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Le Bonheur : Comment ça marche ?

Le Bonheur : Comment ça marche ?

Le bonheur est un choix, en voici la preuve scientifique BIEN-ETRE - Une des hypothèses courantes des recherches en psychologie est que nous aurions un seuil de bonheur qui prédétermine en grande partie notre bien-être général. Nous orbitons autour de ce seuil, nous sentant plus heureux lorsque quelque chose de positif survient dans notre vie, et l'inverse, pour retrouver notre équilibre par la suite. Or, il se trouve que ce seuil peut, dans une certaine mesure, être recalibré. Bien que notre humeur et notre bien-être soient en partie déterminés par des facteurs génétiques et culturels, les experts s'entendent pour dire qu'environ 40% de notre bonheur dépend entièrement de nous-mêmes. De vastes pans de la recherche autour de la psychologie positive ont démontré que le bonheur est choix que nous pouvons tous faire. Comme l'a dit le psychologue William James, "une des plus grandes découvertes de notre temps, c'est que l'humain peut changer sa vie en changeant son attitude face à celle-ci". Essayez. Choisissez la pleine conscience. Contactez-nous

Le bonheur : la quête de toute une vie Le bonheur: la quête de toute une vie!par Bruno Fortin, psychologue Le bonheur est le degré selon lequel une personne évalue positivement la qualité de sa vie dans son ensemble. Lazarus et Lazarus (1994) suggèrent que nous cheminons vers le bonheur lorsque nous croyons faire suffisamment de progrès vers la réalisation de ce qui nous tient à cœur. J’aime bien cette suggestion qui inclue une évaluation subjective de ce qui peut être suffisant, la notion de mouvement, et implicitement la constatation qu’il nous faudra une direction, un but, un engagement vers quelque chose qui nous permettra d’évaluer la direction que prend notre vie. Les mêmes auteurs suggèrent que nous ne puissions faire du bonheur le but de notre vie: il est un effet secondaire d'une bonne utilisation de nos capacités naturelles et de tendre vers autre chose que notre simple bien-être. La richesse est comme la santé: son absence engendre la misère; sa possession ne garantit pas le bonheur. 1. 2. 3. 4. 5. Facile à dire.

Michel Bourin - "Trouble bipolaire, un effet de mode ou une vraie maladie ?" L'émotion peut se définir comme une séquence de changements intervenant dans trois systèmes organiques : cognitif, psychophysiologique, moteur, or l'humeur est la manière dont une personne se sent à l'intérieur et comment elle ressent l'expérience de l'émotion. Un trouble de l'humeur notamment le trouble bipolaire se caractérise par une perturbation de cet état d'esprit .C'est le trouble cognitif qui chez le bipolaire perturbe la perception des émotions, il anticipe souvent un épisode thymique (up ou down). Cerveau émotionnel fonctionne comme un radar, il agit rapidement, il réagit sans prendre le temps d'analyser la situation, il est capable de déchiffrer les sentiments mais il a des jugements intuitifs parfois erronés. Il convient donc de savoir gérer ses émotions, en particulier les blessures narcissiques. La bipolarité exagère le ressenti des émotions. Présentation de l'intervenant Les conférences de l'Université permanente

Bonheur : Définition philosophique Bonheur (nom commun) État satisfaction complète, stable et durable. Qu’est ce que le bonheur ? Le bonheur est un état de satisfaction complète caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. En tant qu’optimum de la vie humaine, le bonheur est universellement recherché. Être heureux est une expérience individuelle et humaine. La notion de bonheur est intimement liée au désir. La conception du bonheur de l’un ne sera pas celle de l’autre. Un contenu indéterminé Le « contenu » du bonheur est indéterminé. Lorsqu’il y a un accord sur ce qui rend heureux, il ne porte que sur des éléments vagues, des principes généraux. On ignore souvent ce qui peut nous conduire à notre bonheur. Au-delà d’une aspiration commune à être heureux, ce qui produit le bonheur est donc indéterminé. La recherche du bonheur On pose en général le bonheur comme la fin suprême de l’existence humaine. Dans cette perspective, sa recherche semble inévitable. Deux éléments vont dans le sens de cette conclusion :

L'argent ne fait pas le bonheur, mais en donner oui Travailler plus pour gagner plus ? Pour l'économiste Mickaël Mangot, c'est une promesse qui ne peut ni motiver ni rendre heureux dans la durée. Car si l'argent constitue un puissant stimulant et procure un plaisir immédiat, ce dernier s'atténue aussitôt qu'il est satisfait. A en vouloir toujours plus, on entre dans une course forcément frustrante. Pour ce spécialiste du lien entre économie et bonheur, quand on cherche à savoir si l'argent rend heureux, bien d'autres paramètres sont à prendre en compte, comme l'estime de soi, l'épanouissement personnel ou le lien aux autres... Autant de dimensions qui s'achètent difficilement. Management : Le simple fait de s'enrichir rend-il plus heureux ? Mickaël Mangot : L'argent joue un rôle d'étalon de notre réussite, notamment sociale. L'épargne ou la consommation n'ont-elles aucun effet sur notre bien-être ? Le point clé ne réside pas dans le fait d'épargner ou de consommer, mais dans ce que l'argent permet d'accomplir. >> Nouveau !

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