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Staf11 - Concepts du cognitivisme - Mémoire à long terme

Staf11 - Concepts du cognitivisme - Mémoire à long terme
Système qui stocke les informations en mémoire de manière définitive et qui, contrairement à la mémoire à court terme et à la mémoire de travail (mdt), a une capacité illimitée. C'est cet aspect de la mémoire que l'on nomme généralement la mémoire. Trois types de connaissances y sont stockées: les connaissance procédurales, les connaissances déclaratives (sémantiques et épisodiques), et les connaissances heuristiques (Sweller, 1994). Avant d’etre stockée en MLT, l’information passe d'abord en MdT. Des recherches ont démontré que les informations qui peuvent être reliées à des conceptions préalables sont plus facilement stockées que ceux qui n’ont aucun lien avec ces dernières. Exemple : Le fait de me souvenir du nom de mon professeur d’école primaire démontre que cette information est entrée en MLT. Related:  galway62

La mémoire - le « disque dur » de l’identité La mémoire permet de stocker les informations, les sensations perçues par l’organisme, soit provisoirement (mémoire immédiate) soit à long terme pour conserver des souvenirs et des connaissances acquises. Plusieurs régions du cerveau interviennent dans ce processus, grâce aux transmissions entre les neurones (cellules nerveuses) qui les constituent. À court terme La mémoire instantanée (sensorielle) ne dure que quelques fractions de seconde et concerne toutes les informations perçues par nos sens (visuelles, auditives, cutanées…). La mémoire de travail (immédiate) stocke des informations limitées en nombre (pas plus de 7 ou 8 éléments), et à court terme (quelques secondes). C’est par exemple un numéro de téléphone lu dans un bottin, un chiffre dans un calcul… À long terme La consolidation des informations permet de les stocker durablement, de constituer des souvenirs, des apprentissages réutilisables très longtemps après. Les différents systèmes • La mémoire déclarative (explicite).

Nos multiples mémoires Pour Francis Eustache, directeur de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), la mémoire est formée de cinq systèmes : une mémoire à court terme ou de travail, une mémoire à long terme plus complexe comprenant une mémoire procédurale (mémoire des automatismes), une mémoire perceptive (qui identifie des stimulus), une mémoire sémantique (mémoire des connaissances générales sur le monde au sens large, sur les concepts), une mémoire épisodique (la plus sophistiquée, la mémoire des souvenirs). Ces mémoires travaillent en interaction et non pas de façon isolée, elles ne sont pas figées car elles se modifient au fil du temps et des expériences. Ce vaste réseau permet de créer l’information en transformant des souvenirs en éléments sémantiques. Nous tentons ci dessous de représenter ces systèmes de mémoire.

Comment construire un palais de la mémoire: 11 étapes <img alt="Image intitulée Build a Memory Palace Step 1" src=" width="728" height="546" class="whcdn" onload="WH.performance.clearMarks('image1_rendered'); WH.performance.mark('image1_rendered');">1Décidez d'un plan pour votre palais. Alors un palais de mémoire peut être un lieu purement imaginaire, il est plus facile de se baser sur un lieu qui existe dans le monde réel et avec lequel vous êtes familier. Un palais de base pourrait être votre chambre à coucher, par exemple. <img alt="Image intitulée Build a Memory Palace Step 11" src=" width="728" height="546" class="whcdn">11Construisez de nouveaux palais.

3 effets qui affectent la mémorisation Connaître ces 3 effets permet de les utiliser à notre avantage pour mieux mémoriser Les 3 effets principaux qui affectent notre capacité de mémorisation sont : l’effet de primauté On retient surtout les premiers éléments d’un tout. l’effet de récence On retient mieux les derniers éléments d’un tout. l’effet de Von Restorff On retient plus facilement les faits qui sortent de l’ordinaire, à tel point que ces faits masquent les faits plus ordinaires. Nous nous souvenons de ce qui sort de l’ordinaire car cela est perçu comme une menace pour notre survie. (une vidéo de Marco Bertolini) Pour aller plus loin dans la maitrise des techniques de mémorisation : Un livre que je vous conseille pour mieux comprendre et utiliser la mémoire dans les études : Commander Objectif mémoire : Au lycée et à l’université, (re)trouvez le goût de travailler avec plaisir et efficacité sur Amazon. Sur le même thème Enfants : des pistes pour mieux comprendre et utiliser la mémoire 5 octobre 2015 Dans "Ecole et enseignement"

Arts de la mémoire : les principes de la mémorisation Quels sont les principes de mémorisation utilisés dans les arts de la mémoire ? Comment mémoriser des quantités d’informations sans se tromper ? Quel rôle peuvent encore jouer les arts de la mémoire à l’ère numérique ? Ce sont quelques questions que je me pose depuis quelques années. Et sur lesquelles je voudrais échanger avec vous au cours d’une nouvelle série d’articles. Les arts de la mémoire ont connu une longue éclipse avant d’être remis à l’honneur par les livres de Dame Frances Yates. Mais quels sont les principes qui ont été utilisés par les « mnémonistes » au cours des 3 derniers millénaires pour mémoriser tant des discours que des poèmes ou des formules de mathématiques ? Trois principes fondamentaux En fait, ces principes sont au nombre de 3. L’ordreL’associationLa répétition Sur la carte heuristique suivante, j’ai dessiné quatre branches : j’ai scindé « association » et « combinaison d’associations » pour une question de visualisation. 1. 2. Vous avez dit « bizarre » ? 3.

Dix métaphores visuelles pour la formation Pierre-Paul Delvaux exlique qu'au contraire de la métaphore poétique qui vise à rendre le familier insolite, la métaphore pédagogique vise à rendre l'insolite familier. "[...] Il y a dans l’usage de la métaphore pédagogique un écart manifeste entre deux domaines, l’un est supposé connu par l’apprenant et l’autre constitue le domaine à découvrir. La métaphore pédagogique est donc un détour paradoxal. Dans Mille et une propositions pour la pédagogie, A. de Peretti et François Muller exposent une série d'exemples de métaphores visuelles ou narratives, qui peuvent aussi aider à inventer ou à retenir. 1. Dès qu'une formation ou une animation porte sur l'environnement d'un projet ou d'une structure, la matrice SWOT (strengthes, weaknesses, opportunities, threats) est devenue inévitable. faiblesses, opportunités, contraintes... La métaphore du navire nous amène un peu plus loin, et parce qu'elle prend un détour, elle permet aux participants de faire preuve de créativité, parfois même d'humour.

Pourcentage moyen de la rétention du contenu après 24 heures, selon la méthode d'enseignement La mémoire et son optimisation - Psychologie cognitive expérimentale - Stanislas Dehaene - Collège de France - 17 février 2015 09:30 Le sommeil n’est que l’un des facteurs qui affectent notre mémoire. Celle-ci peut être définie comme l’ensemble des systèmes de projection des informations dans l’avenir. Comme le soulignent Schmidt et Bjork (1992), « l’objectif de l’apprentissage, dans la vie réelle, doit être de maximiser les performances futures et le transfert à des situations nouvelles. […] Les enseignants croient souvent que les facteurs qui maximisent la performance et la vitesse d’apprentissage pendant l’entrainement permettent d’atteindre ces deux objectifs. Or, toute une série d’expériences indique que cette hypothèse est souvent fausse. » En d’autres termes, enseignants et élèves se trompent parfois radicalement sur les conditions qui optimisent la mémoire. Dès 1885, Ebbinghaus émet l’hypothèse que l’oubli suit une loi exponentielle en fonction du temps. Cependant, la vitesse de cette décroissance ainsi que son asymptote semblent varier selon les conditions.

10 méthodes pour réviser, mémoriser et apprendre Dans les situations d’apprentissage, le bachotage est décrié et tous les enseignants conseillent à leurs élèves de relire leur leçon le soir-même pour mieux mémoriser. Mais, pour les élèves, les questions demeurent les mêmes : comment faire pour relire efficacement ? Les élèves disent parfois : « Les profs, ils nous disent de relire nos leçons le soir mais moi, ça me sert à rien. Comment trouver des moyens de dire au cerveau que l’information lue, écrite, consultée et apprise est importante, qu’elle a de la valeur, de l’intérêt pour le long-terme… et qu’elle mérite donc d’être retenue ? 1. Une manière de signaler une information importante au cerveau est d’en parler, de jouer soi-même au professeur. J’ai rédigé un article consacré à l’art de (se) poser des questions pour apprendre : Apprenons aux enfants à se poser des questions. 2. Pour en savoir plus sur les flash cards, vous pouvez lire cet article : Technique de mémorisation et méthode de travail, les flash cards. 3. 4. Phrases exemples

S'initier au sketchnoting par l'annotation créative Ce billet vous aidera a développer progressivement votre capacité à créer des sketchnotes à partir d'un texte. L'astuce consiste à placer une étape intermédiaire entre la lecture et le sketchnoting: cette étape s'appelle l'annotation créative.Le sketchnoting, comme les autres techniques de Visual Mapping, stimule la créativité pour mieux assimiler et mémoriser des l'information.L'exemple est reálisé à partir d'un texte du Docteur Srini Pillay, publié dans le blog Harvard Business Review: To Reach Your Goals, Make a Mental Movie. Les 4 étapes sont illustrées et expliquée ci-dessous. 1. La première étape consiste à coller une bande d'environ 10 cm sur la gauche du texte imprimé. 2. Lecture et annotation du texte, après avoir lu le texte et surligné les points qui ont retenu notre attention, nous pouvons commencer l'annotation créative. Sur le même niveau du texte où nous avons surligné, nous ajoutons des images simples, des mots-clés, des bulles de bd, des courtes phrases. 4.

400.000 oeuvres d'art du MET à télécharger gratuitement... et légalement Temps de lecture: 2 min Vous rêvez de retrouver les Picasso ou Monet que vous avez admiré au MET? Ou n'y étant jamais allé, vous voulez les contempler depuis chez vous en bonne résolution? Ou vous êtes prof et vous voulez en faire profiter vos élèves? Le célèbre musée, qui abrite des tableaux de Van Gogh à Degas en passant par de l’art aztèque, grec ou chinois, a mis en place une licence OASC. Bien entendu, toutes les œuvres ne sont pas disponibles. En ouvrant ainsi ses données, le MET rejoint d’autres musées qui ont déjà adopté cette démarche: le National Gallery of Art, à Washington, le Getty, à Los Angeles, ou encore le Walters Art Museum, à Baltimore, signale le site Open Culture. «Je suis ravi que la technologie numérique puisse ouvrir les portes de ce trésor d’images qu’est notre collection encyclopédique.» D’autres musées se contentent aujourd’hui de proposer des visites virtuelles de leurs galeries, ou de mettre en ligne leurs œuvres, notamment sur Google Art Project.

Imre Kertész Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Kertesz. Dans le nom hongroisKertészImre, le nom de famille précède le prénom, mais cet article utilise l’ordre habituel en français ImreKertész où le prénom précède le nom. Imre Kertész Imre Kertész en 2007. Imre Kertész ([ˈimrɛ],[ˈkɛrteːs]), né à Budapest le est un écrivain hongrois, survivant des camps de concentration et lauréat du prix Nobel de littérature en 2002. Biographie[modifier | modifier le code] Revenu à Budapest en Hongrie, en 1945, il se retrouve seul, tous les membres de sa famille ayant disparu. Tenu à l'écart par le régime communiste, Kertész ne commence à être reconnu comme un grand écrivain qu'à la fin des années 1980. Il est élu membre de l'Académie des arts de Berlin en 2003[3] et reçoit en 2004 la croix de grand officier de l'Ordre du Mérite de la République fédérale d'Allemagne (Großen Bundesverdienstkreuz mit Stern). Style[modifier | modifier le code] Œuvres[modifier | modifier le code]

Bernard Madoff, un coupable idéal LE MONDE | • Mis à jour le | Par Joël Morio Documentaire 23 h 30 sur LCP Jean-Louis Pérez raconte comment un « as » de Wall Street a pu escroquer des milliers d’épargnants sans éveiller la méfiance de ses pairs. Bernard Madoff est sans conteste l’escroc du siècle. Ce financier respecté de Wall Street a, pendant plus de quinze ans, détourné 65 milliards de dollars (58,7 milliards d’euros), soit l’équivalent du produit intérieur brut annuel d’un pays comme la Croatie. Le documentaire de Jean-Louis Pérez revient sur les circonstances de ce « casse » réalisé sans armes ni violence, tout en laissant beaucoup de questions sans réponses. Car Madoff n’a pas imaginé des montages financiers sophistiqués, mais une simple pyramide de Ponzi, qu’il a construite au fil des années. Pas de remise en question Comme son prédécesseur, Madoff a su profiter de la confiance dont il jouissait. Le film raconte comment il a fait de son fonds un placement dans lequel tout le monde voulait entrer.

Comprendre l'affaire Madoff Qui est Bernard Madoff ? Le courtier au cœur du scandale était une légende de Wall Street, ainsi qu'une incarnation du rêve américain. Ce maître nageur à Long Island a créé son fonds d'investissement à l'âge de 22 ans, avec 5 000 dollars. Réputé intuitif, ultra-rapide mais aussi très "éthique", il avait fini par s'imposer dans la communauté financière. Lire aussi Bernard Madoff, l'homme aux investissements de "haute éthique" Comment a-t-il escroqué ses clients ? M. Quand la crise boursière éclate, nombre d'investisseurs veulent récupérer leur mise. Lire aussi Le circuit frauduleux mis en place par Bernard Madoff Qui s'est laissé prendre ? De riches particuliers, de grandes institutions financières (américaines, japonaises, suisses, espagnoles, françaises, britanniques...), des fondations comme celle du Prix Nobel Elie Wiesel ou du cinéaste Steven Spielberg figurent parmi les perdants. Lire aussi Scandale Madoff : comment "Bernie" les a tous bernés Où sont passés les 50 milliards de dollars ?

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