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Les féministes aiment-elles le sexe ?

Les féministes aiment-elles le sexe ?

Bingo féministe! Dernièrement l'article Bingo féministe et “mansplaining” ainsi que des conversations ardues sur les médias sociaux au sujet du féminisme m'ont donné le goût de revoir les versions de bingo féministe et d'en adapter spécialement pour la situation au Québec, le premier est plus général et l'autre fait état du récent débat assez virulent autour de l'humour sexiste. Un bingo féministe? C'est tout simple! Vos adversaires lors de vos joutes verbales vous servent une phrase classique qui ne figure pas au tableau ? Voici d'autres bingo qu'on peut retrouver sur le web! Un bingo pour les féministes qui jouent à des jeux vidéos! Une version en anglais (qui a grandement inspiré notre version) Une version sur les commentaires que recevaient un blog Une version sur les arguments sexistes dans le milieu de la bande dessinée Une version sur ce qu'on entend sur les agressions sexuelles

All Hail the Queen? What do our perceptions of Beyonce's feminism say about us? Illustration by Irana Douer. Who run the world? If entertainment domination is the litmus test, then all hail Queen Bey. Beyoncé. Beyoncé's success would seem to offer many reasons for feminists to cheer. But some pundits are hesitant to award the singer feminist laurels. Petersen says the singer's lyrical feminism swings between fantasy ("Run the World [Girls]") and "bemoaning and satirizing men's inability to commit to monogamous relationships" ("Single Ladies"). Turns out, booty shaking and stamping your husband's last name on a product of your own creativity makes a lot of folks question your feminist values. Of course, in that very same issue of GQ, Beyoncé makes several statements about gender inequity—the sort not often showcased in men's magazines. A popular star willing to talk about gender inequity, as Beyoncé has, is depressingly rare. Dr. More problematic to some is the name of Beyoncé's world tour—the Mrs.

L’humour pour les nuls | Depuis quelque temps, à force de l’ouvrir au sujet de l’humour, mes amis militants et moi, on a fini par atteindre certaines oreilles. Et, comme on pouvait s’y attendre, nos propos et nos revendications n’ont pas été du goût de tout le monde. Il faut dire que le sujet est délicat dans une société où il est de bon ton de dire « qu’on peut rire de tout mais pas avec tout le monde » et ce sans même se demander pourquoi et dans quel contexte Desproges a bien pu dire ça. Bref, captain obvious to the rescue, les gens veulent rire de tout. Ou plutôt, ils veulent rire de ce qu’ils veulent sans se prendre la tête et surtout, sans réfléchir. Les gens veulent rire de tout donc, et craignent pour leur droit à continuer de dire « oogah boogah » devant un noir quand on dénonce leur humour intolérant. Mais qu’à cela ne tienne, si j’ai créé ce blog, c’est parce que je ne crois pas qu’il existe de causes perdues. « Mais si on ne se moque plus des opprimés, de quoi allons-nous rire ? Égalitariste

Chère fille qui veut percer - Genre & Féminisme(s) Chère fille qui veut percer J’ai fait le décompte. Depuis le mois d’août, depuis que je suis arrivée au Voir à temps plein, six pages frontispices ont mis en vedette des musiciens hommes. Pour les femmes, la récolte est mince. J’en compte deux avec celle qui est dans les bacs ce jeudi. Il en découle un constat, même si tout ceci n’est que le fruit du hasard. Lire la suite sur le site d'origine travailinégalités Rape Culture : Pas assez jeunes, Pas assez de sang, ces mauvaises victimes de pédocriminalité Donc il y a ce type, 28 ans, ne suit presque que des adolescentes sur son compte Twitter. Près de 300. Et depuis hier, il y a ces jeunes filles qui ont osé briser le silence, raconter, et signaler. Une fois ses agissements signalés, on pouvait lire sur sa TL toute une logorrhée sur la folie des internets et de ces gens timbrés qui ne rêvaient que de briser de pauvres innocents pour se sentir exister." Hier soir, quand je lisais sa TL, j'en aurais gerbé tripes et boyaux. En effet, à partir du moment où les mots "harcèlement sexuel" et "pédoprédateur" ont été prononcé, une belle poignée de défenseur(e)s de la cause de ce brave type s'est formée. Et bien, nous y voila. Evidemment que c'est de la faute des jeunes filles. Et puis j'ai croisé une des victimes. Vous pensez peut être que pour votre fille, votre soeur, vos amies, vos cousines, votre voisine ou même votre femme/petite amie, c'est ou ça n'a pas été pas pareil. Ca n'a jamais été des approches creepy en mode "tu aimes les bonbons?

Judith Jarvis Thomson: A Defense of Abortion Judith Jarvis Thomson: A Defense of Abortion From Philosophy & Public Affairs, Vol. 1, no. 1 (Fall 1971). (Reprinted in "Intervention and Reflection: Basic Issues in Medical Ethics," 5th ed., ed. Ronald Munson (Belmont; Wadsworth 1996). pp 69-80.) Most opposition to abortion relies on the premise that the fetus is a human being, a person, from the moment of conception. I am inclined to agree, however, that the prospects for "drawing a line" in the development of the fetus look dim. I propose, then, that we grant that the fetus is a person from the moment of conception. It sounds plausible. In this case, of course, you were kidnapped, you didn't volunteer for the operation that plugged the violinist into your kidneys. Nor do they make an exception for a case in which the mother has to spend the nine months of her pregnancy in bed. Let us call the view that abortion is impermissible even to save the mother's life "the extreme view." The most familiar argument here is the following.

L'égalitarisme, c'est pas ce que vous croyez — Boobs en Photo de Profil La Ménade, cette funambuliste de la contraception | La Ménade Mon poussin fleuri, Ça faisait un moment que j’avais envie de te parler d’un truc, et puis je trouvais que c’était rudement intime de t’y exposer ça à l’interweberie, mais j’avoue que c’est aussi un de mes sujets de prédilections. Du coup, je me vautrais dans la dilemmerie, jusqu’à ce que… Jusqu’à ce que la Valérie/Georgette publie ça : (que j’aimerai beaucoup que tu le lises, parce que je vais m’épargner beaucoup de lignes à ne pas répéter ce qu’elle dit déjà) Et là je me suis dit que Karma il avait vraiment très envie que je te parle de ma chatte. Bon alors, je vais pas faire de schéma 3 par 7, on va sous-entendre tacitement que tu connaitras tous les termes techniques qui vont être employés. J’ai d’abord rattrapé aux branches les vieux réflexes et j’ai couru me faire prescrire des hormones à gober. Force fut de constater que c’était un échec. J’ai donc arrêté la pilule.

BuzzFeed dénonce les rôles genrés en vidéo Pondu par Lady Dylan le 1 avril 2014 Et si les rôles genrés des enfants étaient appliqués aux adultes ? C’est le postulat de la dernière vidéo de BuzzFeed, avec une vraie dénonciation à la clef. « Le rose, c’est pour les filles » : voilà bien quelque chose que vous n’avez plus entendu depuis votre sortie de l’école primaire, non ? Pour leur dernière vidéo, les gens de BuzzFeed ont imaginé que les rôles genrés des enfants étaient appliqués aux adultes. *Oui, leurs supérieures, au féminin. Si nous appliquions les rôles genrés des enfants aux adultes.« Bienvenue, voici vos nouveaux ordinateurs de travail »« David, tu ne peux pas porter ça, c’est une couleur de filles »« Oh, attends attends, prends… celle-ci ou celle-ci… ouais… tu vois, c’est mignon ! Non, hein ? Parce que ce qui frappe finalement dans cette vidéo, c’est qu’elle n’est pas si décalée que ça. Là où la vidéo BuzzFeed fait fort, c’est qu’elle amène à s’interroger avec une approche humoristique. Plus de Lady Dylan sur le web :

Gendering Your Household by Smell « Inequality by (Interior) Design There’s a small body of work on the sociology of smell that deals with gender. Scents, their cultural meaning, and our experiences of them are culturally mediated processes (here, here, and here). What women and men ought to smell like is, in some ways, just another of the various ways in which we are all held accountable to recognizable performances of gender. Controlling one’s own scent is a small part of this process. And controlling the scent of your home–perhaps in different ways for different spaces within the home–is a piece of gendering our social environments as well. Yankee Candle stores are always fun. Like a number of products catering primarily to women, Yankee has developed a “men’s line.” Yankee thinks they do, and if their online catalog of “Man Candles” is representative of people’s candle desires, apparently people agree. Read the Man Candle scent descriptions: In part, this is clearly undertaken out of a desire to broaden Yankee’s market base. Like this: Like Loading...

Surveille ton langage ! | Brasiers et Cerisiers Si vous avez été envoyé vers cet article par un lien posté suite à vos propos, prenez le temps de le lire, au calme, sans a priori. Vous verrez qu’au final, il n’ y a rien de dramatique. Une société de dominations Nous vivons dans une société (ou un agglomérat de sociétés connectées) qui baigne dans les oppressions diverses et variées : racisme, sexisme, homophobie, biphobie, lesbophobie, transphobie, classisme, validisme… Depuis notre naissance, selon notre milieu et notre parcours, de nombreux facteurs influencent notre façon de penser, parler, agir : éducation familiale et scolaire, culture (livres, cinéma, chansons, télé-poubelle ou télé-qualité, patrimoine…), publicités, rencontres, administrations publiques et privées, compositions et ambiances de nos lieux de travail et de loisirs, hasards de la vie. Renforcement des oppressions. L’usage de ces termes dans la vie courante renforce ces systèmes de dominations. Pour résumer : Evident ? Pas tant que ça. Ce n’est pas un drame.

La culture du viol expliquée aux garçons | S’il y a une chose qui me rend malade, qui me donne la nausée, qui me donnerait des envies de violence comme j’en ressens très rarement, c’est le viol. Et pourtant, j’ai la chance (et ça ne devrait pas être une chance, ça devrait être la normalité) de ne pas en avoir été victime. Mais quand j’essaye d’alerter les gens sur la culture du viol, tout le monde a tendance à relativiser. Mais je pense que c’est aussi parce que les hommes ne se rendent pas compte de la réalité des choses. Et pourtant, je crois avoir trouvé comment leur faire comprendre. Nous commettons l’erreur, quand nous essayons d’expliquer la « culture du viol » à notre entourage masculin de parfois chercher à inverser les rôles. On dit à un pote: « imagine une femme te viole ». Bon : « Imagine une vieille femme grosse avec de l’herpès te viole »… Sauf qu’à ce point là, on a déjà raté notre argumentaire. Donc je crois avoir trouvé la solution pour vous faire comprendre : j’aimerais que vous imaginiez vous faire enculer. J'aime :

Cinq intox sur la « théorie du genre » C'est le dernier « coup » des opposants à la supposée « théorie » du genre : suivant les recommandations de Farida Belghoul, ancienne figure de la lutte des « Beurs » des années 1980, devenue proche du militant d'extrême droite Alain Soral, des dizaines de parents ont retiré, lundi 27 janvier, leurs enfants de l'école pour protester contre « l'enseignement obligatoire de la théorie du genre » dès la primaire. Lire les dernières informations Après des boycotts de parents, Peillon dément tout enseignement du « genre » à l'école Une vaste opération d'intox, qui repose sur des fantasmes de plus en plus répandus. Première intox : il existerait une « idéologie du gender » pour imposer de force « une société basée sur les orientations sexuelles qui deviennent le fondement du droit et de l'égalité » Or, c'est tout simplement faux. Lire : La « théorie du genre », ennemie de « l'ordre naturel » Deuxième intox : l'enseignement de la « théorie du genre » devient obligatoire

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