background preloader

Oeuvre

Oeuvre
Les définitions de notions présentées dans ce glossaire sont conçues comme provisoires et pouvant être modifiées, clarifiées ou complétées. Tout feed-back à leur sujet est le bienvenu. Il peut être adressé directement à J.-J. Ducret, ou en déposant un message sur le Forum du site. abstraction empirique Processus par lequel une information (la couleur, le poids, la force, etc.) est extraite d’un objet extérieur, des propriétés matérielles de l’action propre, voire même de propriétés des processus psychologiques, au moyen d’un cadre notionnel apriori ou d’un schème d’assimilation (rappelons que l’objet extérieur est lui-même le produit d’une construction de schèmes interagissant entre eux et avec leur milieu). Définition élargie "Nous nommons abstraction empirique celle qui porte sur les objets physiques ou sur les aspects matériels de l'action propre tels que des mouvements, poussées, etc." - Recherche dans "Présentation de l'oeuvre de Piaget" abstraction logique Définition élargie animisme

Psychologie générale: Les grands courants de la psychologie Les grands courants de la psychologie : Courant gestalthéoricien : Théorie psychologique et philosophique de Köhler qui refuse d'isoler les phénomènes les uns des autres pour les expliquer et qui les considère comme des ensembles indissociables structurés. Le gestaltisme a dominé la psychologie expérimentale jusqu'à la seconde guerre mondiale. Son influence a été profonde dans l'étude du comportement animal. Deux branches : Expérimentale (Wundt), Phénoménologie (Brentano et Husserl) Courant Phénoménologique :Ce courant a été étudié par Husserl, par le biais de la primauté à l’intentionnalité.La phénoménologie, science de l’apparaître, est l’étude descriptive des phénomènes dans le temps et dans l’espace, sans référence aux lois explicatives du phénomène en lui-même.Il existe une interaction permanente et réciproque entre la conscience du sujet et le monde. Trois branches : Philosophiques (Husserl), Psychologique (Brentano), Existentialiste (Heidegger)

Le positivisme scientifique JUIGNET Patrick Parmi les différentes manières de concevoir la science, il en est une qui a dominé le XIXe et le début du XXe siècle, c'est le positivisme. Le positivisme scientifique est à la fois une conception du monde et un ensemble de propositions épistémologiques. Pour citer cet article : JUIGNET, Patrick. Plan de l'article : Situer le positivismeDéterminisme et rationalitéL'expérience et la méthode expérimentaleCausalité ou légalité ? Texte intégral : 1. Le terme "positif", en ce qui concerne la connaissance, a été employé dès le XVIIe siècle pour désigner l’appui sur des faits avérés, l’existence d’un fondement solide sur lequel on pourrait s'appuyer par opposition à flou, incertain, chimérique. Auguste Comte, dans son Cours de philosophie positive, a voulu donner une assise à la science positive. Du coup, nous devons préciser l'emploi du terme de "positivisme scientifique". 2. Pour le positivisme, tout ce qui est dans la nature peut être connu rationnellement. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

» Comment s’élabore le savoir scientifique? - PhiloLog « L'idée la plus simple que l'on puisse se faire de la naissance d'une science expérimentale est celle qui repose sur la méthode inductive Des faits isolés sont choisis et regroupés de manière à faire ressortir les régularités qui les relient. Et regroupant ensuite ces régularités, on en fait apparaître de nouvelles plus générales, jusqu'à obtenir un système plus ou moins unitaire capable de rendre compte de l'ensemble des faits donnés, de telle manière que, par une démarche inverse, purement intellectuelle, l'esprit puisse, à partir des dernières généralisations effectuées, retrouver à nouveau les faits isolés. Les progrès véritablement importants réalisés dans notre connaissance de la nature sont nés d'une démarche presque diamétralement opposée a la démarche inductive Une compréhension intuitive de ce qui est essentiel dans un ensemble complexe de faits amène le chercheur à poser une ou plusieurs lois fondamentales à titre d'hypothèses. Albert Einstein. Einstein et Infeld. Partager :

» Résultats de recherche » empirisme - PhiloLog * J’adresse tous mes remerciements à Monsieur Joseph Yvon Thériault pour l’autorisation qu’il m’a accordée de diffuser ce remarquable article, extrait de l’ouvrage Démocratie et modernité. L’auteur est professeur de sociologie politique au département de sociologie de l’Université du Québec à Montréal et titulaire de la chaire de recherche du Canada en mondialisation, citoyenneté et […] Lisez l'article complet * « Quand on est jeune il ne faut pas remettre à philosopher, et quand on est vieux il ne faut pas se lasser de philosopher. Car jamais il n’est trop tôt ou trop tard pour travailler à la santé de l’âme. Or celui qui dit que l’heure de philosopher n’est pas encore arrivée ou […] Lisez l'article complet « L’idée la plus simple que l’on puisse se faire de la naissance d’une science expérimentale est celle qui repose sur la méthode inductive Des faits isolés sont choisis et regroupés de manière à faire ressortir les régularités qui les relient. Lisez l'article complet 1° Le réel.

Epistémologie Karl Popper Eléments de biographie Philosophe et épistémologue, né à Vienne de parents juifs convertis au Protestantisme. Il devra fuir les persécution nazies et en gardera une vive sensibilité aux menaces politiques. Il fait des études universitaires scientifiques, philosophiques et musicales, en même temps qu'il travaille comme ébéniste, puis comme travailleur social auprès d’enfants défavorisés, et enfin comme enseignant. Il obtient le doctorat de philosophie en 1928 et enseigne en Nouvelle-Zélande de 1937 à 1945, puis à Londres, où il sera professeur de logique et de méthodologie des sciences à la London School of Economics and Political Science (1945-1969) et à l’université de Londres (1949-1969), tout en donnant de nombreuses séries de cours dans les grandes universités américaines. Thèmes majeurs Relativisme, scepticisme, dogmatisme et pluralisme critique Popper critique le relativisme universel et le scepticisme auxquels il oppose le pluralisme critique. Si P, alors Q Et Q Donc P est invalide.

B- Posture épistémologique « Les intellectuels ne savent rien » dira Karl Popper à 83 ans dans sa conférence de Zurich La recherche de la paix (Toute vie est résolution de problème). Plus qu’une provocation, c’est un symbole de la relativité du savoir, et de la stérilité des conflits de doctrines. Pour commencer, tout ce qui a été dit avant ………. est t’il valable ici ? Avant de démarrer cette partie d’épistémologie en sciences de gestion, commençons tout d’abord par faire quelques rappels et constats à la lumière des précédents développements sur la philosophie des sciences.Les critères de scientificité de Popper posent problème dans les sciences humaines, où ils sont difficiles voire impossibles à appliquer. En effet : Il en résulte que le critère de réfutabilité n’est opératoire que dans les sciences expérimentales ou d’observation, comme l’astronomie ou l’histoire (observation critique des documents de tous ordres). Cercle de vienne et l’âge d’or positiviste La connaissance objective ? La validation du savoir

Sociologie compréhensive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Portrait de Max Weber, promoteur de la sociologie compréhensive. La sociologie compréhensive est le courant de la sociologie qui s'intéresse particulièrement au sens que les gens et les organisations donnent à leurs pratiques et représentations : elle ne questionne pas seulement ce qu'ils font ou disent, mais aussi le pourquoi de ce qu'ils font ou disent en acceptant de prendre au sérieux, au moins temporairement, les explications qu'ils en font. Articles connexes[modifier | modifier le code] Portail de la sociologie

La Recherche Quantitative et Qualitative Quelle est la différence entre la recherche quantitative et la recherche qualitative? En un mot, la recherche quantitative génère des données numériques ou des informations qui peuvent être convertis en chiffres. La recherche qualitative, d'autre part génère des données non numériques. Suelement les données mesurables sont recueillies et analysées dans la recherche quantitative . La recherche qualitative met l'accent sur ​​la collecte de données principalement verbales plutôt que des donées qui peuevent être mesurer. Voici une description plus détaillée comparaison entre les deux types de recherche: 1. L'objectif principal d'une recherche qualitative est de fournir une description complète et détaillée du sujet de recherche. La recherche quantitative d'autre part, se concentre davantage dans les comptes et les classification des caractéristiques et la construction de modèles statistiques et des figures pour expliquer ce qui est observé. Lire aussi: Objectifs de la recherche 2. 3. 4. 5.

Les différentes approches dans la recherche. - cadredesante.com Après avoir posé leur question de départ, les étudiants éprouvent la difficulté de plonger dans la phase exploratoire, phase indispensable afin d’appréhender les phénomènes et concepts à étudier de façon à les approcher et d’atteindre l’explication. C’est cette difficulté que se propose de surmonter cet article. Approche dialectique Le terme « dialectique » signifie littéralement « lire à travers ». Par exemple, pour définir l’identité, on est souvent amenés à poser la définition suivante : « l’identité correspond à ce qui est identique à l’autre en se référant à l’autre, en l’imitant… ». En fait, l’approche dialectique représente une tentative d’explication des faits sociaux et peut être holiste, c’est-à-dire qu’elle est liée à la notion de totalité. Approche empirique Le terme empirique correspond à ce qui résulte de l’expérience commune par opposition à l’expérimentation et le théorique. Approche fonctionnaliste Selon B Malinowski [1] : ces éléments sont indispensables. Approche systémique

Des études scientifiques solides nécessitent de nombreuses approches indépendantes Plusieurs études dans de nombreux domaines estiment qu'environ 40 % seulement des résultats scientifiques publiés peuvent être reproduits de manière fiable. Divers organismes de financement et communautés encouragent les chercheurs à reproduire les conclusions des autres équipes de façon systématique. Ces efforts sont louables, mais insuffisants. Nous avons tous les deux consacré la majeure partie de notre carrière à promouvoir des moyens d'accroître la certitude scientifique. Mais la réplication seule ne nous mènera pas plus loin. Nous pensons qu'une protection essentielle contre les idées erronées est la triangulation. N'est-ce pas ainsi que la science est déjà censée fonctionner ? Le problème a été bien résumé en mai 2017 par le cancérologue William Kaelin, qui a déploré que l'objectif des publications scientifiques ait dérivé de « tester des conclusions limitées de multiples façons » à « faire une série d'assertions plus larges, chacune fondée sur des preuves limitées ».

» Opinion Platon distingue dans l'allégorie de la caverne, deux types de connaissance : La connaissance sensible ou doxique et la connaissance intelligible. Nous traduisons le terme grec doxa par opinion. PB : Qu'est-ce qu'une opinion ? On entend par là, une affirmation n'ayant pas été soumise à un examen critique. Cf. Paradoxes 1) Une opinion étant une croyance non examinée, on peut dire, en toute rigueur, qu'elle constitue un impensé. 2) Si une opinion est une croyance, c'est-à-dire une affirmation non fondée en raison, pour celui qui l'énonce, elle est un énoncé théoriquement faible. La question est donc de savoir ce qui fait la force des opinions. De la force des habitudes ou de l'ouï-dire. Du prestige du nombre. De la paresse et de la lâcheté. De leur utilité. Du prestige de l'autorité. Il faut donc tracer une frontière radicale entre l'opinion et la science. Cf. Cf. Partager :

Related: