background preloader

Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques

Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques
14 février 2014 L’information n’a pas encore reçu beaucoup d’échos en France : et pourtant cela fait plusieurs mois maintenant qu’Elsevier demande régulièrement le retrait d’articles déposés par leurs auteurs sur le réseau social Academia. Si on le regarde sous l’angle de l’open access, cet exemple souligne incontestablement l’« injustice fondamentale de l’actuel écosystème de la communication académique » (John Dupuis). Mais il met également en lumière l’arrivée à maturité des réseaux sociaux académiques : à l’heure où Elsevier peine à se créer une place sur les outils 2.0 (échec de 2collab en 2011, rachat de Mendeley en 2013), il n’est pas étonnant que celui-ci attaque les nouveaux challengers qui se développent auprès des communautés académiques, après avoir laissé faire. Réseaux sociaux académiques ? Ces réseaux se développent progressivement dans le paysage académique français. Parmi tous ces réseaux, trois sortent plus particulièrement du lot : De quelques enjeux de ces réseaux Related:  Les outils de la veille

Melissa Terras' Blog: Is blogging and tweeting about research papers worth it? The Verdict Guess when I tweeted my papers? Top ten downloaded papers from my department in the last year, 7 of which include me in the author list. In October 2011 I began a project to make all of my 26 articles published in refereed journals available via UCL's Open Access Repository - "Discovery". I decided that as well as putting them in the institutional repository, I would write a blog post about each research project, and tweet the papers for download. I wrote about the stories behind the research papers - the stuff that doesn't make it into the official writeup. So what are my conclusions about this whole experiment? Some rough stats, first of all. The image above shows the top ten papers downloaded from my entire department over the last year. Some obvious points and conclusions. The paper that really flew - Digital Curiosities - has now been downloaded over a thousand times in the past year. However. I cant know if the downloaded papers are read though, can I? What next?

Réseaux sociaux : pratiques et enjeux dans la recherche et la carri... Doctorants : être ou ne pas être sur Twitter | Doctrix Voici une sélection de liens sur cet outil de micro-blogging, accompagnée de quelques conseils pour les doctorants. 1. Un outil de veille puissantTwitter est probablement l’un des outils de veille les plus puissants du moment. Utilisez les moteurs de recherche Twitter Search et Topsy, cherchez par mot clef à l’aide des Htags… Vous trouverez peut-être d’autres scientifiques (ou des non scientifiques) partageant vos centres d’intérêt. Partez à la découverte!En + – Allan Johnson, Using Twitter for curated academic content, 18 novembre 2012, sur Thisisallan.com 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 1. 2. 3. 4. 5.

ScienceOpen Netvibes Participer à Wikipédia en tant que chercheur : enjeux et mode d’emploi Wikipédia est devenu un des sites les plus fréquentés au monde tout en atteignant dans la plupart des cas une certaine fiabilité en termes d’exhaustivité comme de qualité du contenu. L’encyclopédie n’en est pas moins un vaste chantier auquel il peut être utile de collaborer. Ce qui pourrait sembler être un don inconsidéré de temps peut tout à fait avoir des retombées positives sur des chercheurs et/ou un champ de recherche donné. Enjeux Tout d’abord, on peut dire qu’un doctorant (ou chercheur) atteint au cours de sa thèse (ou carrière) un certain niveau de spécialisation dans un domaine ou sous-domaine parfois mal connu. Ce n’est peut-être donc pas un hasard si l’encyclopédie compte déjà un nombre non-négligeable de contributeurs qui déclarent être doctorants ou docteurs. En occupant le terrain, on peut aussi présenter ce que l’on connaît de sa discipline. Retombées Si votre sujet de recherche est mieux documenté, le grand public en saura plus sur ce que vous faites. Comment faire ?

S’abonner à un flux RSS « GEOsources Dernière actualisation 26.11.2014 _______________________________________________________________________________________ Le flux (ou fil ou encore canal) RSS – Really Simple Syndication ou Rich Site Summary – est un outil de veille extrêmement utile permettant de surveiller en temps réel les informations mises en ligne sur un site sans avoir à le consulter. On les retrouve plus particulièrement sur les sites d’actualités ou les blogs. La plupart des portails de revues scientifiques disposent également de flux RSS. Sur le Web, les flux RSS sont signalés par des icônes qui peuvent prendre différents aspects. Source : Digimind, 2006 Exemples de flux : Les flux se lisent via un agrégateur (ou lecteur de flux) S’abonner à un flux Personnellement, je repère souvent mes flux via la barre d’adresse ou d’outils de mon navigateur. Icône signalant l’existence d’un flux RSS pour geosources.ch dans la barre d’adresse de Firefox (33) après installation de l’extension RSS Icon in url bar

Le Top 20 des réseaux sociaux scientifiques Pourquoi s’arrêter en – six – bon chemin, quand le succès est au rendez-vous ? Le Grand Mix organise le 6e apéro Sciences & Web au Polly Maggoo ce jeudi 16 juin. Rencontres, bonne humeur et échanges féconds : pas de changement de ce côté-là, mais une nouvelle thématique qui ravira les amateurs de sciences 2.0 : les réseaux scientifiques. L’occasion de présenter un petit top 20 de ces réseaux de passionnés. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. Et bienvenue aux petits nouveaux (made in France) à qui l’on prédit de jolis succès : Chimie 2.0 : un espace d’échanges entre les scientifiques et le public, lancé par le CNRSMyScienceWork : le réseau social de la recherche scientifique multidisciplinaire (lancement sous peu) N’hésitez pas à apporter des précisions sur ces différents réseaux ou à nous en conseiller d’autres. >> Illustration : david.orban (Flickr, licence CC) EthicShare : discussion autour de l’éthique Discipline : éthique Membres : 1500 Langue : anglais

Google Groupes Toutes vos discussions sont centralisées Organisez vos posts à l'aide de favoris et de dossiers, choisissez de suivre les discussions par e-mail et trouvez rapidement les posts non lus. Exprimez-vous Grâce au texte enrichi, personnalisez vos posts en y ajoutant des polices, des couleurs et des images. Les discussions sont animées par les utilisateurs Partagez vos idées avec le monde entier en utilisant des photos, des pseudonymes et la traduction automatique. La rapidité compte Grâce aux raccourcis clavier et à un nouveau design simplifié, vous pouvez consulter les messages et participer de façon immédiate. Adapté aux appareils mobiles Accédez à Google Groupes depuis n'importe où à l'aide de votre appareil mobile grâce à notresite optimisé.

Réseaux sociaux scientifiques nature.com blogs More than just a pretty picture? How sociologists (and other social scientists) can use Pinterest Between Facebook, Twitter and LinkedIn, academics can be forgiven for struggling to keep up with the social media boom. Deborah Lupton investigates the latest popular platform, Pinterest, and finds it can be more than just a pretty picture. In fact, it has potential to be of great value to sociologists and social scientists. I have recently discovered Pinterest, a social media platform which has recently become very popular. One important feature of the site is that each pinned image has a commentary box below it which allows the user to provide details of the image or comment on it. When I first investigated Pinterest it seemed that it was simply a forum for people to collect and post images of cute children or animals, fashion outfits, holiday options, objects they would like to buy, home décor, wedding ideas, recipes and so on. It seems that few academics are using Pinterest at the moment, or have even heard of it. Some ideas for university teaching include:

Robin des bois ou rogue open access ? Les réseaux sociaux académiques en 2017 | UrfistInfo L’offensive des éditeurs contre les réseaux sociaux académiques est lancée ! Elle aura mis du temps, mais la voilà. Alors qu’Academia et ResearchGate semblaient, faute de réaction jusque-là, en position de force, la puissante association STM, qui regroupe notamment Elsevier, Springer Nature, Taylor & Francis ou encore Wiley, vient en effet d’envoyer à ResearchGate le 15 septembre 2017 un courrier pointant directement du doigt ce qu’elle considère comme les lacunes et les abus du réseau. Éditions précédentes : « Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques » (2014), « Où en est-on des réseaux sociaux académiques ? Plan« Couteaux suisses de la communication académique » ou « clubs Diogène »Le partage à l’aune de la « fatigue juridique » des chercheurs« Qui ne tire pas profit sur le dos des chercheurs » ? « Couteaux suisses de la communication académique » et « clubs Diogène » Une croissance à mettre en perspective Des changements dans les usages ? Fidéliser les chercheurs

SocialNetworkingForScientists - home

Related: