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Approche par compétences - Éducation nationale / Enfance / Jeunesse / Luxembourg

Approche par compétences - Éducation nationale / Enfance / Jeunesse / Luxembourg
L’approche par compétences consiste en un apprentissage plus concret, plus actif et plus durable. Elle est un des éléments clés des réformes actuelles pour adapter l’école luxembourgeoise aux besoins de notre temps. Il s’agit là d’une démarche dans laquelle sont engagés tous les systèmes éducatifs européens. Elle consiste à définir les compétences dont chaque élève a besoin pour passer à l'étape suivante de son parcours scolaire, pour accéder à une qualification et pour être préparé à l'apprentissage tout au long de la vie. Une compétence, c’est un ensemble de connaissances, de savoir-faire et de savoir-être que l’élève doit pouvoir utiliser pour répondre à un problème précis. Un mécanicien d'automobile doit avoir appris des éléments de mécanique, de pneumatique et d'électronique, mais il n’est considéré comme compétent que s’il est capable d'utiliser toutes ces connaissances pour détecter et réparer la panne de votre voiture. Les compétences ne remplacent pas les connaissances.

L'évaluation des compétences et l'importance du jugement Auteur : Gérard Scallon, Professeur associé, Faculté des sciences de l'éducation, Université de Montréal Pendant plusieurs années et jusqu’à ce jour, les pratiques d’évaluation des apprentissages se sont accommodées sans trop de peine aux concepts de mesure et d’évaluation et elles se sont même développées malgré une certaine confusion entre les termes. L’évaluation est devenue une réalité qui englobe une foule d’opérations, et ce, sans que celles-ci ne fassent nécessairement appel au jugement des personnes qui évaluent. La pratique des examens objectifs, caractérisés par des tâches précises comme répondre aux questions à choix multiple, jouit d’une tradition solidement établie. Les résultats chiffrés obtenus à plusieurs examens sont traités arithmétiquement pour se fondre dans un résultat total qu’il reste à interpréter et à utiliser dans une mécanique de certification. Dans la vie courante, toute information se limite à une donnée stérile si elle ne repose pas sur le jugement.

Un passage obligé dans la planification de l'évaluation des compétences (1ère partie) Auteur : Jacques Tardif, Professeur, faculté d'éducation, Université de Sherbrooke Déterminer des indicateurs progressifs et terminaux de développement Cet article est une adaptation de la première partie d’un texte qui a été soumis pour les Actes du colloque de l’AQPC, 2004, par M. Tardif. Il détermine quelques exigences de l’évaluation des compétences et il fournit un exemple d’évaluation à partir d’une échelle descriptive développée par le ministère de l’éducation du Québec pour la compétence « Écrire des textes variés », étalée sur l’ensemble de l’ordre d’enseignement primaire. La seconde partie de l’article précisera, à la suite de la présentation de deux échelles descriptives élaborées à l’ordre collégial, la nature et les caractéristiques des indicateurs progressifs et terminaux de développement dans le contexte de l’évaluation des compétences et un exemple illustrera ces indicateurs en considérant une compétence en soins infirmiers.

Dangers, incertitudes et incomplétude de la logique de la compétence en éducation 1 La déferlante des compétences touche également d’autres pays, mais nous sommes dans l’incapacité d’ (...) 1L’école ressemble à une mer tumultueuse : au déferlement d’une vague fait suite le déferlement d’une autre. Dans le champ pédagogique, ces vagues ont pour nom : pédagogie active, pédagogie par centres d’intérêt, pédagogie fonctionnelle, pédagogie par projets, pédagogie par objectifs et, dernière écume, pédagogie par compétences. Ces courants successifs ne sont pas des modes : chacun a sa logique propre et, généralement, a pour ambition de combler une défaillance du courant précédent et/ou du système éducatif. 2Pour Delvaux (2003), le concept de compétences constitue un concept étendard dans la mesure où il réalise, autour de lui, le consensus de groupes de pression traditionnellement en opposition. 3La notion de compétences renvoie, en effet, à un réseau intégré de connaissances, susceptibles d’être mobilisées pour accomplir des tâches. 6• elle est orientée vers une finalité 2.

Chroniques en innovation et en formation » Blog Archive » Evaluer pour les apprentissages, ça marche: mode d’emploi (vidéo) texte de la vidéo L’évaluation reste un problème à l’Ecole en France. Dans un collège de 600 élèves, un principal a dénombré les actes d’évaluation délivrés dans une année scolaire : 90 000 notes. « Ils essayaient de «donner de la valeur» à ce qu’ils mesuraient au lieu de mesurer ce à quoi ils donnaient de la valeur. » Hargreaves et Shirley, 2009 Certains en réaction s’engagent dans des « classes sans notes », mais quelle est la question ? L’évaluation scolaire est l’activité la plus routinière, terriblement quotidienne, et celle dont on ne parle jamais (assez), sauf pour s’en plaindre. On passe plus de temps à évaluer qu’à apprendre. La pression notatoire en mettant l’accent sur la comparaison entre élèves, influe directement sur le climat de classe ; elle peut altérer l’estime de soi et la confiance des jeunes dans une école supposée quand même bienveillante. L’évaluation est au cœur du « réacteur scolaire » : elle énergise comme elle brûle. Professionaliser l’évaluation, oui mais comment ?

Définition de l'approche par les compétences; son but et indication des compétences clés dont un élève a besoin. by alimapulcherie Apr 11

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