background preloader

Des livres et des sites pour une école plus inclusive

Des livres et des sites pour une école plus inclusive
L’effet domino “dys" de Roselyne Guillou Cet ouvrage rédigé par une psychologue scolaire est un outil précieux. Il traite des fameux TSA (Troubles Spécifiques des Apprentissages) si difficiles à prendre en compte dans une classe. Un ouvrage synthétique mais complet et intelligent qui devrait être à disposition dans toutes les salles des maîtres/des profs. Gérer les comportements difficiles chez les enfants de P. Comment avez-vous réagi ? “Dire, lire, écrire, compter au quotidien – Aider les élèves dys” de Fabienne Ramond Les apprentissages fondamentaux sont enfin traités dans toutes leurs dimensions dans cet ouvrage qui va bien au delà de la simple adaptation aux élèves dys puisqu’il aborde aussi l’autisme, la surdité, les troubles psychoaffectifs… Les questions sont traitées en prenant en compte la globalité de l’enfant, la psychologie n’est pas écartée, les contraintes du milieu scolaire non plus. “100 idées pour venir en aide aux élèves « dysorthographiques »” de Monique Touzin En ligne : Related:  cloporte69

Conjugaison et carte heuristique : une synthèse spatiale et interactive Parcours pairform@nce - enrichir le cours de lettres avec le TNI La carte heuristique permet une représentation spatiale et raisonnée du système de la conjugaison française, bien mieux que les traditionnels tableaux de fin de manuel. Elle permet en outre une entrée par les remarques des élèves sur la morphologie verbale. Cet article se propose d’illustrer l’utilisation d’un logiciel de carte heuristique associé à celle d’un TNI. NOTICE CONCERNANT LES VIDÉOS :Les séquences encapsulées dans les lecteurs intégrés à l’article ne permettent pas d’agrandissement, du fait d’une résolution trop faible. Approche par compétences : identifier les verbes Avant même de parler de système de conjugaison, il est bien entendu nécessaire d’aborder avec les élèves la reconnaissance du verbe. Classification morphologique TEMPS SIMPLES et TEMPS COMPOSÉS Extraction depuis un texte (vidéo petit format) voir la vidéo en HD Réalisation de la carte heuristique Relevé des formes verbales télécharger la vidéo en HD

Guide de réflexion sur les stratégies d'apprentissage à l'université Une tête bien faite vaut mieux qu'une tête bien pleine. (Montaigne, Essais [1580]) « Le guide de réflexion sur les stratégies d’apprentissage à l’université » est un outil pratique et efficace qui vous permet de vous évaluer rapidement par rapport à des attitudes, des habiletés et des habitudes d’étude, toutes associées, selon les recherches dans le domaine, à la réussite des études universitaires. Il se présente sous la forme de 304 énoncés classés selon 10 thèmes et 47 catégories d’actions dont vous pouvez enrichir votre arsenal personnel de stratégies d’études, si elles n’y sont pas déjà présentes. Pour chacune de ces actions, un choix de deux réponses vous est proposé : rarement ou fréquemment selon que vous estimez cette attitude, cette habileté ou cette habitude présente chez vous.

La procrastination : pistes, outils et méthodes. - Vandenbosch David Au départ, souvent dans les jeunes années, vous arriviez à gérer beaucoup de tâches dans les dernières minutes. Cela était une source de stress mais également à la base d’une certaine fierté. Les conséquences étaient relativement circonscrites et, excepté quelques interros ratées ou de temps en temps une arrivée en retard dans votre club de sport, vous ne vous en tiriez pas souvent avec les honneurs. Les parents et les proches faisaient peut-être souvent des réflexions, des remarques, ils prodiguaient des conseils que vous n’avez jamais appliqués, cela restait lettre morte et vous perduriez dans votre fonctionnement. Dès que vous avez postposé une première fois , vous êtes aspiré dans l’engrenage où bien souvent vous avez l’impression de perdre un certain contrôle. Première étape : Quel procrastinateur êtes-vous ? Vous pouvez vous comporter en procrastinateur massif et laisser la remise à plus tard se greffer dans tous les domaines de votre vie. Comment s’effectue un tel choix ? Conclusion

Mindomo : du mindmapping collaboratif en ligne exceptionnel J’ai testé l’application de mindmapping collaboratif en ligne (et de bureau) Mindomo. Et j’ai été agréablement surpris par l’évolution de ce logiciel : une fluidité exceptionnelle et le plein de fonctions plus utiles les unes que les autres ! Avertissement : une version incomplète de cet article a été publiée par erreur le vendredi 31 mai dernier. Je présente mes excuses à tous les lecteurs qui ont reçu une version tronquée de ce test. Je continue mon exploration des applications et logiciels de mindmapping qui offrent une collaboration en ligne en temps réel. Mindomo est l’une des premières applications de mindmapping que j’avais essayée, il y a un peu plus de 5 ans. Mindomo n’est plus seulement un logiciel en ligne : vous pouvez télécharger une version de bureau pour PC, mais aussi travailler sur votre smartphone ou tablette Android ainsi que sur iPhone et iPad… Une interface élégante et une ergonomie sans faille Il en résulte un ensemble clair, simple et lisible. 1. 2. http//https// b.

Comment apprenons-nous ? Le paradoxe de la créativité Comment apprenons-nous ? Les neurosciences, les sciences cognitives, mais aussi le quantified self et bon vieil empirisme nous ont-ils fait progresser dans notre compréhension des mécanismes de l’apprentissage ? Et s’agit-il de pures découvertes théoriques ou sont-elles applicables à la salle de classe ou à chacun d’entre nous ? Même le plus fameux des MOOCs, Coursera, s’est intéressé à la question et propose maintenant un cursus « Apprendre à apprendre« . A sa tête, on trouve un neuroscientifique connu, Terrence Sejnowski et surtout Barbara Oakley, auteur d’un excellent livre sur l’apprentissage des sciences, A Mind for Numbers. Son éducation scientifique, Barbara Oakley l’a effectuée sur le tas. Mode « concentré » et mode « diffus » La créativité occupe une place importante dans le livre d’Oakley. Un des premiers principes sur lesquels elle s’étend dans son livre c’est ce qu’on pourrait appeler le paradoxe de la créativité. Le mode diffus, au contraire, est celui de l’inconscient.

Sérendipité La sérendipité est le fait de faire par hasard une découverte inattendue qui s'avère ensuite fructueuse, notamment dans le domaine des sciences. Il s'agit d'une notion polysémique dont le sens varie selon la période, le contexte et la langue utilisée. Le mot, initialement anglais (serendipity), a été créé en 1754 par l'écrivain Horace Walpole à partir du conte persan Voyages et aventures des trois princes de Serendip de Cristoforo Armeno, traduit en français par Louis de Mailly. La sérendipité a d'abord été une notion littéraire qui a joué une place essentielle dans la construction d'un nombre croissant d'œuvres de fiction, comme moteur de l'intrigue des romans policiers ou de science-fiction. Au milieu du XXe siècle, la sérendipité trouve une traduction dans le domaine de la recherche scientifique où elle fait l'objet d'une discussion sur la démarche du chercheur. Histoire du mot et définitions[modifier | modifier le code] Origine et popularité[modifier | modifier le code]

La curiosité est-elle une qualité ou un défaut ? C'est d'ailleurs bien aux enfants que l'on apprend que "la curiosité est un vilain défaut" car ils n'hésitent pas à être intrusifs et mettre l'étranger en position de révéler des choses sur lui que n'oseraient pas lui demander ses hôtes. La curiosité est toujours un vilain défaut pour celui qui veut maintenir une forme de bienséance, de bien-pensance et ne souhaite pas trop parler des choses qui fâchent. Pour le scientifique la curiosité est essentielle puisque c'est en s'étonnant du banal qu'il questionne le réel et pose des hypothèses en réponse à ses questions, de même pour le détective qui doit "questionner une scène de crime" et "faire parler les indices" comme on le voit dans la série Colombo où le célèbre inspecteur ne cesse de poser des questions au coupable connu dès le début par le téléspectateur. Celui qui ne sait vraiment rien ne sera non plus étonné de rien, or le philosophe s'étonne donc il sait.

LES TECHNIQUES PEDAGOGIQUES Qu'est ce qu'un bon prof ? La question des méthodes pédagogiques a toujours soulevé des discours passionnés. Au Québec comme en France, le débat fait rage autour des réformes de l’enseignement. De plus en plus de travaux soulignent l’impact d’un « effet-prof » sur les performances des élèves. Existe-t-il des pratiques pédagogiques plus efficaces que d’autres ? Concept & principes pédagogiques – 4 : le conflit socio cognitif Le conflit socio cognitif est un concept développé dans le champ de la pyschologie sociale génétique au début des années 80. Il met en évidence l’influence positive des interactions sociales sur l’apprentissage. L’apprentissage entre pairs peut être supérieur, sous certaines conditions, à l’apprentissage seul ou face à un formateur car il suscite des confrontations de point de vue générant la remise en cause de représentations, et par conséquent l’émergence de connaissances nouvelles. Il invite les formateurs à favoriser les apprentissages coopératifs. Comment fonctionne le conflit socio cognitif ? Face à un problème ou une question, chaque membre d’un groupe de personnes a au démarrage une représentation qui lui est propre du problème ou de la question. Quels sont les effets du conflit socio cognitif ? Le C.S.C accélère la plupart du temps l’apprentissage ou le changement de point de vue pour trois raisons essentielles : Du conflit socio cognitif à l’apprentissage coopératif En résumé

Concept pédagogique 1 : la déstructuration-restructuration des connaissances. Selon la théorie constructiviste de l’apprentissage, l’apprenant est à l’origine d’un processus actif qui l’amène à déstructurer-restructurer (1) sa structure de connaissances préalables stockées en mémoire. Cette théorie remet en cause le modèle transmissif de l’apprentissage (2). L’appropriation par le formateur du concept de déstructuration-restructuration des connaissances l’amène à revoir en profondeur ses missions (3). Le sujet apprenant acteur de son apprentissage Lors d’un apprentissage, la déstructuration-restructuration des connaissances se produit selon Bourgeois et Nizet en 4 temps(4) : Situation pédagogique de départ : l’apprenant est face à un message pédagogique (celui-ci peut provenir du formateur lui-même ou de ses pairs, d’un livre, d’un module E-Learning ou encore d’un post sur un réseau social.Activation de la structure des connaissances : l’apprenant réceptionnant le message va activer ce qu’il connaît déjà sur le sujet ou qu’il a pu connaître sur d’autres sujets.

Comment notre cerveau apprend-il Satanée mémoire ! Parce que vous ne savez toujours pas quel est le temps de cuisson d’un œuf à la coque, vous décidez de l’apprendre une bonne fois pour toutes en consultant Internet. Cette simple décision va provoquer dans votre cerveau un enchaînement de processus complexes… Pendant la recherche de l’information, votre cerveau carbure déjà à plein régime et active plusieurs zones distinctes de façon simultanée : le lobe occipital, situé au-dessus de la nuque, vous permet de visualiser le contour et l’orientation des lettres qui composent le mot ; il travaille de concert avec le gyrus angulaire, via le cortex occipito-temporal situé sur les côtés de la tête au-dessus de l’oreille. Alors que la page des résultats Google s’affiche, d’autres parties de votre cerveau se mettent en marche : le cortex cingulaire antérieur, situé dans la partie médiane de votre crâne, ainsi que le lobe frontal, deux zones responsables de la prise de décision et des raisonnements complexes. Les trois mémoires

Concept & principes pédagogiques – 3 : le sentiment d’efficacité personnelle Le sentiment de compétence ou d’efficacité personnelle est un concept majeur, pourtant assez peu connu des praticiens en formation. Il est issu essentiellement des travaux du psychologue socio-cognitiviste Albert Bandura. Le sentiment d’efficacité personnelle plus important que la compétence elle-même ? Selon Albert Bandura, le sentiment d’efficacité personnelle, c’est-à-dire la croyance en sa capacité à réussir une tâche est prédictive de la réussite. Se basant sur de multiples études et résultats de recherche, Albert Bandura propose ainsi un modèle de la performance humaine à trois dimensions dont le SEP (Sentiment d’efficacité personnelle) est déterminant. Une portée essentielle pour la formation Le concept de SEP nous invite à poser un autre regard sur la question de l’apprentissage au sein d’une entreprise. Pourquoi le sentiment d’efficacité personnelle est-il déterminant ? Le SEP joue à plusieurs niveaux dans la performance d’une personne. Troisième source : la persuasion par autrui.

Related: