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Le Bonheur : Comment ça marche ?

Le Bonheur : Comment ça marche ?

Bonheur : Définition philosophique Bonheur (nom commun) État satisfaction complète, stable et durable. Qu’est ce que le bonheur ? Le bonheur est un état de satisfaction complète caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. En tant qu’optimum de la vie humaine, le bonheur est universellement recherché. Être heureux est une expérience individuelle et humaine. La notion de bonheur est intimement liée au désir. La conception du bonheur de l’un ne sera pas celle de l’autre. Un contenu indéterminé Le « contenu » du bonheur est indéterminé. Lorsqu’il y a un accord sur ce qui rend heureux, il ne porte que sur des éléments vagues, des principes généraux. On ignore souvent ce qui peut nous conduire à notre bonheur. Au-delà d’une aspiration commune à être heureux, ce qui produit le bonheur est donc indéterminé. La recherche du bonheur On pose en général le bonheur comme la fin suprême de l’existence humaine. Dans cette perspective, sa recherche semble inévitable. Deux éléments vont dans le sens de cette conclusion :

LittleThingz | Petites choses de la vie Le bonheur est un choix, en voici la preuve scientifique BIEN-ETRE - Une des hypothèses courantes des recherches en psychologie est que nous aurions un seuil de bonheur qui prédétermine en grande partie notre bien-être général. Nous orbitons autour de ce seuil, nous sentant plus heureux lorsque quelque chose de positif survient dans notre vie, et l'inverse, pour retrouver notre équilibre par la suite. Or, il se trouve que ce seuil peut, dans une certaine mesure, être recalibré. Bien que notre humeur et notre bien-être soient en partie déterminés par des facteurs génétiques et culturels, les experts s'entendent pour dire qu'environ 40% de notre bonheur dépend entièrement de nous-mêmes. De vastes pans de la recherche autour de la psychologie positive ont démontré que le bonheur est choix que nous pouvons tous faire. Comme l'a dit le psychologue William James, "une des plus grandes découvertes de notre temps, c'est que l'humain peut changer sa vie en changeant son attitude face à celle-ci". Essayez. Choisissez la pleine conscience. Contactez-nous

GNH Tools GNH Tools GNH Policy & Project Screening Tools The 2008 GNH Index did not stand alone. Rather, a set of project and policy screening tools were developed to complement and specify it for different purposes. GNH indicators serve as evaluative tools to track developmental progress over time. Centre for Bhutan Studies has come up with a simple GNH screening tool. I. The GNH screening tools can be applied in two phases, at project level and policy level. 1. For respective ministries (e.g. education, health)For individual sectors (e.g. youth, employment) However, the calculations are the same for all the three forms of screening tools. I. Each screening question has 4-pointer scale ranging from 1 to 4. CBS has developed such screening questions covering nine domains of GNH. II. Lets consider for example: policy A is being tested on its impacts on stress levels, culture and physical exercise. Positive score = 4 X Number of screening questions Neutral score = 3 X Number of screening questions III.

Bonheur Le Christ enseignant les béatitudes, peinture de James Tissot (fin XIXe siècle). Au XVIIIe siècle, le bonheur devient une « idée neuve », à savoir une valeur bourgeoise.La famille en est une métaphore parmi beaucoup d'autres. Le Vrai Bonheur, peinture de Jean-Michel Moreau. Le bonheur est, au sens courant[1], un état émotionnel agréable[2], équilibré et durable[3] dans lequel se trouve quelqu'un qui estime être parvenu à la satisfaction[4] des aspirations et désirs qu'il juge importants[5]. Il perçoit alors sa propre situation de manière positive et ressent un sentiment de plénitude et de sérénité, d'où le stress, l'inquiétude et le trouble sont absents. Le bonheur a été étudié en biologie, en psychologie, en sociologie ainsi qu'en philosophie. Histoire[modifier | modifier le code] La notion de bonheur traverse toute la pensée occidentale depuis Socrate (Ve siècle av. On peut distinguer quatre grandes phases. Définitions du concept[modifier | modifier le code] Platon (IVe siècle av. [118].

:: Authentic Happiness :: Using the new Positive Psychology L'art du bonheur Le bouddhisme enseigne que le bonheur est le but de la vie. Ce n’est, cependant, pas quelque chose que l’on obtient facilement. Alors que les difficultés de l'existence se bousculent, nous sommes nombreux à ne pas réaliser ce but des plus fondamentaux, sauf peut-être pendant quelques brefs moments. Quelque chose arrive, les choses changent et avec les changements s’évanouit notre bonheur... Le voeu et la promesse solennelle du Bouddha fut de conduire tous les êtres humains au bonheur. À tout moment je m'interroge : “Comment puis-je permettre aux êtres vivants d'accéder à la voie inégalée et d'acquérir rapidement le corps d'un bouddha ? Grâce à la pratique bouddhique, il est possible de créer les causes fondamentales qui conduisent à un bonheur authentique et durable. Mais avant tout, il est nécessaire de définir ce qu’on entend par bonheur, de telle sorte que nous sachions exactement ce que nous cherchons. Ce que le bonheur n'est pas Trouver le bonheur au milieu des difficultés « Réflexions

Le bonheur est-il obligatoire ? Il règne dans nos sociétés individualistes contemporaines une véritable injonction au bonheur. Et chacun est appelé à trouver sa recette : hyperconsommation, massage californien ou Prozac… Mais n’est-ce pas oublier que le bonheur est un état fugitif et fragile ? Au « pays de nulle part », la maladie est punie comme un crime, le moindre rhume peut valoir le bagne… Toute infortune est considérée comme une atteinte à la petite république d’Erhewon (anagramme de l’anglais nowhere), imaginée par l’écrivain Samuel Butler dans un roman de 1872. Quelques décennies plus tard, le philosophe Alain, dans ses célèbres Propos sur le bonheur (1925), déniera lui aussi toute réalité aux souffrances extrêmes, en déclarant que « c’est un devoir envers les autres que d’être heureux » (1).D’une « idée neuve en Europe » au xviiie siècle, ainsi que le proclamait le révolutionnaire Saint-Just, le bonheur serait-il devenu obligatoire ? Article de 3065 mots.

Luc Ferry: Consommer rend-il heureux ? FIGAROVOX/CHRONIQUE- Après Noël et le réveillon du 31 décembre, le philosophe Luc Ferry s'interroge sur le sens de la frénésie consumériste. Luc Ferry est philosophe. Il tient une chronique chaque jeudi dans Le Figaro Champagne, foie gras, cadeaux sous les sapins: nous voilà gavés pour l'année. À quoi bon, en effet, s'échiner à travailler, à œuvrer au développement économique et à l'augmentation indéfinie des richesses si tous ces efforts ne nous rendent pas plus heureux ? Pendant trois mois, sans doute, vous vous sentez mieux, plus heureux au volant… mais rien n'est plus éphémère que ce sentiment de confort auquel on s'habitue à la vitesse grand V!

L'argent ne fait pas le bonheur : cliché ou réalité ? Un article de presse paru sur la crise financière titrait : « L’effondrement de la Bourse touche les retraités ». Cet article disait en substance que lorsque la Bourse baisse, les personnes aux revenus fixes souffrent : elles renoncent à aller au restaurant, chauffent moins leur habitation en hiver et sont plus regardantes quant aux prix des denrées qu’elles peuvent se permettre. Cela signifie-t-il qu’on est plus malheureux ? Non, cela veut simplement dire qu’on est moins à l’aise et moins libre de satisfaire ses désirs. Je n’entends pas par là que l’argent n’a aucune importance. Il en a, bien sûr, mais il ne fait pas forcément le bonheur. Le confort L’argent permet d’obtenir le confort matériel, des sous-vêtements aux meubles, en passant par les produits de première nécessité. Le soutien L’argent ne vous apporte qu’un confort moral en ce sens qu’il vous aide dans les périodes éprouvantes. La liberté L’argent apporte la liberté économique : - il vous libère des soucis financiers ;

"Les francs-maçons ont un devoir de joie de vivre" Belgique L'événement est exceptionnel : ce mercredi, Me Henri Bartholomeeusen, Grand Maître du Grand Orient de Belgique, le principal courant maçonnique représenté dans notre pays, prend la parole dans "La Libre" et dans l'émission "Les Bureaux du Pouvoir" à la RTBF. Une double interview pour lever certaines (fausses) équivoques et pour comprendre la place des francs-maçons dans la société belge... Vous recevez "La Libre" et la RTBF à la rue de Laeken, au siège de votre obédience. Pourquoi cette ouverture, maintenant ? Il ne s'agit pas de banaliser la maçonnerie mais de lui donner plus de visibilité. La franc-maçonnerie, c'est la quête de certains idéaux et un travail sur soi-même. Elle ne peut pas se comparer; elle est "sui generis". La maçonnerie n'est pas qu'un simple idéal, c'est aussi une méthode qui utilise le parcours symbolique, la démarche initiatique et le libre examen pour permettre à l'individu de mieux se connaître lui-même. Une arme ? C'est devenu très courant.

La sociabilité en loge vue à travers la tradition maçonnique - Schweizerische Grossloge Alpina La recherche de la Lumière est l’objectif premier du maçon, car il ne peut se satisfaire d’un clair-obscur illuminé par des flashs dont l’origine est douteuse. A. M. – Fidélité et Prudence, Genève Les chemins ne seront pas les mêmes pour tous, mais le sommet de la montagne reste toujours présent en dépit du vécu et du karma. Le désir et le besoin de marcher en direction de l’Orient restent tributaires d’une composante culturelle spécifique. Ainsi le matérialiste, souvent agnostique, adversaire convaincu de la métaphysique cherche la Vérité dans la réalité visible plutôt que dans des concepts spirituels ou ésotériques. Il y a ensuite le théologien qui trouve toujours une réponse à ses angoisses métaphysiques dans les textes sacrés de la Bible, du Coran ou de la Thora pour ne parler que des religions monothéistes. Il y a enfin le spiritualiste qui cherche le plus souvent dans la Tradition ésotérique les réponses à sa spiritualité. Créer dans la joie Une philosophie du progrès démocratique

Franc-Maçonnerie| Etre heureux en loge| Ideal Maçonnique C’est un des objectifs que se propose d’offrir le travail maçonnique. Au Droit Humain, il est même inscrit dans la constitution dans son article 3 : « Les membres de l’Ordre Maçonnique Mixte International le Droit Humain cherchent avant tout à réaliser sur la terre et pour tous les humains le maximum de développement moral, intellectuel, et spirituel, condition première du bonheur qu’il est possible à chaque individu d’atteindre dans une humanité fraternellement organisée ». Chacun peut aborder ce sujet d’une façon personnelle et ce que je propose dans ces lignes n’a pas de prétention à être une généralité. Cette interaction peut donner un sentiment de bonheur pour la personne concernée et aussi pour d'autres participants mais chaque cas est très personnel. Comme ce ressenti ne se produit pas à chaque tenue, il est naturel d’essayer de comprendre ce qui se passe ; en analysant à quoi il correspond, on pourrait y trouver quatre ressentis : Les conditions propres à la loge concernée

Les petits bonheurs Je souhaite réparer une injustice : nous ne parlons jamais assez de bonheur. Le bonheur, ce concept qui mêle réalité et illusion, fierté et humilité, espoir et joie, est rarement évoqué lorsque l'on parle de franc-maçonnerie. Nous rencontrons, dans nos parcours, des frères et des sœurs qui piétinent nos valeurs, par leurs agissements, soit par intolérance ou goût du pouvoir, détruisant finalement la concorde qui devrait régner dans nos loges, détruisant finalement le bonheur de s'y rendre et d'y rester. Le premier des bonheurs est la quête de la Vérité, que tous les sœurs et frères s'engagent à mener. La Vérité est celle qui jalonne notre quotidien, de ces petites choses qui livrent nos forces et nos faiblesses. Que devient votre quête si vous mentez et trahissez la confiance que des sœurs et des frères vous ont donné ? Le bonheur, c'est la défense constante de ses valeurs. Le bonheur, c'est de choisir. Le bonheur, enfin, c'est de passer des portes. Les portes des petits bonheurs.

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