background preloader

Capsules vidéos sur l’hypersexualisation –

Capsules vidéos sur l’hypersexualisation –
Related:  Féminin

comment ne plus punir ? ne plus punir à cet avantage de ne plus vous mettre en porte à faux : plus de punitions , donc plus de menaces à mettre à éxécution ! et oui il faut voir le positif ! ne plus punir cela veut dire ne plus faire "marcher au baton " son enfant , cela veut aussi dire supprimer le coin ainsi que l'isolement . concretement comment fait-on ? déjà on comprend pourquoi la punition n'apporte rien , et peut meme etre néfaste à la relation : punir n'a pas pour effet de faire réfléchir l'enfant,au contraire cela lui donne du ressentiment envers nous. cela ne lui enseigne rien si ce n'est à l'éviter et donc à faire les choses en cachette . à la place du coin ou de l'isolement qui avaient une utilité lors de conflits entre enfants ou lorsqu'un enfant avait un comportement inadéquat (s'excitait , n'écoutait rien....) on peut décider : - d'ignorer (et donc on supprime le renforcement négatif ) -de proposer de réparer : si l'enfant commet une maladresse ou abime quelque chose par exemple .

Débat public «L'hypersexualisation des jeunes: vers une mutation de l'adolescence?» 6 décembre 2006 01:23:36 Grand débat public à l'UQAM le 5 décembre 2006. Animé par le journaliste Alain Gravel S'adressant à un large public, cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la série des Grands débats Prenez position de l'UQAM, qui ont pour objectif de stimuler les échanges et de confronter les réflexions sur des enjeux actuels de société. Ainsi, les panélistes tenteront de répondre aux questions suivantes: le port de plus en plus sexy, l'accès à la cyberpornographie, la sexualité de plus en plus précoce, sont-ils des signes annonciateurs d'une transformation de l'adolescence ou simplement un phénomène de mode? Si les personnes présentes auront l'occasion d'échanger avec les panélistes, il sera également possible de suivre le débat en direct sur le Web et de poser des questions aux différents intervenants.

Mauvais perdant Un enfant de 4 ans joue au mémory. La partie se joue à 4 joueurs, le jeu comporte beaucoup de cartes. Au bout de quelques tours, deux nouvelles cartes sont dévoilées et l’enfant de 4 ans trépigne sur sa chaise : il sait où se trouvent deux cartes pareilles! Il reste deux joueurs avant qu’il puisse retourner la bonne paire, et malheureusement le joueur suivant la retourne avant lui. Après avoir gigoté en tous sens à en mettre les mains sur sa bouche afin d’étouffer son impatience, le petit s’effondre la tête dans ses mains. « Oh non c’était moi! Réaction des autres joueurs (2 adultes et un enfant de 8 ans) : il ne faut pas être mauvais perdant. Mon analyse De cette situation on peut, à mon sens, tirer deux schémas de résolution : le premier, qui s’est déroulé, est décrit ci-dessus. 1) Quelle est la situation de base ? 2) Que représente cette situation pour l’enfant? Ce que j’aurais fait : Pourquoi ? Conclusion « C’est l’jeu ma pôv’ Lucette! Image prise ici A partager sans modération!

Quand on trouve des images érotiques (et plus) dans les Disney, ça brise une jeunesse Disney, le monde de la magie, des princes, des princesses… et du sexe, apparemment. Dans certains dessins animés, quelques images subliminales se sont glissées dans les longs-métrages. Et il faut vraiment être attentif pour se rendre compte de la discrétion de la chose. À moins que ce ne soit nous qui ayons l’esprit perverti. Ou pas. À vous de juger ! Faudrait voir l’architecte de ce château… (La Petite Sirène) Troublante robe chez Mickey et Minnie Chaude flamme ( Le bossu de Notre-Dame) Poussière d’étoile… (Le Roi Lion) C’est un museau, ça ? Pas de culotte ? Sacrée bosse (Hercule) Basic Instinct (Qui veut la peau de Roger Rabbit ?) Sympa, la déco (Bernard et Bianca) Il a l’air très, très content ce prêtre.

La méthode du 5-10-15 : quand la médecine encourage la maltraitance | Quand Zalah materne C’est un petit livre publié par le CHU de Ste-Justine. Tout le monde connaît, c’est l’Hôpital pédiatrique avec un grand H. Celui où on fait des miracles pour les enfants malades, réputé à travers tout le pays. Alors donc, c’est un petit livre qui inspire confiance aux parents. Cautionné comme il l’est par les plus compétents savants en pédiatrie. C’est un petit livre intitulé Enfin je dors… et mes parents aussi, et signé Evelyne Martello, infirmière clinicienne, responsable de la Clinique du sommeil à Ste-Justine. Un petit livre au résumé inspirant : « L’enfant a besoin de bonnes nuits de sommeil et ses parents aussi. Mais outre une routine plutôt traditionnelle (bain, boire, etc.) et correcte pour l’heure du coucher, que conseille ce petit livre ? De fiche bébé dans son lit et de le laisser pleurer. Parce que bébé est capable de s’endormir tout seul dès la naissance. Parce qu’un bébé qui se réveille la nuit, c’est très chiant. Parce que le cododo, c’est mal ! Ras-le-bol ! Et moi, j’accuse !

Approche de la représentation de la femme dans Mulan et Rebelle des studios Disney. | Revue Ganymède Par Manuel Gauvin Illustrations : Alice Schneider La preuve de la forte présence et de l’influence des dessins animés1 Disney dans la culture occidentale et dans son exportation à l’étranger n’est plus à faire. Il suffirait de regarder le nombre de langues dans lequel chaque nouvelle production des studios Disney est traduite. Les enfants sont majoritairement le public visé par ces dessins animés, même si les studios ont depuis longtemps fait preuve d’une volonté d’élargir aux adultes. Ainsi il est intéressant d’étudier, de questionner, les images, les représentations du monde qui y sont données. En partant de ces affirmations, il devient intéressant d’étudier ces représentations, d’analyser l’image du monde qui est donnée au public des dessins animés Disney. Ces deux films sont Mulan, sorti en 1998, et Rebelle, sorti en 2012. Commençons tout d’abord par un bref résumé des intrigues de chaque film. Les deux films présentent au début une série de règles à suivre par la femme.

Fais-moi confiance! Dans un de ses numéros, l'humoriste québécois Louis-José Houde s'amusait à dire qu'on pouvait faire croire n'importe quoi aux enfants. « Si tu ne manges pas ton repas, un monstre va te manger! » La recherche semble démontrer qu'il n'a pas tout à fait tort. Une étude réalisée par des chercheurs californiens auprès de 182 tout-petits de 3 à 4 ans révèle que ceux-ci font confiance systématiquement à un adulte s'il n'est pas contredit par un autre. Les scientifiques ont en effet remarqué que les tout-petits croient automatiquement un adulte, même s'il n'est pas très fiable, dans la mesure où aucune information contraire n'existe. Cependant, en présence d'une autre personne plus fiable, l'enfant fera plus confiance à celle-ci si elle formule un avis différent. Le tout-petit ne prendra toutefois pas l'initiative de demander une confirmation si la personne fiable n'exprime pas elle-même son opinion.

Les aventures d'Euterpe

Related: