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Noire et juive: la liberté de l'espèce

Noire et juive: la liberté de l'espèce
J'ai tourné 7 fois ma langue dans ma bouche. J'ai récité l'alphabet à l'envers comme à l'endroit, j'ai mangé du chocolat pendant les fêtes, beaucoup, beaucoup trop. Mais ça n'est pas passé. J'ai regardé la télé, écouté la radio, regardé les twitts de tous les côtés sans jamais rien dire, coincée au milieu de cette pagaille, cette guerre culturelle, sociale et économique, mais aussi cette guerre d'egos assoiffés d'apparition dans les médias. Bref, une bombe transversale, une sorte de développement durable inversé. Pourtant, j'avais souhaité un début d'année serein, passée la crise de foie évidemment, j'avais souhaité une année remplie d'ouverture, d'amour, de bonheur et de fous rires. Je me suis tue, jusqu'au moment où me taire est devenu insoutenable. Ma mère, née en 1940, d'origine juive polonaise a été cachée en France pendant la guerre. Dans les dîners en ville, on se rassure, on me rassure en me disant: "Oh! Lire aussi: Mais un visiteur pour qui ? Noire et juive, un comble ?

Projet ALADIN | Dieudonné : Aurélie Filippetti soutient la circulaire Valls Dieudonné : Aurélie Filippetti soutient la circulaire Valls par Eric Hacquemand Aurélie Filippetti, la ministre de la culture, a affirmé son soutien à la circulaire de Manuel Valls visant à empêcher la tenue des spectacles de l'humoriste controversé Dieudonné. La ministre de la culture Aurélie Filippetti soutient sans réserve la circulaire de son collègue de l'Intérieur manuel Valls visant à empêcher la tenue des spectacles de Dieudonné dans un entretien publié mardi 7 janvier dans le Parisien/Aujourd'hui en France.Selon la ministre, la circulaire Valls "répond à une nécessité urgente : arrêter la propagande négationniste de Dieudonné". La circulaire prise par Manuel Valls va-t-elle dans le bon sens ? «Le Mur», son spectacle, est-il une œuvre de création humoristique ? Non. Coluche a bien dit en 1988 sur le plateau de Patrick Sébastien que les «juifs étaient très riches, en tout». Oui et Pierre Desproges a aussi dit qu’«on pouvait rire de tout mais pas avec n’importe qui...». Non.

Holocaust denial Holocaust denial is the act of denying the genocide of Jews in the Holocaust during World War II.[1][2] Holocaust denial includes any of the following claims: that Nazi Germany's Final Solution policy aimed only at deporting Jews from the Reich, and included no policy to exterminate Jews; that Nazi authorities did not use extermination camps and gas chambers to mass murder Jews; and that the actual number of Jews killed was significantly (typically an order of magnitude) lower than the historically accepted figure of 5 to 6 million.[3][4][5] Most Holocaust denial claims imply, or openly state, that the Holocaust is a hoax arising out of a deliberate Jewish conspiracy to advance the interest of Jews at the expense of other peoples.[9] For this reason, Holocaust denial is considered to be an antisemitic[10] conspiracy theory,[11] and is frequently criticised. Terminology and etymology[edit] In The Holocaust: Problems and Perspectives of Interpretation, Donald L. In 1945, General Dwight D.

Pogrom Le mot pogrom (d'origine russe : погром) signifie détruire, piller. Il est utilisé spécifiquement dans plusieurs langues pour décrire les attaques accompagnées de pillages et d'effusion de sang contre les Juifs en Russie, perpétrées par la majorité chrétienne, sans réaction des autorités ou avec leur assentiment, entre 1881 et 1921[1],[2]. Il désigne aussi, de façon générale, des violences et des émeutes sanglantes dirigées par une partie de la population contre des minorités ethniques, religieuses ou d'origine différente de cette population. Concernant les pogroms menés contre les Juifs, des violences similaires, mais d'ampleur plus limitée, surviennent à la même époque en Allemagne, en Autriche, en Roumanie et dans les Balkans[1]. Raul Hilberg définit le pogrom comme « une brève explosion de violence d'une communauté contre un groupe juif qui vit au milieu d'elle-même »[3]. Violences et massacres dans le bassin méditerranéen et en Europe avant 1880[modifier | modifier le code]

Légion juive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Légion juive est un projet créé par Jabotinsky dans le but de se défendre contre l'antisémitisme en Russie. Les unités juives ont été dissoutes en 1918 et 1919, mais la revendication d'une légion juive a continué à être soutenue jusque dans les années 1930. Le corps des muletiers de Sion[modifier | modifier le code] Jabotinsky dans la « Légion Juive ». L'idée d'une force militaire juive combattant dans les rangs des alliés naquit dans l'esprit de deux responsables sionistes, Zeev Vladimir Jabotinsky et Joseph Trumpeldor, durant le mois de décembre 1914. Entre décembre 1914 et mars 1915, plusieurs centaines de volontaires furent enrôlés au sein du corps des « muletiers de Sion », sous les ordres du lieutenant-colonel Patterson. Les bataillons juifs de l'armée britannique[modifier | modifier le code] Ces unités commencent à être engagées à l'été 1918 sous le commandement du Major General EWC Chaytor (un néo-zélandais). First Judeans, drapeau

Charte du Hamas Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Charte du Hamas est publiée en 1988, elle définit l’idéologie de l'organisation islamiste palestinienne Hamas. Cette charte identifie le Hamas comme étant une branche des Frères musulmans en Palestine et déclare que ses membres sont des musulmans qui « craignent Allah et élèvent la bannière du djihad face aux oppresseurs ». Elle souligne que « la lutte contre les Juifs est très importante et très sérieuse » et appelle à la création « d'un État islamique en Palestine à la place d'Israël et des Territoires palestiniens » [1] et à l’anéantissement et la disparition de l’État d'Israël [2],[3]. En 2010, le leader du Hamas Khaled Mechaal déclara que la Charte est « un document historique qui n'est plus pertinent mais qu'il ne peut pas être changé pour des raisons internes »[6]. Dénonciation de contenus antisémites[modifier | modifier le code] Passages sur la Palestine, Israël, le sionisme, le judaisme et les Juifs[modifier | modifier le code]

Hamas Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hamas Logo officiel Le Hamas (en arabe : حماس, « ferveur »), acronyme partiel de harakat al-muqâwama al-'islâmiya (arabe : حركة المقاومة الإسلامية, « Mouvement de résistance islamique »), est un mouvement islamiste constitué d'une branche politique et d'une branche armée, principalement actif à Gaza. Créé en 1987 par Sheikh Ahmed Yassin, Abdel Aziz al-Rantissi et Mohammed Taha, tous trois issus des Frères musulmans, son programme, exprimé dans sa charte[1], est la destruction de l'État d'Israël et l'instauration d'un État islamique palestinien sur toute la terre de l'ancienne Palestine mandataire (c'est-à-dire incluant les actuels État d'Israël, Cisjordanie et bande de Gaza). Dans le cadre du conflit israélo-palestinien, le Hamas se définit lui-même comme un mouvement trouvant ses principes dans le Coran et se battant au nom de l'islam. Histoire[modifier | modifier le code] De 1987 à 1993[modifier | modifier le code]

Hezbollah Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Hezbollah (arabe : ‮حزب الله‬ ḥizbu-llāh, « Parti de Dieu »), fondé en juin 1982, mais révélé publiquement en février 1985, est un mouvement politique chiite libanais possédant une branche armée (Al-Muqawama al-Islamiyya, Résistance islamique) qui est à son origine. Il fut créé en réaction à l'invasion israélienne du Liban en 1982, en s'appuyant sur un financement iranien. Description[modifier | modifier le code] Emblème[modifier | modifier le code] L'emblème du Hezbollah est vert, couleur de l'islam, sur fond jaune. Le globe terrestre, le rameau, le poing tenant une AK-47 et d'autres détails encore rappellent l'emblème des Gardiens de la Révolution islamique d'Iran[1]. Charte[modifier | modifier le code] Le 1er décembre 2009, Hassan Nasrallah a rendu publique la nouvelle charte du Hezbollah. La charte recentre les objectifs et la vision du parti à long terme. « La résistance face à la menace israélienne reste sa priorité ».

David Irving Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. David Irving. Biographie[modifier | modifier le code] Après avoir échoué lors de ses études à l'Imperial College London puis avoir tenté d'entrer dans la Royal Air Force, il travaille un temps comme ouvrier dans la sidérurgie en Allemagne et achève finalement une troisième année à l'Université de Londres (il qualifie lui-même par la suite son parcours universitaire d'« échec total » et en attribue la faute à ses enseignants)[2]. À la suite de ce livre médiatisé, David Irving, autodidacte alors âgé de 24 ans, devient un auteur connu du grand public britannique. David Irving devient un auteur à succès, reconnu pour ses talents d'écrivain et d'archiviste. Irving a évolué avec les années vers des positions plus radicales et a fréquenté les droites les plus extrêmes tant aux États-Unis qu'en Europe. Au début des années 1990, la réputation de David Irving devient de plus en plus sulfureuse, et il a des difficultés à trouver des éditeurs.

Roger Garaudy Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Roger Garaudy est un homme politique, philosophe et écrivain français né le à Marseille et mort le à son domicile de Chennevières-sur-Marne[1]. Jusqu'en 1970, c'est une figure importante du Parti communiste français dont il est alors exclu. Il se convertit par la suite au catholicisme puis à l'islam. Biographie[modifier | modifier le code] Itinéraire intellectuel[modifier | modifier le code] Roger Garaudy a d'abord été l'un des philosophes officiels du Parti communiste jusqu'à son ralliement aux thèses de l'extrême gauche autogestionnaire en mai 1968. Du marxisme à l'Islam[modifier | modifier le code] Directeur du Centre d'études et de recherches marxistes, il fut pendant des années l'un des philosophes officiels du Parti, avant d'en être exclu en juin 1970, époque où il était en dissidence marxiste, proche des idées de Mai 68. Roger Garaudy a créé sa propre fondation en Espagne à Cordoue, la fondation Roger-Garaudy.

Alain Soral Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Soral. Alain Soral, à l'état-civil Alain Bonnet (nom d'usage Bonnet de Soral)[n 1], est un essayiste, militant politique et chef d'entreprise franco-suisse, né le à Aix-les-Bains. Il se présente ensuite aux élections européennes de 2009 en Île-de-France en cinquième position sur la « liste antisioniste » conduite par Dieudonné, dont il est devenu l'ami et l'« éminence grise », ce qui permet d'observer une continuité entre ses discours et les spectacles de l'humoriste. En mars 2011, il fonde la SARL « Culture pour tous » dont les activités gravitent autour d'E&R. Au cours des années 2000, il devient, aux yeux de la plupart des observateurs, un idéologue d'extrême droite, oscillant entre un antisémitisme traditionnel et le nouvel antisémitisme. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse, premiers essais et carrière dans le milieu du spectacle[modifier | modifier le code]

Dieudonné rejeté par le mouvement de solidarité avec la Palestine Le mouvement des Indigènes de la République a dénoncé le 12 mai le rapprochement entre Dieudonné et l’extrême droite : « Piégé par ses propres délires, par les encouragements de ses “conseillers”, pseudo-antisionistes, et par l’hostilité que lui ont manifesté la plupart des forces politiques en France, Dieudonné a franchi un cap décisif, peut-être irrémédiable, en s’alliant dans le cadre d’une liste dite antisioniste avec des personnalités douteuses dont certaines sont directement issues de l’extrême droite raciste. Nous nous en serions probablement moins souciés si Dieudonné ne bénéficiait d’une surexposition médiatique, entretenue à dessein par nos adversaires pour stigmatiser à travers lui l’ensemble des communautés noires, arabes et musulmanes. Ça, nous ne pouvons le tolérer. « En 2004, Dieudonné faisait partie de la liste EuroPalestine, parce que Dieudonné défendait des principes. Femmes et islam Asma Lamrabet remet en cause cette lecture : Conférence à Paris

DÉRAPAGE – Murdoch critique « la presse détenue par les Juifs » et sa couverture du Proche-Orient Rupert Murdoch. AFP Comme toujours, le conflit au Proche-Orient est propice au dérapage médiatique. "Pourquoi la presse détenue par les Juifs est-elle systématiquement anti-israélienne ?" "La situation au Proche-Orient est prête à dégénérer à tout moment. Ce n'est pas la première fois que Rupert Murdoch affiche son soutien à Israël. Murdoch s'est finalement excusé dimanche, indiquant pourtant qu'il ne voyait pas le problème. Signaler ce contenu comme inapproprié Cette entrée a été publiée dans Actualité, Proche-Orient. Franklin Prophecy "The Franklin Prophecy", sometimes called "The Franklin Forgery", is an antisemitic speech falsely attributed to Benjamin Franklin, warning of the supposed dangers of admitting Jews to the nascent United States. The speech was purportedly transcribed by Charles Cotesworth Pinckney during the Constitutional Convention of 1787, but was unknown before its appearance in 1934 in the pages of William Dudley Pelley's Silver Legion pro-Nazi weekly magazine Liberation. (Pinckney wrote that he had kept a journal of the Convention, but it has never been found, and Pelley's claims that it was printed privately, and that the Franklin Institute has a manuscript copy, are unsubstantiated.) Authenticity[edit] Despite having been repeatedly discredited since its first appearance, the "prophecy" has proved a remarkably durable antisemitic canard. The U.S. Franklin was a friend to the Jews of 18th-century America,[4] and contributed toward the building of Philadelphia's first permanent synagogue.[5]

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