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Représentation de soi et identité numérique

Représentation de soi et identité numérique
Notes Sur l’observation abstractive de la personne et le schéma-silhouette de soi dans la communication médiée par ordinateur, voir également notre analyse (Georges, 2007 : p. 39-42). « Ce mouvement de rapport avec soi, de dialogue avec soi à travers les autres, s’atteste à travers les marques d’adresse explicites à l’autre (“Qu’en pensez-vous ?”, “Êtes-vous d’accord avec moi ?”, “Laissez-moi un commentaire”, ou encore “Signez mon livre d’or pour laisser une trace de votre passage.”) » (Klein, 1999) Nous utilisons le terme d’embrayage en référence à l’analyse rhétorique de la métaphore. Plus précisément, les ligateurs forment un système complexe. Sur la conscience de soi selon William James et son application à la CMO, voir également Georges, 2007 : p. 193-197. Les citations traductions de l’auteur. Le terme d’identité est ici employé plutôt que l’expression Représentation de soi afin d’attirer l’attention sur l’homogénéité de l’ensemble triparti qui compose l’identité numérique. D.

Identité numérique et faux profils – Le Blog du Hacker Sur Internet, nous avons un problème lié à la gestion de l’identité numérique. De plus en plus de services traitent nos données personnelles et de plus en plus d’informations privées sont volontairement partagées pour obtenir une expérience plus personnalisée en ligne. C’est sans compter les moyens d’espionnage de plus en plus intrusifs provenant à la fois des organisations gouvernementales et des services en ligne divers. En d’autres termes, les violations de la vie privée inquiètent de plus en plus à l’heure où les internautes partagent plus que jamais leurs données personnelles. Qu’est-ce que l’identité numérique ? Il s’agit d’une notion dont on entendra de plus en plus parler. L’identité numérique pose à la fois problème pour les internautes (anonymat, contrôle des données personnelles, etc) et pour les sites marchands (transactions frauduleuses, faux comptes, etc). L’identité numérique n’est pas forcément déclarative, mais peut-être calculée ou déduite. La loi Informatique et Libertés

Pokémon Go ou la chasse… aux données personnelles des joueurs Le jeu de réalité augmentée lancé sur le marché français le 24 juillet dernier compte déjà 11 millions d’adeptes dans le monde. Les dangers du jeu sont dénoncés chaque jour : accident de voiture, découverte d’un cadavre, mouvement de foule… Les règles du safe play énoncées par les conditions de service laissent sans voix : « Vous vous engagez conjointement à votre utilisation de l’Application, à ne pas infliger de détresse émotionnelle à d’autres personnes, ni humilier d’autres personnes (publiquement ou autrement), ni menacer ni agresser d’autres personnes, ni entrer sur une propriété privée sans autorisation, ni usurper l’identité d’une autre personne ou représenter faussement quelque autre personne, titre ou entité, ni de vous engager dans une quelconque activité pouvant entraîner des blessures, la mort… » (Version du 1ᵉʳ juillet 2016) Cela n’a pas empêché la transformation d’une propriété privée en arène au Canada ! Les dresseurs et le chasseur

Faire la différence entre identité personnelle et professionnelle... Dashlane lève 22,5 millions de dollars pour protéger l'identité numérique Le gestionnaire de mots de passe Dashlane conclut sa troisième levée de fonds. Un moyen pour l'entreprise française d'investir un peu plus le champ de la cybersécurité. Piratages, vols de données, trous de mémoire… Contre tous ces aléas de la vie numérique, le franco-américain Dashlane renforce son arsenal. Le gestionnaire de mots de passe a annoncé ce mercredi avoir levé 22,5 millions de dollars (20 millions d'euros) auprès des fonds américains Rho Ventures, FirstMark Capital, Bessemer Venture Partners et TransUnion. Un troisième tour de table qui porte à plus de 50 millions de dollars les montants levés par la société depuis sa création en 2009. Dashlane, qui dispose de bureaux à New York et à Paris, compte désormais appuyer sa présence dans les pays émergents, en particulier au Brésil, en Chine et en Inde. Faciliter les achats en ligne Les piratages dont sont régulièrement victimes de grands sites Internet rappellent la nécessité de verrouiller son identité numérique.

La Cnil sanctionne les sites de rencontres Meetic et Attractive World Les deux entreprises étaient accusées de ne pas recueillir le consentement de leurs utilisateurs pour l'exploitation de leurs données sensibles. Une amende leur a été infligée. 10.000 euros pour Attractive World, 20.000 pour Meetic. Le 29 décembre, la sentence est tombée pour les deux éditeurs de ces sites de rencontres, respectivement Samadhi et Meetic SAS. Ils ont été condamnés pour avoir exploité les données sensibles de leurs utilisateurs sans avoir recueilli au préalable leur consentement explicite. Après un premier contrôle en 2014, les deux sites avaient été mis en demeure, fin juillet 2015. Malgré l'accord de plusieurs délais de la part de la Cnil, les réactions de Meetic et Attractive World se sont manifestées sur le tard. Attractive World compte en effet 600.000 membres.

La revue de Fanny Georges aborde tous les sujets possibles... Le blog du hacker, dont l'auteur cherche à rester anonyme,... Réseaux sociaux : le business du "fake" - 22 septembre 2012 Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, Google+, Pinterest... Les réseaux sociaux sont en proie à un vaste marché noir. Devenus incontournables auprès du grand public, ces plates-formes ont vite attiré les marques soucieuses d'une communication marketing orientée 2.0. De sites se sont spécialisés dans cette vente occulte de (fausse) renommée virtuelle. "Gagnez en crédibilité et en notoriété, prenez un temps d'avance sur vos concurrents, et impressionnez vos futurs recruteurs", vante en français le site Acheter followers.com. La course à la popularité, d'abord réservée à Facebook et Twitter, s'est récemment étendue à l'ensemble des réseaux. "Une course aux fans inutile et immature" "Tout va bien pour les tricheurs... jusqu'à ce qu'ils se fassent prendre", note Sandrine Plasseraud, directrice de l'agence de communication spécialisée dans les réseaux We are social. Officiellement, tous les services de communication affirment ne pas recourir à cette triche sur les réseaux sociaux.

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