sept, leur liaison va durer quinze ans. François Victor Le Tonnelier de Breteuil a favorisé comme ministre de la guerre ses proches, en particulier la belle-famille de sa cousine germaine, Émilie du Châtelet[1]. Hommage[modifier | modifier le code]

Eva Illouz Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Eva Illouz Eva Illouz en 2008 Eva Illouz (hébreu : אווה אילוז), est une intellectuelle et une universitaire israélienne spécialisé dans les sociologie des sentiments et de la culture[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Illouz est née le 30 avril 1961 à Fès au Maroc et est allée vivre en France avant l'âge de 10 ans. Elle parle couramment français, hébreu, anglais et allemand. Carrière[modifier | modifier le code] Eva Illouz est professeur de sociologie à l'Université hébraïque et la directrice de l'École des beaux-arts de Bezalel, à Jérusalem[2]. Diplômée de l'université de Paris X et de l'Université de Pennsylvanie, elle a enseigné à l'Université de Princeton, à l'Institut de Recherche sociale et à l'École des hautes études en sciences sociales de Paris. Elle est considérée comme une des douze intellectuelles les plus influentes au monde d'après Die Zeit[3]. Livres publiés[modifier | modifier le code] Portail de la sociologie

Haruko Obokata Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Haruko Obokata (小保方 晴子, né à Matsudo dans la préfecture de Chiba, le 1983) est une biologiste cellulaire japonaise et directrice de recherche en biologie du développement à l’Institut RIKEN. Ses recherches permettraient de créer à partir de cellules humaines, des cellules pluripotentes, générées par certains types de stress. Biographie[modifier | modifier le code] Obokata est né à Matsudo, dans la préfecture de Chiba, au Japan en 1983. Lien externe[modifier | modifier le code] (en) Centre de biologie du développement RIKEN

Virginia E. Johnson Virginia E. Johnson, born Mary Virginia Eshelman[1] (February 11, 1925 – July 24, 2013),[2] was an American sexologist, best known as the junior member of the Masters and Johnson sexuality research team.[3] Along with William H. Masters, she pioneered research into the nature of human sexual response and the diagnosis and treatment of sexual dysfunctions and disorders from 1957 until the 1990s. Early life[edit] Johnson moved to St. Louis, Missouri, where she became a business writer for the St. Sexological works[edit] Johnson met William H. In April 2009, Thomas Maier reported in Scientific American that Johnson had serious reservations about the Masters and Johnson Institute's program to convert homosexuals into heterosexuals,[8] a program which ran from 1968 to 1977.[9][10] Personal life[edit] Masters, who married again after his divorce from Johnson,[1] died in 2001.[13] In popular culture[edit] References[edit] External links[edit]

Else von Richthofen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Else von Richthofen ( 1874 - 1973 ) est l'une des premières femmes chercheurs en sciences sociales en Allemagne. Epouse de l'économiste allemand Edgar Jaffé, elle est une parente éloignée du « Baron Rouge » Manfred von Richthofen. Sa sœur, Frieda von Richthofen, a été l'épouse du romancier britannique D. Biographie[modifier | modifier le code] La baronne Elisabeth Helene Amalie Sophie von Richthofen, connu aussi comme Else Jaffé, naît à Château-Salins en Moselle le 8 octobre 1874, pendant la première annexion allemande. Bien qu'Else von Richthofen ait commencé sa carrière professionnelle comme professeur, elle s'est inscrite à l'Université de Heidelberg à une époque où cela était encore rare pour les femmes. Elle épouse un ancien élève de l'économiste Max Weber, Edgar Jaffé (1865-1921), en 1902. Else von Richthofen s'éteignit le 22 décembre 1973 à Heidelberg. Publications[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code]

Prix L'Oréal-Unesco : cinq chercheuses récompensées La cérémonie 2015 de la remise des prix L'Oréal-Unesco a eu lieu dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne, le mercredi 18 mars. © Fondation L'Oréal Prix L'Oréal-Unesco : cinq chercheuses récompensées - 2 Photos Chaque année, depuis 2007, en partenariat avec l’Unesco et l’Académie des sciences, le prix L'Oréal-Unesco Pour les Femmes et la Science est attribué à cinq lauréates, une par continent, pour des travaux novateurs en matière scientifique, au plus haut niveau. Deux des récipiendaires 2008, Elizabeth Blackburn et Ada Yonath, ont été récompensées l'année suivante par un prix Nobel. La fondation L’Oréal remet également des bourses à des jeunes chercheuses du monde entier, doctorantes et post-doctorantes. Les cinq lauréates 2015 autour d’Irina Bokova, directrice générale de l’Unesco (en veste grise) et Jean-Paul Agon, président de la fondation L’Oréal. Vous en trouverez une sélection dans cette rubrique. Sur le même sujet

Marie la Juive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gravure de Marie la Juive, dans le Symbola Aurea Mensae Duodecim Nationum, (1617) de l'alchimiste allemand Michael Maier Marie la Juive ou Maria Hebraea ou Maria Prophetissa est une alchimiste de l'époque hellénistique qui a probablement vécu entre le troisième et le deuxième siècle avant notre ère. Sources[modifier | modifier le code] La principale source sur Marie la Juive sont les traités de Zosime de Panopolis, grec alexandrien de la fin du IIIe siècle, qui sont les plus anciens textes d'alchimie connus, et qui consistent essentiellement en de longues citations d'auteurs plus anciens, dont les plus importants sont le pseudo-Démocrite et Marie la juive, qu'il appelle généralement simplement Marie, et parfois Marie la Divine[3]. Les instruments alchimiques[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Textes de Marie la Juive[modifier | modifier le code] E. Alchimie

Hildegarde de Bingen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hildegarde de Bingen (en allemand : Hildegard von Bingen), née le à Bermersheim vor der Höhe près de Alzey (Hesse rhénane) et morte le à Rupertsberg (près de Bingen), est une religieuse bénédictine mystique, compositrice et femme de lettres franconienne du XIIe siècle[1]. Le 10 mai 2012, le pape Benoît XVI étend le culte liturgique de sainte Hildegarde à l'Église universelle, dans un processus connu sous le nom de « canonisation équipollente », ou canonisation équivalente. Le 28 mai 2012, Benoît XVI annonce la proclamation d'Hildegarde de Bingen comme Docteur de l'Église, qui a eu lieu le 7 octobre 2012[2],[3], faisant d'elle la quatrième femme Docteur de l'Église après Catherine de Sienne, Thérèse d'Avila et Thérèse de Lisieux. Biographie[modifier | modifier le code] Lorsque Jutta meurt en 1136, Hildegarde est élue abbesse de Disibodenberg, à l'âge de 38 ans. Œuvres[modifier | modifier le code] Littérature[modifier | modifier le code]

Rita Levi-Montalcini Rita Levi-Montalcini en 2009. Elle est, du 5 janvier 2007 jusqu'à sa mort, la lauréate vivante la plus âgée et reste la lauréate ayant vécu le plus longtemps de tous les lauréats du prix Nobel. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Rita Levi-Montalcini est née à Turin d'une famille de religion juive sépharade. Levi-Montalcini décide d'aller à l'école de médecine après avoir vu sa gouvernante préférée, Giovanna, mourir d'une leucémie. Vie professionnelle[modifier | modifier le code] Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle réalise ses premières expériences sur la croissance des fibres nerveuses dans un laboratoire de fortune aménagé dans une chambre, à son domicile de Turin, et à Florence de 1943 à 1945. De 1961 à 1969, elle dirige le Centre de recherche en neurobiologie du Consiglio Nazionale delle Ricerche (Rome), et de 1969 à 1978 le Laboratoire de biologie cellulaire. Sénateur à vie[modifier | modifier le code] Citation[modifier | modifier le code]

Samantha Cristoforetti Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Depuis cette mission, Samantha Cristoforetti est l'astronaute européen ayant effectué le séjour le plus long dans l'espace, avec un vol d'une durée de 199 jours[2],[3]. Formation[modifier | modifier le code] Pilote de l'Armée de l'Air italienne[modifier | modifier le code] De 2005 à 2006, Samantha Cristoforetti est affectée à la Sheppard Air Force Base aux États-Unis où elle participe au programme de formation Joint Jet Pilot Training. Elle intègre en 2007 la 135e escadrille basée à Istrana (Italie) où elle poursuit sa formation sur MB-339 puis intègre en 2007 la 101e escadrille basée à Foggia où elle vole sur l'avion d'attaque au sol AMX. En décembre 2019, en désaccord, elle annonce son départ de Aeronautica Militare après 19 ans de service. « En désaccord avec les Forces Armées, je prends congé. Astronaute de l'Agence spatiale européenne[modifier | modifier le code] Mission Futura (22 novembre 2014 - juin 2015)[modifier | modifier le code]

Cecilia Payne-Gaposchkin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cecilia Payne-Gaposchkin Biographie[modifier | modifier le code] Intéressée dès son plus jeune âge par l'astronomie, elle étudie d'abord la botanique et décroche une bourse en sciences naturelles qui lui permet d'entrer au Newnham College de l'Université de Cambridge en 1919. Elle décide alors de vouer sa vie à l'astronomie. Dans le cadre de ses travaux, sous la direction de Harlow Shapley, elle se base sur le système de classification de Annie Cannon pour ses travaux sur la température des étoiles. Elle écrit un article en ce sens en 1924 et le fait relire par Henry Russell. Entretemps, celle-ci a défendu sa thèse en 1925, dans laquelle elle présente ses travaux et ses conclusions en laissant de côté la question de l'hydrogène. Devenue citoyenne américaine en 1931, c'est en 1933 qu'elle rencontre Sergei Gaposchkin lors d'un congrès en Allemagne. Cecilia Payne-Gaposchkin au travail Elle meurt en 1979 des suites d'un cancer du poumon.

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