ruches et abeilles | blog Reptily-Family
Depuis que j'ai des ruches je me suis fait piquer de nombreuses fois. Il arrive que ce soit plus de 10 piqûres d'un coup... Ça grattouille, mais ça passe (surtout en virant les dards avec une lame et en utilisant un aspivenin (je viens de lire que l'aspivenin était d'une très faible utilité... cette affirmation m'étonne) Il y a deux ans je me suis fait piquer à la main gauche... et au cours de la nuit un œdème s'est formé, m’empêchant de dormir. Je l'ai gardé deux ou trois jours. J'ai appréhendé les piqûres suivantes me demandant si je n'allais pas me retrouver à l’hôpital. Quelques temps plus tard j'ai pris une charge de dards envenimés dans l'entre jambe (je ne mettais qu'une couche de textile à l'époque) qui n'a pas entraîné de réaction à mon grand soulagement. Aujourd'hui, ça va, ça chatouille encore dans les doigts et je me surprends à vérifier de temps en temps que ma main fonctionne bien mais c'est chiant et je crois qu'il va falloir que je me protège davantage...
Propolis
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La propolis est un matériau recueilli par les abeilles à partir de certains végétaux. Cette résine végétale est utilisée par les abeilles comme mortier et anti-infectieux pour assainir la ruche. Le mot propolis vient du grec ancien πρόπολις, entrée d’une ville, par allusion à la réduction de l'entrée de la ruche avec de la propolis pour défendre la colonie. Abeille dont les corbeilles à pollen sont également utilisées pour le transport de la propolis. Origines[modifier | modifier le code] Bourgeon de marronnier. L'ouvrière transporte cette résine dans les corbeilles de ses pattes arrières (de la même façon que le pollen). Composition[modifier | modifier le code] Propolis brute. La propolis recueillie dans la ruche est constituée globalement de : La propolis contient également beaucoup d’autres éléments comme des acides organiques, de très nombreux flavonoïdes, des oligo-éléments, de nombreuses vitamines. Récolte[modifier | modifier le code]
Flow, une ruche innovante pour récolter le miel sans déranger les abeilles
Des apiculteurs ont imaginé une ruche innovante qui pourrait révolutionner le monde de l'apiculture. Entièrement repensée, la ruche laisse le miel s'écouler par des tuyaux, sans besoin d'extraction complexe. Suivez-nous sur Facebook Avant de partir, suivez-nous sur Facebook Vous êtes déjà abonné ? Partager sur Facebook Et si le miel pouvait être récolté aussi rapidement que l'eau coule du robinet ? Mais deux apiculteurs australiens, Stuart et Cedar Anderson, père et fils, ont eu une idée folle pour changer tout ça : ils ont imaginé une ruche nouvelle génération qui pourrait grandement faciliter la récolte du miel tout en améliorant le bien-être des butineuses. L'invention vient d'être dévoilée sur le site Indiegogo dans le cadre d'une campagne de récolte de fonds. Un système innovant Flow a nécessité pas moins de 10 ans de travail et de recherches mais l'invention est étonnante de simplicité. Lorsque le miel est prêt, là encore pas besoin d'ouvrir la ruche. Le succès au rendez-vous
Droit d’initiative législative citoyenne
(R)évolutionnons l'agriculture
Consommation excessive de pétrole, pollution, usage massif de produits phytosanitaires, standardisation de la production, appauvrissement des terres nourricières, disparition des paysans… Les conséquences de l’agriculture actuelle sont lourdes. Aujourd’hui, nous avons le pouvoir d’inverser la tendance ! Faisons le choix d’une production agricole biologique et locale, respectueuse de la nature et des humains ! Crédits : Scénario : Cyril Dion, Colibris Réalisation, dessins et voix off : Corentin Lecourt / corentin.lecourt.free.fr Montage : Thomas Courcelle pour Isotom Productions After Effect : Sébastien Fillinger Sound Design : Ludovic Jokiel assisté de Benoît Mora pour AOC Prod.
Première création d'un vaccin pour les abeilles - 20minutes
Le futur verra peut-être les abeilles se faire vacciner. Deux chercheurs finlandais viennent d’annoncer la création du tout premier vaccin pour insecte, nommé le PrimeBEE. Il servira à les protéger contre la loque américaine (American foulbrood ou AFB en anglais), qui ravage des colonies entières. La maladie infecte les larves qui meurent et se décomposent dans une masse collante et extrêmement contagieuse, permettant à la maladie de se répandre à vitesse grand V dans toute la colonie. Ce vaccin, donné en nourriture à la reine et qui produirait ainsi des larves immunisées à la maladie en se mélangeant avec la vitellogénine (une protéine très présente dans les œufs d’abeille), pourrait être étendu à d’autres infections, comme la loque européenne ou les champignons, mais surtout à tous les animaux dont les œufs produisent de la vitellogénine.
Mais pourquoi les apiculteurs français sont-ils englués dans leurs stocks de miel ?
Entre les essaims de frelons asiatiques, les printemps en plein hiver, les étés à rallonge, et les pesticides, les fléaux s’abattent les uns après les autres sur les quelque 3.000 apiculteurs français, sans compter les 60.000 amateurs. Dans un pays qui consomme 45.000 tonnes de miel par an, leur problème devrait essentiellement être d’en produire assez pour rassasier tout le monde. « Pourtant, on a de plus en plus de mal à le vendre », souligne Olivier Fernandez, le président du Syndicat des apiculteurs d’Occitanie. Cette année particulièrement, 20.000 tonnes récoltées dans l’Hexagone, soit l’équivalent d’une année de production, dorment encore sur des palettes dans les fermes en attendant preneur. « Il y a même des petits producteurs qui n’arrivent plus à écouler leurs pots en vente directe sur les marchés », assure Muriel Pascal, membre de la commission apicole de la Confédération paysanne. « Sirop de synthèse » Alors quelle est cette nouvelle avanie qui rend le miel national si amer ?
Une espèce migratrice sur cinq est menacée d'extinction, selon un rapport des Nations unies
Cet article a été initialement publié en anglais Selon ce rapport de l’ONU, qui porte sur 1 200 espèces dans le monde, 44 % d'entre elles sont en voie de disparition et près d’un cinquième sont menacées d'extinction. Des milliards d'animaux effectuent chaque année des voyages migratoires à travers la terre, les mers et les cieux. Mais jusqu'à présent, il n'existait pas de données complètes sur l'état de conservation ou les tendances démographiques de ces animaux. Pour la première fois, il existe des preuves irréfutables des dangers auxquels ils sont confrontés. Bien que la situation de certaines espèces migratrices s'améliore, l'étude révèle que près de la moitié d'entre elles (44 %) voient leur population décliner. Au cours des 30 dernières années, 70 de ces animaux migrateurs - dont l'aigle des steppes, le vautour percnoptère et le chameau sauvage - sont devenus plus menacés. Quelles sont les principales menaces qui pèsent sur les espèces migratrices ?