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L'enquête sur la lecture de bandes dessinées en france

L'enquête sur la lecture de bandes dessinées en france

Les festivals de bande dessinée, manifestations artistiques, culturelles, sociales et économiques. Les festivals de bande dessinée : manifestations artistiques, culturelles, sociales et économiques Retours sur le colloque Les festivals de bande dessinée, du 26 novembre 2013, Lyon. Compte-rendu proposé par Aymeric Landot. Les Entretiens Jacques Cartier ont réuni ici différents acteurs permettant de cerner au mieux l’objet festival : des organisateur, des auteurs, des libraires, des éditeurs, des bibliothécaires et des enseignants. Il s’agit ici du compte-rendu de ce colloque, qui vise à connecter également France et Canada à travers ses acteurs ou ses projets. Historique et diversité des formes de festivals En présence de Francis Groux, co-fondateur du Festival d’Angoulême ; de Pierre-Alain Rodrigue, trésorier du Festival BD de Montréal ; de Sylvain Lemay, fondateur du Festival en Pays Outaouais ; de Roger Lipani, président du Festival BD de Rive-de-Gier et de Philippe Brocard, président du Lyon BD Festival. - Question : Quelles sont les origines et les principes des festivals ?

Portrait d'un lecteur de bande dessinée en 2013 : étude Babelio En s'appuyant sur les volontaires de leur base d'utilisateurs, le réseau social Babelio peut proposer à intervalles réguliers des études sur différents secteurs de l'édition. Cette fois, le site s'est tourné vers les phylactères et la bande dessinée, afin d'en tirer quelques vues sur l'un des secteurs les plus dynamiques de l'industrie du livre. De gauche à droite : Guillaume Teisseire (Babelio), Christophe Evans (BPI), Églantine Gabarre (Delcourt), Pierre Krause (a.k.a. Bibalice, Babelio) Grâce à quelque 2400 grands lecteurs inscrits sur le réseau social du livre, Babelio a pu proposer sa propre étude sur la bande dessinée, « en réponse » à celle du ministère de la Culture, datant de 2012. En effet, l'étude de Babelio s'applique surtout aux grands lecteurs, ou plutôt grandes lectrices (80 % des 2403 interrogés, 18-44 ans pour les tranches d'âge, moyenne 3 livres/mois), qui constituent l'essentiel du public du réseau social. Une diversité à défendre, des libraires à préserver

Colloque : les Festivals BD - news - Lyon BD Festival Dans le cadre des entretiens Jacques Cartier, Lyon BD a organisé le 26 novembre à l'Hôtel de Ville de Lyon un colloque intitulé : "Les Festivals BD : manifestations artistiques, culturelles, sociales et économiques". Notre objectif dans ce colloque a été de voir comment, au-delà de l’aspect festif d’un festival de bande dessinée, sont libérées des énergies créatrices au service du développement culturel et économique de notre société... Table ronde #1 : Historique et diversité des formes de festivals Francis Groux, Co-fondateur du Festival d’Angoulême Pierre-alain Rodrigue, Trésorier du Festival BD de Montréal Sylvain Lemay, Fondateur du Festival en Pays Outaouais Roger Lipani, Président du Festival BD de Rives de Gier Philippe Brocard, Président du Lyon BD Festival Table ronde #2 : L'influence des festivals sur la création artistique Jérôme Jouvray, auteur Guy Delisle, auteur Julie Rocheleau, auteure Jocelyn Flipo, créateur de concepts de spectacles d'impro Claude Amauger, Editions Tanibis, France

enseignement (1) : enseigner avec la bande dessinée [janvier 2013] L’histoire des liens entre bande dessinée et éducation s’est exprimée successivement dans les termes d’une hostilité farouche, d’une intégration résignée, puis d’une récupération intéressée et d’une légitimation affichée. Petit historique de l’intégration scolaire de la bande dessinée Le rejet des éducateurs catholiques et laïcs s’exprime dès 1907, lorsque la bande dessinée devient presque exclusivement un matériau des publications de presse destinées à la jeunesse. Dans le courant des années 1980, les études en sociologie de la lecture montrent que, face à l’évolution et aux mutations du public scolaire, il est nécessaire de repartir des pratiques réelles des élèves et de leurs intérêts, afin d’éviter les effets d’exclusion à l’égard de la culture écrite. Une intégration en trompe-l’œil Officiellement, donc, la bande dessinée est étudiée en classe. Enseigner l’Histoire avec la bande dessinée Enseigner les lettres avec la bande dessinée Nicolas Rouvière Bibliographie Corrélats

La bande dessinée, alliée pédagogique de la transmission de l’histoire de l’immigration 1La bande dessinée a désormais franchi les portes des salles de classe. Mais, considérée comme une paralittérature, elle a longtemps suscité méfiance, voire mépris, dans les milieux éducatifs. 1 Baptiste Campion, “Bande dessinée éducative et éducation par la BD : des pratiques de terrain à une (...) 2De nombreux détracteurs de la BD ont souvent dénoncé l’indigence du texte et le risque d’appauvrissement du langage pour les élèves, la fascination exercée par l’image seule, le contenu centré sur l’émotion voire la violence, l’inintelligibilité de la narration. Il s’agit donc d’encadrer sa réception pour en limiter les effets néfastes pour la jeunesse ! Paradoxalement, le succès public des bandes dessinées est néanmoins vu comme une opportunité éducative. 3La rupture avec ce discours de stigmatisation ou d’instrumentalisation intervient dans la décennie 1970. 4En 1987, une nouvelle entrée apparaît dans les programmes officiels d’enseignement : la lecture d’images. 12 Cf.

De la bande dessinée en entreprise de communication Quel est votre parcours dans les mondes de la bande dessinée et de la communication ? Après avoir obtenu le diplôme de Sup de Co Le Havre, j’ai été réalisateur-producteur à France-Inter pendant dix ans. Dans le même temps, j’ai écrit des essais et un roman qui m’ont valu deux invitations de Bernard Pivot à Apostrophes. Quelle est la genèse de votre entreprise « Une bulle en plus » ? « Une bulle en plus », créée en 1991, était une sorte de synthèse entre Sup de Co et ce que j’avais appris à écrire : une agence spécialisée dans la communication des entreprises et des institutions par la bande dessinée. Le fait de communiquer sur la LOLF, la fermeture d’une usine, la nécessité de changer de pneus par le biais de la BD est-il un facilitateur d’un point de vue communicationnel ou, au contraire, une difficulté à surmonter ? Autrefois le domaine de la bande dessinée était considéré come une sous-culture. Reste, bien sûr, que le contenu doit être irréprochable.

La BD, reine de la communication La BD, reine de la communication 23 novembre 2004 Ce n’est pas tous les jours que « Le Monde de l’Economie » enquête sur la BD dans ses pages « management ». Cette fois, ce n’est pas Largo Winch qui défraie la chronique mais bien les BD que les syndicats et les entreprises utilisent pour leur communication. « Quand les entreprises et les syndicats communiquent par les bulles », titre Le Monde dans un article du 23 novembre 2004 signé Catherine Rollot. Une BD Michelin créée par Une Bulle en Plus. Les tirages donnent le tournis : 20.000 exemplaires au titre pour la BD du syndicat éditée par l’agence Comicstrip (c’est-à-dire plus qu’une série moyenne qui débute), un million d’albums chez Michelin conseillé par l’agence Une Bulle En Plus dont le patron, Xavier Fauche, est un ancien scénariste de Lucky Luke et de Rantanplan. Gaston dans le métro En médaillon : « L’Accord majeur » édité par le syndicat CFE-GC avec l’aide de l’agence Comicstrip. (par Didier Pasamonik (L’Agence BD))

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