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Le pouvoir du langage positif : dites-le seulement si cela est vrai !

Le pouvoir du langage positif : dites-le seulement si cela est vrai !
Lorsque vous menez votre équipe à travers une réorganisation, votre influence positive – appelez cela "vibration" si vous le souhaitez – ce qui renforcera la cohésion de l'équipe, et la rendra solidaire pour passer ce cap. “Un discours négatif” peut être l’ennemi caché de votre style de communication. Parfois, vous ne vous apercevez même pas que vous l'utilisez – et cela peut secrètement saboter une relation ou une situation clé. Parler négativement ne signifie pas seulement utiliser des mots tels que “ne pas” et « ne peut pas ». Surtout, il ne s’agit pas seulement des mots que vous utilisez, cela va de pair avec comment vous le dites, le ton de votre voix, votre langage corporel. Et cela n’est pas aussi simple . Voyez cet exemple : Cathy mène son équipe à travers une réorganisation d’entreprise. Cathy devra dire quelque chose à propos des deux membres d’équipe qui ne sont plus là lorsqu’elle intègrera les deux nouveaux membres à l’équipe. Donc, que devez-vous retenir? Related:  vzvd

Sandor Ferenczi - Sur la technique psychanalytique - Psychanalyse-Paris.com Sur la technique psychanalytiquePar le Dr S. FERENCZI (Traduit de l’allemand par Henri Hoesli) Exposé fait au groupe hongrois de psychanalyse au mois de décembre 1918. I Abus de la liberté d’apporter des associations Toute la méthode psychanalytique est basée sur la « règle fondamentale » de Freud qui consiste à obliger le patient à rapporter tout ce qui lui passe par l’esprit. Des névrosés obsessionnels recourent parfois à ce moyen d’investigation pour ne rapporter que des associations absurdes. Ils utilisent le plus souvent ce genre d’associations superficielles pour apporter une série ininterrompue d’associations verbales dont le choix laisse évidemment percer ce matériel inconscient que le malade écarte. À ce sujet une seule mise au point suffit rarement. On sait qu’une autre expression de la « résistance d’association » est le fait que rien ne vient à l’idée du patient. Même la menace de tel malade de s’endormir d’ennui ne doit pas nous déconcerter. III Un moyen d’investigation

Apprendre à désapprendre. En voilà un sacré challenge!!! Beaucoup d’entre vous savent faire du vélo. En général, on apprend ça au cours de notre petite enfance. Comme tous les apprentissages, celui-ci nécessite un certain nombre de répétitions sur un mode essai – erreur – essai – erreur -, etc. Une fois trouvé l’équilibre dans le mouvement, il est reconnu que faire du vélo, “ça ne s’oublie pas”. Alors, surprenant n’est-ce pas ? L’ensemble de nos comportements, compétences et croyances ne sont ni plus ni moins que des apprentissages acquis depuis notre plus tendre enfance. Parfois, ces apprentissages sont utiles ( traverser la route en regardant à droite et à gauche pour éviter de se retrouver à l’hôpital ou au cimetière), parfois ils le sont moins (se liquéfier avant de passer un examen ou un entretien est ni plus ni moins qu’un apprentissage défaillant de la notion de réussite, d’échec, d’enjeux, d’évaluation, de jugement, d’autorité, etc.). Je propose souvent la métaphore suivante à mes clients pour illustrer cette notion d’apprentissage.

Mobilisation et Cohésion L'objectif de la mobilisation est d'accroître le niveau d'engagement et d'implication du salarié. Il est primordial que le salarié ressente que son travail répond à la satisfaction de ses besoins. C'est le véritable levier de la mobilisation. L'un des besoins fondamentaux de l'individu est la sécurité. Le salarié doit sentir qu'il a une sécurité : de l'emploide sa rémunérationde ses conditions de travail Et les autres besoins ? Ils sont plus d'ordre personnel et individuel.

L'engagement actif, la curiosité, et la correction des erreurs Outre l’attention, deux facteurs jouent un rôle déterminant dans les apprentissages : l’engagement actif de l’enfant, et le retour rapide d’informations (feedback). Selon la théorie du « cerveau bayésien », que nous avons examinée dans les années précédentes, l’algorithme fondamental qui permet au cerveau d’ajuster ses représentations du monde extérieur consiste en trois étapes : prédiction descendante, fondée sur le modèle interne actuel ; comparaison de ces prédictions avec les entrées reçues du monde extérieur, ce qui engendre des signaux d’erreur ; utilisation de ces signaux d’erreur afin d’ajuster le modèle interne. Ce modèle du cerveau Bayésien suggère que deux ingrédients sont indispensables à l’apprentissage : la génération d’une anticipation sur le monde extérieur (engagement actif), et le retour d’information sous la forme de signaux d’erreur (en provenance de l’environnement ou de l’enseignant). Quelles sont les conséquences pédagogiques de ces découvertes ?

Psycho-portraits symboliques en groupe : Team building | Psychoportrait Symbolique Comité de la charte du Don en confiance illustration pour le catalogue de formation de Marie-Pierre Medouga alias M P & C L’objectif ? Faire réfléchir 100 bénévoles sur la notoriété du Comité de la Charte du Don en confiance. L’outil ? Des ateliers avec des modérateurs et un starter : le psycho-portrait symbolique La méthode : En amont avec l’équipe dirigeante : réflexion sur les questions et ce qu’on souhaite savoir et/ou cerner La contrainte ? 5 à 10 minutes pour y répondre en début de manifestation. Le Livrable : un questionnaire en 5 items : l’animal (3 choix possible), la couleur, le végétal, le minéral, et trois qualificatifs pour désigner ou représenter le Comité de la Charte du Don en confiance. Le résultat ? 98 % de participants sur les 100. En filigrane ? Renforcer le sentiment d’appartenance au Comité, cette grande maison au service des donateurs et du monde de l’appel à la générosité du public. La restitution ? 10 à 15 minutes maximum au départ de la table ronde : une synthèse évocatrice.

Les 4 piliers de l'apprentissage de Stanislas Dehaene D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? La tâche la plus important des enseignants est de canaliser et captiver, à chaque instant, l’attention de l’enfant. 2. 3. 4.

Zone d’apprentissage, zone des possibles Entre zone de confort et inconnu total, la zone d’apprentissage est celle qui révèle les possibles, en particulier en termes de projets professionnels et de leur faisabilité. Partons donc explorer cette zone d’apprentissage, ses bénéfices, ses obstacles, pour en faire l’alliée de nos ambitions. Cette vidéo, réalisée par Inknowation est une société espagnole qui aide les organisations à se transfomer et à s’adapter au changement. On ne nous apprend pas à avoir confiance en nos rêves et en général, celui qui a une vision claire de ce qu’il veut pour lui-même et son avenir est facilement estampillé arrogant: nous sommes censés faire des sacrifices et à accepter un lot pas toujours très excitant, sous prétexte qu’on n’est pas là pour rigoler. D’autre part, le passage à l’âge adulte nous dépouille de tout un tas d’aptitudes qui font des enfants des champions universels d’innovation, de créativité et de capacité d’apprentissage. A la troisième étape le bât peut franchement blesser. Voir aussi

Les compétences comportementales, ce nouveau critère de recrutement Pôle emploi présente les nouvelles tendances du recrutement dans son infographie et se concentre sur les nouvelles attentes des recruteurs. Quelles sont les compétences de demain ? Faut-il dire adieu à l’expertise métier et accueillir les compétences comportementales comme le nouveau critère du recrutement ? Pour une majorité d’employeurs, les diplômes n’ont plus autant d’importance aujourd’hui ! 59 % des interrogés considèrent que le diplôme n’est pas un critère essentiel. 60 % des employeurs considèrent que les compétences comportementales sont plus importantes que les compétences techniques. Quelles entreprises favorisent les soft skills et ne prêtent pas trop d’attention au diplôme des candidats ? Mais de quelles compétences parlons-nous ? Quelles sont les principales compétences comportementales qui attirent l’attention des employeurs ? Les employeurs sont majoritairement attirés par ces 3 compétences particulières : S’en suit une longue liste de soft skills.

très intéressant et à pratiquer souvent ! by mapyntonga Jan 20

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