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Marc Dufumier: «Nous produisons largement de quoi nourrir tout le monde»

Marc Dufumier: «Nous produisons largement de quoi nourrir tout le monde»
Marc Dufumier, agronome engagé et professeur émérite à Agroparistech, vient de publier 50 idées reçues sur l’agriculture et l’alimentation (Allary Editions). Dans cet ouvrage sous forme de «vrai-faux», il remet en cause des dérives de l’agriculture industrielle, en proposant des solutions plus durables. Son intervention sur France Inter jeudi matin résume bien son propos: «Plus grave encore que le cheval dans les lasagnes de bœuf, c’est les anti-inflammatoires dans la viande de cheval. Dans son ouvrage, l’agronome aborde la PAC, les pesticides, les OGM, les abeilles, l’élevage ou encore le goût des tomates, avant d’élargir la perspective en abordant la question de la mauvaise répartition de la nourriture dans le monde: «La terre ne produit pas assez pour nourrir ses 7,2 milliards d’habitants. Autre problème pointé du doigt, «dans certains pays du sud, des régions entières de terres cultivables sont accaparées par des entreprises privées. Lucie de la Héronnière Partagez cet article

Le roi des miels s'appelle Manuka et provient de Nouvelle Zélande Depuis des siècles le miel est utilisé pour ses propriétés antibactériennes et cicatrisantes pour traiter des blessures ou brûlures. De nos jours des médecins s'efforcent de faire revivre l'utilisation de ce vieux remède traditionnel en ayant à nouveau recours au miel dans certains cas où les médicaments modernes ne permettent pas d'obtenir de résultats dans la guérison de plaies cutanées. De nombreuses études ont été réalisées auprès de patients traités avec du miel. Ces propriétés sont partagées par de nombreuses variétés de miel qui contiennent également de grandes quantités d'eau oxygénée (peroxyde d'hydrogène), une substance utilisée pour désinfecter les plaies et écorchures mineures. Les propriétés antibactériennes du miel varient d'une variété de miel à l'autre, qui dépend du type de fleurs butinées par les abeilles. Un miel plus puissant provenant des fleurs d'un arbre de Nouvelle-Zélande Soignez vos blessures avec du miel! Références:

les planteurs volontaires du Nord-Pas de Calais - guillou vachakone - Activisme L'association des Planteurs Volontaires du Nord-Pas De Calais, dontl’objet est le reboisement de notre région au travers de projets participatifs et citoyens plantera cet hiver pas moins de 20 000 arbres. Vous aussi, participez à ce formidable élan. Entreprises, associations, collectifs, habitants, municipalités, établissements scolaires et agriculteurs peuvent, ensemble, faire que notre région ne soit plus la moins boisée de France. Notre méthodologie de projet inclue une très importante part de concertation avec le monde agricole. Elle questionne les usages de la haieet de l’arbre dans l’exploitation agricole, mais aussi dans les zones d'activités économiques. Haies bocagères, arbres têtards, vergers et forêts, sont des éléments du paysage indispensables aux équilibres de la nature et à l’enchantement du monde. Ceux qui fondent l’avenir ont des traits anodins ; en silence, ils sèment les forêts de demain dans le cœur des hommes. contacts : planteurs volontaires N-pdc

Le pire moyen de manger des œufs 50 idées reçues sur l'agriculture et l'alimentation, de Marc Dufumier, Allary... Des réponses claires et scientifiquement incontestables qui remettent en cause beaucoup de nos idées reçues. Que se passe-t-il vraiment dans nos assiettes et nos campagnes ? La plupart des tomates n'ont plus de goût. Vrai. Boire beaucoup de lait est bon pour la santé. Faux. Le réchauffement climatique met en péril nos vins. Vrai. Nos races animales sont en voie de disparition. Vrai. L'agriculture industrielle vend des produits « bon marché ». Faux. Vivre à la campagne est bon pour la santé et rend plus heureux. Faux. A propos de l'auteur Professeur émérite à l'AgroParisTech, expert auprès des Nations unies (FAO) et de la Banque mondiale, Marc Dufumier est l'un des plus grands spécialistes mondiaux des questions d'agriculture et d'alimentation. 50 idées reçues sur l'agriculture et l'alimentation, de Marc Dufumier, Allary Editions, 06/02/14, ISBN : 978-2-37073-001-5, EAN : 9782370730015, 256 p., 18,90 €.

Volailles contaminées aux bactéries : le rapport qui fait froid dans le dos L'UFC Que Choisir a publié son rapport d'analyse de cent échantillons de volailles vendues dans la grande distribution, sur les marchés et en boucherie. 26% d'entre elles seraient contaminés aux bactéries antibiorésistantes. Une volaille sur quatre est porteuse de bactéries résistantes aux antibiotiques selon le rapport de l’UFC Que Choisir paru lundi 10 mars. L’association de consommateurs a testé en laboratoire une centaine d'échantillons de volaille vendues en supermarché, marché et boucherie. Sur les cent morceaux analysés, plus d’un sur quatre était porteur d’un nombre significatif de bactéries Escherichia coli, résistantes aux antibiotiques. Parmi les échantillons contaminés, 23% (parmi lesquels les volailles Label Rouge) comportaient des bactéries résistantes aux antibiotiques critiques : des antibiotiques dit "cruciaux", utilisés en médecine humaine dans le cas de pathologies graves. Sans surprise, les poulets et dindes standards et premiers prix Icône de liens externes

Des légumes en bocaux faits maison, qui se conservent un an et plus, sans stérilisation, sans congélation, c’est possible ? Il faut ajouter aussi : qui ont autant de vitamines, si ce n’est plus, que les légumes frais… Oui, c’est possible et c’est même très bon. Non ce n’est pas une galéjade, ni une arnaque, ni une fanfaronnade, c’est même un procédé connu depuis au moins dix mille ans : la lacto-fermentation. Comment est-ce possible ? La lacto-fermentation est un procédé de conservation utilisé depuis le néolithique, excusez du peu, et qui consiste à laisser macérer les aliments avec du sel, ou bien les plonger dans une saumure, en l'absence d'air. Il se produit alors une fermentation, c'est à dire une activité microbienne qui va secréter des substances, entre autres de l'acide lactique, du gaz carbonique et divers enzymes. Icône de liens externes commence à travailler, puis d'autres bactéries lactiques, comme par exemple Lactobacillus plantarum Icône de liens externes et Lactobacillus cucumeris , prennent le relais. Quels sont ces aliments ? : olives, câpres... Est-ce dangereux ? Comment on fait ?

10 gros mensonges sur la nutrition Les consignes officielles en nutrition diffusées dans les écoles, les hôpitaux, les médias, sont inexactes et contradictoires. J’ai fait une liste des pires exemples ci-dessous, mais ce n’est malheureusement que la pointe émergée de l’iceberg. Voici 10 gros mensonges, mythes et idées fausses qui circulent : 1. « Idéalement, la journée débute avec un repas équilibré, composé d’un laitage, d’un fruit et d’une boisson… », écrit Flora Genoux en page 15 du journal Le Parisien, mardi 3 décembre 2013. Ces conseils dérivent directement des recommandations officielles de manger, au petit-déjeuner, une tartine de beurre et de confiture, un jus d’orange et un bol de lait. On retrouve une variante de ce mythe sur les boîtes de céréales, qui martèlent aux enfants que leur petit-déjeuner idéal se composera, par exemple, d’un « bol de Kellogg’s Corn Flakes avec du lait (pour le calcium) et d’un jus d’orange (pour les vitamines) ». Faux, faux, faux sur toute la ligne. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11.

Municipales : « zero phyto, 100% bio » objectif des communes exemplaires FRANCE, Montélimar : Des élèves mangent leurs repas bio. ® Fred Dufour / AFP Photo Plusieurs associations veulent inciter les communes à réduire l’usage des pesticides et à instaurer le bio dans la restauration collective tout en encourageant les candidats des municipales à s’engager. Elles ont lancé la campagne « 0 phyto, 100% bio » et publieront 1er avril des cartes représentant l’engagement des communes sur ces deux aspects. Plus de 8 millions de repas par jour sont servis en restauration collective, dont plus d’un tiers en restauration scolaire. Pour cette raison, les collectivités jouent un rôle fondamental dans le développement de l’alimentation issue d’agriculture biologique. Une loi a certes été adoptée en janvier pour interdire l’usage des pesticides dans certains espaces publics, surtout les parcs, d’ici 2020. Carte de France des « communes bio » et des « communes sans pesticides » Des exemples de villes pionnières On le voit, la tâche est immense. Hélène GÉLOT

Les oligos, kesako ? Accueil > Au menu > Articles > Les oligos, kesako ? Les oligos, kesako ? Le rôle des oligo-éléments Les oligo-éléments font partie de la famille des minéraux. Ce sont des molécules indispensables au bon fonctionnement de notre organisme. Concrètement, comment ça marche ? Notre organisme est composé de plusieurs milliards de cellules. Oligo-éléments essentiels et non-essentiels On dénombre 2 types d’oligo-éléments. Les oligo-éléments essentiels : ils sont dits essentiels car ils jouent un rôle dans l’activation des enzymes. Les oligo-éléments non essentiels : Ils n’ont pas d’action physiologique naturelle, mais certains sont dotés de propriétés pharmacologiques. A noter que toute carence ou tout excès en oligo-éléments peut entraîner des dysfonctionnements et des pathologies. 9 oligo-éléments essentiels Le fer Il est une substance essentielle. L’iode Elle est indispensable à la fabrication des hormones thyroïdiennes. Le cuivre il joue un rôle anti-inflammatoire et anti-infectieux.

Viande de cheval : nouveau scandale C'est la plus vaste investigation internationale jamais menée sur la viande de cheval en provenance des Amériques vendue dans les supermarchés français. Pendant 2 ans, nos enquêteurs ont suivi le calvaire des chevaux à travers les Etats-Unis, le Canada, le Mexique, l'Uruguay et l'Argentine. Le constat est terrible : des chevaux émaciés, malades ou blessés s’échangent au prix de 9$ sur les marchés aux enchères américains. Des bétaillères bondées, parcourent des milliers de kilomètres au cours desquels les chevaux n'auront ni eau, ni nourriture. Des centres de rassemblement regroupent des milliers de chevaux exposés à la neige et au grand froid au nord tandis qu'au sud, le soleil est impitoyable pour ces chevaux laissés sans abri. Nous avons filmé de nombreux chevaux avec des plaies ouvertes, des yeux crevés, des membres déboités ou cassés, laissés sans soin ; d'autres morts, en décomposition, dans les feedlots. → Télécharger le dossier complet Icône de liens externes → Voir la vidéo

Aux États-Unis, les vaches sont nourries aux bonbons Aux États-Unis, certains éleveurs bovins alimentent leur bétail avec des bonbons pour faire des économies et engraisser l'animal plus rapidement. C’est la nouvelle trouvaille de certains éleveurs de bovins américains pour faire des économies sur le fourrage destiné à nourrir les animaux. En réponse à la hausse des prix du maïs, les vaches de certaines exploitations sont désormais nourries de friandises bon marché à hauteur de 8%. Morceaux de bonbons, mix de chocolats ou encore miettes de biscuits industriels, non seulement les rebuts des usines de sucreries assurent d’importantes économies aux producteurs (160$ pour une tonne de pépites de bonbons contre 315$ pour une tonne de maïs), mais ils permettent aussi d’engraisser les vaches plus rapidement. “Ces aliments ont un ratio de graisse bien plus élevé que le maïs traditionnellement utilisé” explique Joseph Watson, éleveur dans le Kentucky. Plus inquiétant encore, certains bonbons seraient donnés aux vaches dans leur emballage.

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