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Le 8 mars, célèbre-t-on la journée des femmes, de la femme? De leurs droits?

Le 8 mars, célèbre-t-on la journée des femmes, de la femme? De leurs droits?
Temps de lecture: 4 min «— Le 8 mars, il y a encore des abruti(e)s qui vont vouloir célébrer la journée de LA femme. Je voudrais les insulter par avance. — Oui, mais l'ONU elle-même parle de la journée internationale de la femme...— Déjà fatiguée à l'idée de devoir l'expliquer en boucle le 8 mars...» Ces phrases, vous les avez peut-être vous aussi lues sur Facebook ou Twitter ou entendues à l'approche du grand jour. Et effectivement, l'ONU célèbre la journée internationale de la femme. Et elle pesait bien ses mots pour l'occasion: «Le 8 mars n'est pas, comme on l'entend parfois, la journée de "la" femme, qui mettrait à l'honneur un soi-disant idéal féminin (accompagné de ses attributs: cadeaux, roses ou parfums).» Un choix de vocabulaire en parfait accord avec l'intitulé de son ministère des Droits des femmes. Cohérence qui n'est pas toujours de mise, même au sein d'une même institution. Une foire lexicale que l'on doit entre autre à l'absence de texte fondateur.

What to Do When No One Listens After You Speak Up There is a social conundrum for women in which speaking one’s opinion openly and flatly can be considered “un-ladylike.” It’s sort of a frustrating conundrum because trivializing any female opinion someone does not want to hear can occur easily just by accusing her of being a bitch, of being hyper-sensitive, or, of course, everyone’s favorite: Is it your menses, dear? First and foremost, this social practice of gaslighting women who are being harassed or steamrolled is not the fault of the women at hand. Let’s make that perfectly clear. Gaslighting refers to the practice of convincing someone that their opinions or emotions are warped. There are other ways that women are subtly silenced in education, work spaces, and even relationships. So if you’re ever in a position where you feel uncomfortable or unwelcomed speaking up, here are a few suggestions that I sincerely hope can help. 1. The compilation of these phenomena represents a normalized paradigm of victim blaming. 2. 3. 4. 5.

La série culte qui s'est fait désirer Depuis mardi 4 mars, les fans français d'une des séries les plus désopilantes des années 2000 peuvent se procurer un coffret DVD attendu depuis des lustres et voir s'afficher, sur fond de rock énervé de They Might Be Giants, le menu qui suit: publicité Véritable arlésienne de l'édition vidéo pour de fâcheuses raisons de droits musicaux, la faute à une belle bourde de la Fox qui fait rager les fans depuis des années, la série Malcolm créée par le canado-américain Linwood Boomer est donc enfin trouvable dans les bacs DVD français. Seule sa première saison -sur les sept produites entre 2000 et 2006- est pour l'instant disponible, en attendant l'arrivée de la saison 2 dans quelques semaines. On n'aurait pas craché sur la sortie directe d'une intégrale, mais bon, life is unfair, comme dirait l'autre. Ce dernier contre-exemple n'est pas choisi au hasard: Linwood Boomer, le créateur de Malcolm, a en effet débuté sa carrière comme acteur dans La Petite Maison dans la prairie! Alexandre Hervaud

[8 MARS] Notre liste de liens cools pour s’informer sur le féminisme – NEON On ne naît pas féministe, on le devient. Un jour, on ouvre les yeux sur la persistance des inégalités et du sexisme dans notre société. Puis, par couches successives de sensibilisation, on affine notre regard. Alors en cette Journée internationale des droits des femmes, on vous propose une alternative aux opérations marketing à deux balles et aux blagues de la lose sur le thème « Du coup ce soir, je peux te faire ta fête hinhin ? » On vous a concocté une revue de liens qui permettent d’en savoir plus sur le féminisme. Pédagogie Parce qu’on a pas toujours envie de réexpliquer pour la 10 000ème fois pourquoi le sexisme inversé, ça n’existe pas, et rappeler que le viol n’est pas l’apanage d’un inconnu dans un parking, elles le font pour nous. L’Instant Cookie de Ginger Force est idéal pour répliquer du tac au tac lors d’un débat Facebook qui s’enlise dans le poncif. Avec le passionnant blog Genre ! Pour la culture lesbienne et féministe, on va voir du côté du collectif Barbituerix. Analyse

Qu’est-ce que le féminisme a changé dans ma vie ? | ... dorment furieusement Dire que je croise encore des gens qui ne veulent pas se définir féministes ou pro-féministes. Allez trouver quelqu’un qui refuse de se dire antiraciste ! Même Marine Le Pen essaye de nous faire croire qu’elle combat le racisme. Mais féministe, non. Généralement, à quelqu’un qui me dit qu’il n’est pas féministe, j’aurais envie de répondre : "Ah bon, tu es contre l’égalité en droits des êtres humains en fait ?" Alors, qu’est-ce que le féminisme a changé dans ma vie ? On dit aux féministes qu’elles sont hystériques, les rabaissant à leur statut de femelles incapables de gérer leurs émotions. J’ai gardé le meilleur pour la fin. Si vous pensez que les êtres humains devraient être égaux en droits, quels que soient leurs caractéristiques personnelles, alors vous êtes déjà féministes. Vive le féminisme ! Like this: J'aime chargement…

Enfances roumaines A l'automne 2012, Delphine Schacher se rend en Transylvanie (Roumanie), pour réaliser un travail photographique. Elle décide de l'appeler «Petite robe de fête», en écho au livre du même nom écrit par Christian Bobin. «Dans ce roman, un passage traite notamment avec beaucoup de poésie ce moment du passage de l’âge de l’enfance à celui de l’âge adulte, explique la photographe. Ces lignes m'ont vraiment touchée et accompagnée inconsciemment dans mon travail.» «Dans "Petite robe de fête", il y a clairement une intervention personnelle de ma part. Delphine Schacher est exposée jusqu'au 16 mars à Paris au Centquatre, dans le cadre de Circulations, le festival de la jeune photographie européenne. Par Fanny Arlandis

L’année 2016 est décidément riche en récupérations commerciales, cadeaux rose bonbon et initiatives sexistes à l’occasion de la journée des droits des femmes le 8 mars prochain. Alors que j’avais déjà rédigé un tour de France des pires initiatives il y a 2 semaines, je suis aujourd’hui en mesure de compléter ce bêtisier par ce nouvel article tant l’offre est pléthorique. 2ème épisode du pire de cette journée. 1°) Concours de repassage et pole dance au Salon de la Femme à Angoulème Le Salon de la femme à Angoulème prolonge la journée des droits des femmes les 12 et 13 mars. "Ce n’est pas du tout féministe, surtout pas !" 2°) Le réseau Evalys Une pensée pour toutes les conductrices de bus qui vont devoir supporter les "bonnes fêtes" et autres blagues lourdingues toute la journée du 8 mars. 3°) Ville de Louviers 4°) Téva : les confidences du pénis Téva a décidé de célébrer la journée des droits des femmes...en tendant le micro à 5 hommes! 5°) La journée des droits des femmes vue par Elle Bageslstein

De l’inconvénient pour les femmes de lever son majeur J’arborais fièrement mes nouveaux collants couleur fraise, en mini-jupe, et comme l’expression vestimentaire d’une humeur légère et joyeuse a un prix, j’ai été gratifiée de sifflements et de remarques absconses de la part de commentateurs auto-proclamés qui m’ont croisée en voiture. Auxquels j’ai répondu par un doigt d’honneur et un « connard ». J’étais tout d’abord contente de moi, l’auto-défense agressive étant loin d’être un réflexe mais plutôt une discipline à laquelle je m’exerce. Pourtant un sentiment de malaise suit de près la satisfaction immédiate. Il me dit : je t’humilie car j’ai une bite et que tu as des collants rose et je te rappelle ton statut d’objet sexuel Je lui réponds : je t’humilie avec ma bite qui va te pénétrer et tu seras humilié d’être pénétré. Une réponse plutôt inadaptée de ma part, n’est-ce pas ? La domination est arrivée au point où la colère nous est interdite. Nous n’avons pas d’outils pour être en colère.

Etude Selon une étude de psychologie publiée fin janvier dans la revue International Journal of Eating Disorders, «l'utilisation de Facebook entretient le risque de trouble alimentaire». Des chercheurs de l’université d’Etat de Floride ont interrogé des jeunes femmes d’un âge moyen de 18 ans. En plaçant une partie du groupe devant Facebook pendant 20 minutes, et le groupe de contrôle devant une page wikipédia et une vidéo d’ocelot –un chat sauvage, pour éviter qu’elles soient exposées à des corps humains– ils sont arrivés à la conclusion qu’il existait une corrélation, «petite mais significative», entre le temps passé sur Facebook et l’importance des troubles alimentaires. publicité Interrogées sur leurs habitudes alimentaires, ce qu’elle pensait de leur poids, leur niveau d'anxiété ou si elles voulaient faire de l’excercice, les femmes qui avaient passé du temps sur leur page Facebook avaient des scores plus élevés que les autres. C’est selon Pamela K. À lire aussi sur Slate.fr

Journée des femmes: la véritable histoire du 8 mars La manifestation new-yorkaise censée être à l’origine de la Journée internationale des droits des femmes n’a... jamais eu lieu ! Retour sur ce mythe démasqué par l’historienne Françoise Picq. Les origines de la Journée internationale des femmes, lancée en 1910, reposent en réalité sur un mythe. Françoise Picq, historienne, l’a « démasqué » dès la fin des années 1970 : « À l’époque, toute la presse militante, du PCF et de la CGT, comme celle des “groupes femmes” 1 du Mouvement de libération des femmes, relayée par les quotidiens nationaux, écrivait que la Journée des femmes commémorait le 8 mars 1857, jour de manifestation des couturières à New York. » Or cet événement n’a jamais eu lieu ! « Les journaux américains de 1857, par exemple, n’en ont jamais fait mention », indique Françoise Picq. Une itiniative du mouvement socialiste C’est Clara Zetkin, une enseignante, journaliste et femme politique allemande, qui est la réelle instigatrice de la Journée internationale des femmes.

Face ils gagnent, pile je perds – Le terrible dilemme des feministes. | L'air de rien… Traduit depuis The Terrible Bargain We Have Regretfully StruckPublié par Melissa McEwan le 14 août 2009 sur shakesville.com [Trigger Warning] C’est la réputation des féministes et aussi ma propre réputation cultivée depuis cinq ans grâce à ce blog, pourtant, non, je ne déteste pas les hommes. Beaucoup de misogynes détestent les femmes parce qu’un jour, une femme leur a fait un sale coup et ils s’en servent pour justifier leur haine de toutes les femmes. La plupart des lettres de menaces que je reçois vient d’hommes. Mais je ne déteste pas les hommes, parce que je joue selon des règles différentes. Il y a aussi quelques hommes que je déteste probablement, des hommes pour qui j’ai un profond mépris, mais ce n’est pas parce qu’ils sont des hommes. Non, je ne déteste pas les hommes. Il serait cependant juste de dire que je n’ai pas facilement confiance en eux. Ma méfiance n’est pas, comme on pourrait s’y attendre, une conséquence des actes de violence et d’humiliation que j’ai subis. J'aime :

LGBT Les lycéens californiens vont bientôt apprendre l’histoire des mouvements gay à l’école. Une loi votée en 2011 requiert en effet de changer les programmes d’histoire afin que les Américains LGBT «soient inclus et reconnus pour leurs contributions au développement social économique et politique de la Californie». De nombreuses écoles californiennes abordaient déjà ces sujets, mais l’approche sera bientôt généralisée. Lors du prochain remplacement des manuels scolaires (aux alentours de 2015), les nouveaux livres sélectionnés évoqueront donc des événements tels que les émeutes de Stonewall qui ont éclaté en 1969 à la suite d'une descente de police dans un bar gay de New York. publicité Les opposants à la loi parlent d’une politisation absurde des programmes, avec chaque minorité qui demande reconnaissance officielle. Il y a moins de chiffres disponibles en France, mais selon SOS Homophobie, la majorité des actes homophobes (82%) sont recensés dans le cadre scolaire. Au-delà du «respect»

Temps de lecture: 7 min Chaque 8 mars, depuis 1975, nous célébrons la journée internationale des droits des femmes. Ou la journée internationale du droit des femmes. Ou la journée internationale de la femme. Ou la journée internationale des femmes. Slate avait décrit ici les raisons pour lesquelles ce «foutoir syntaxique» n'a rien n'anodin. Cette récupération commerciale, médiatique, politique et imbécile d'une journée pourtant censée faire avancer la cause des femmes, du moins dans les esprits, est triste à pleurer. Non, je ne veux pas d'émission 100% femmes. D’abord, parce que ça existe déjà, et qu'on sait ce que ça donne. Ces émissions «spécial femmes» ne sont ni plus ni moins qu'un os à ronger Pourquoi diffuser davantage de sport féminin, corriger un invité quand il tient des propos réactionnaires, faire un «C dans l'air» avec au moins deux femmes toute l'année, alors qu'on peut avoir un Taratata spécial femmes avec Nolwenn Leroy le 8 mars? C'est un fait.

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