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Flexibilite et emploi

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Gestion et expertise comptable : cap sur la préparation des diplômes avec l’ENGDE - L'Etudiant Par L'Etudiant Fab, publié le 01 Février 2022 9 min En intégrant l’École de Gestion et d’Expertise Comptable (ENGDE), vous êtes guidé(e) pas à pas pour préparer la formation diplômante de votre choix. Vous souhaitez vous faire une place dans le monde de la comptabilité ? Tour d’horizon des voies qui pourront vous aider à concrétiser vos projets. Afin de répondre aux attentes d’étudiants qui souhaitent s’insérer rapidement dans la vie professionnelle, l’ENGDE propose un enseignement professionnalisant en alternance dans les domaines de la comptabilité, de la finance et de la gestion. Formations en gestion et en expertise comptable : sur la route du succès L’ENGDE accompagne les étudiants afin qu’ils obtiennent un titre ou diplôme reconnu par l’État, garant d’une carrière professionnelle épanouissante. Formation DCG Durant trois ans, votre planning est organisé selon la formation sollicitée, autrement dit : Formation DSCG Le diplôme DSCG requiert le suivi d’un programme de cours sur deux ans.

« L’Insee met à disposition de tous un tableau le plus riche possible du marché du travail en France » Tribune. Dans une tribune publiée sur le site du Monde vendredi 18 février, consacrée aux statistiques conjoncturelles de l’emploi, l’économiste Florence Jany-Catrice met en cause l’indépendance de l’Insee. Selon elle, l’institut ne met pas à disposition toute l’information dont il a connaissance sur les créations d’emplois, notamment sur la durée du travail : « Le fait que l’Insee ne communique pas sur ce point pose problème à quelques mois de l’élection présidentielle et interroge l’indépendance dont l’institut se réclame tant. » Lire aussi Article réservé à nos abonnés « Qui donc peut encore se réjouir de créations d’emplois si ceux-ci engendrent insécurité économique et impossibilité de survivre ? Or l’autrice de cette tribune pose son diagnostic sur des bases erronées. « Chaque trimestre, des dizaines de milliers de personnes répondent aux centaines d’enquêteurs de l’Insee »

Le mot de l'éco. Partage de la valeur Le débat n'est pas nouveau, c'est même un vieux serpent de mer, mais il est ravivé par la crise liée au Covid-19, qui exacerbe les inégalités existantes. Le partage de la valeur ou la redistribution des profits entre salariés, employeurs et actionnaires ne concerne pas encore les métiers comme éboueurs, caissières, aides-soignantes, livreurs, sans qui le pays aurait eu du mal à tourner pendant le confinement. Fin octobre, le Premier ministre Jean Castex va lancer une concertation sur le sujet avec les syndicats et le patronat. Au ministère du Travail, on estime que cette concertation est une réponse à la polémique sur le manque de contreparties réclamées aux patrons dans le cadre du plan de relance. Concrètement, si les milliards d'euros déversés sur les entreprises permettent à terme de dégager des profits, alors les salariés doivent aussi en bénéficier. Il y a la participation, d'abord. Notamment dans les petites entreprises.

Chômage : des allocations dégressives ? En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous permettre de partager du contenu via les boutons de partage de réseaux sociaux, pour vous proposer des publicités ciblées adaptées à vos centres d'intérêts et pour nous permettre de mesurer l'audience. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies Chômage : des allocations dégressives ? Le patronat aimerait instaurer la dégressivité des allocations chômage pour inciter à la reprise d'un emploi. Le Medef souhaite instaurer le principe de dégressivité pour les chômeurs. Une mesure loin d'être une nouveauté Aujourd'hui une personne sans emploi touche une somme fixe pendant deux ans. Le JT

La croissance de la France a atteint 7 % en 2021, un rebond qui « efface la crise économique », selon Bruno Le Maire La croissance du produit intérieur brut (PIB) français a atteint 7 % en 2021, un bond qui ne s’était pas produit depuis cinquante-deux ans, mais qui intervient après la récession record de 2020 (– 8 %), selon une première estimation publiée vendredi 28 janvier par l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Avec un quatrième trimestre 2021 qui a connu une croissance de 0,7 %, l’économie française « dépasse désormais nettement » son niveau d’avant crise sanitaire, souligne l’Insee. Un « rebond spectaculaire » qui « efface la crise économique », a commenté le ministre de l’économie Bruno Le Maire. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Croissance française : après le rebond de 2021, des interrogations sur 2022 « L’économie française tourne à plein régime et elle a une capacité de réaction forte », a-t-il assuré. « Il y a des secteurs qui continuent à avoir des difficultés : tourisme, événementiel, hôtellerie…, a détaillé Bruno Le Maire. Le Monde avec AFP

Adidas bascule sa gestion SAP chez Amazon et utilisera la base de données Hana - La Revue du Digital Le fournisseur d’équipements sportifs Adidas opte pour le Cloud d’Amazon, AWS (Amazon Web Service) pour y faire exécuter ses applications SAP. Adidas migrera son environnement SAP vers AWS et évoluera vers la nouvelle version intégrant la base de données SAP S/4 Hana. Les principaux processus commerciaux d’Adidas portés dans le Cloud Les principaux processus métiers et commerciaux d’Adidas seront portés dans le Cloud ainsi que les nouveaux modèles économiques tels que la vente directe aux clients. Adidas veut connecter ses données pour l’ensemble de ses opérations mondiales. L’adoption du Cloud doit permettre de rationnaliser la chaîne d’approvisionnement, les stocks et le merchandising pour les points de vente d’Adidas. Le Cloud doit aider Adidas à proposer une expérience client personnalisée, incluant des promotions et un service client prioritaire. Des recommandations de produits personnalisées « Nous voulons stimuler l’innovation dans toute l’entreprise. Les infos clés sur ce sujet

Baromètre Prism'emploi - l'emploi intérimaire en décembre 2021 | Prism'emploi En décembre 2021, la lecture des tendances reste perturbée par la référence à une période atypique (-5,7 % en décembre 2020 par rapport à décembre 2019, et ce en tenant compte de l’activité partielle). En conséquence, le commentaire du Baromètre Prism’emploi de décembre 2021 porte sur la comparaison avec les données d’avant crise, permettant un éclairage plus pertinent. En décembre 2021, le travail temporaire (contrats de travail temporaire et CDI intérimaires) compte pour 709 320 emplois en équivalent temps plein (ETP). Après la progression d’octobre (+1,6 %), l’intérim en décembre a, pour la seconde fois de l’année, dépassé son niveau d’avant la crise. En hausse de 5,1 % par rapport à décembre 2019, ce sont 34 300 emplois en équivalent temps plein supplémentaires qui, ce mois-ci, ont été créés par les agences d’emploi. Dans le détail, l’amélioration concerne tous les secteurs et toutes les régions, mais avec des différences marquées : La majorité des secteurs sont en hausse

Chômage : le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A baisse de 11% au troisième trimestre 2020 mais enregistre une hausse de 8,8% sur un an Les chiffres du chômage reculent malgré la seconde vague de l'épidémie du Covid-19. Après une hausse au deuxième trimestre, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A (n'exerçant aucune activité) diminue de 11% en France (y compris les départements-régions d’outre-mer, hors Mayotte), selon les chiffres publiées, mardi 27 octobre, par le ministère du Travail et Pôle emploi. Ils sont désormais 3 673 400 en France métropolitaine au 3e trimestre 2020. Sur un an, le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A enregistre une hausse de 8,8% sur un an. Pour les catégories A, B, C, le chômage au troisième trimestre diminue de 0,5%, et croît de 4,4% sur un an. Il concerne désormais à 6 086 100 de personnes, indique la Dares, le département statistique du ministère du Travail.

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