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Chronologie,.  L'enseignement du premier degré. Politiques publiques

Chronologie,.  L'enseignement du premier degré. Politiques publiques
Vers l’enseignement primaire public, laïque et obligatoire A partir de la Révolution, les biens de l’Église sont sécularisés et la direction de l’enseignement passe sous la responsabilité de l’État. L’instruction devient laïque et l’État mène une politique de combat à l’égard des congrégations religieuses. Sans aboutir à des résultats immédiats et définitifs, les révolutionnaires français ouvrent la voie de l’enseignement moderne en formulant un certain nombre de principes. septembre 1791Lecture du rapport Talleyrand sur l’instruction publique qui pose les bases d’un système d’enseignement pour tous et gratuit. 1791La Constitution du 3 septembre prévoit dans son Titre I : "Il sera créé et organisé une Instruction publique commune à tous les citoyens, gratuite à l’égard des parties d’enseignement indispensables pour tous les hommes et dont les établissements seront distribués graduellement, dans un rapport combiné avec la division du royaume 1795Loi Daunou : la gratuité est abandonnée.

Actualités - Les priorités de la rentrée scolaire 2016 La circulaire de rentrée 2016 détaille les priorités pour l'année scolaire 2016-2017 Une École qui se transforme au service de la qualité et de l'efficacité des apprentissages Une cohérence globale de l'école au collègeLa priorité réaffirmée au premier degréLa réforme du collègeLe lycée poursuit son évolutionLe Plan numérique pour favoriser la généralisation des usages pédagogiques du numériqueLe parcours d'éducation artistique et culturelle : une éducation à l'art et par l'art pour tous les élèves Une École inclusive pour la réussite de tous Favoriser la réussite de chaque élève grâce à une orientation choisie et préparéeLutter contre le décrochage scolaire et maintenir les jeunes en formation jusqu'à la qualificationContribuer activement à la lutte contre les inégalités socialesAccompagner la scolarisation des élèves à besoins éducatifs particuliers Une École qui fait vivre les valeurs de la République

Histoire de l’éducation L'état de l'École 2015. Coûts, activités, résultats Rédacteur en chef : Paul Esquieu Présentation L'ambition affirmée par la France en matière d'éducation et de formation, conjuguée avec la définition d'objectifs communs pour les systèmes éducatifs européens, rendent indispensable de développer des indicateurs statistiques et des études comparatives. Cette édition 2016 propose trente indicateurs permettant d’alimenter le débat public avec des données objectives sur l’École.Présentation de L'état de l'École Coûts La dépense pour l'éducation Multipliée par 1,9 depuis 1980, la dépense intérieure d’éducation atteint 147,8 milliards d’euros en 2015, ce qui représente 6,8 % du PIB et 8 440 euros par élève ou étudiant.La dépense pour l'éducation La dépense d'éducation pour le premier degré En 2015, un peu moins de 30 % de la dépense intérieure d’éducation, soit 42,5 milliards d’euros, ont été consacrés à l’enseignement du premier degré. La dépense d'éducation pour le second degré La dépense d'éducation pour l'enseignement supérieur Activités Résultats

Jules Ferry – Biographie Jules Ferry Né le 5 avril 1832 à Saint-Dié (Vosges) et mort le 17 mars 1893 à Paris. Fils d’un avocat de la ville, Jules Ferry a une sœur ainée et un frère cadet. Les Ferry finissent par s’installer à Paris où Jules devient bachelier en 1951 puis commence le droit. Il réussit ses études et devient stagiaire dans un cabinet d’avocat d’affaires. Nommé secrétaire de la Conférence des avocats en 1854, il prononce un discours de rentrée en 1855 lors duquel il expose ses idées de justice sociale, liberté de conscience et laïcité qui l’opposent au Second Empire et lui donnent ses entrées dans les salons parisiens. Avec la naissance de la troisième République, Jules Ferry devient ministre du gouvernement de la Défense nationale. Libre-penseur, franc-maçon, il établit des écoles normales primaires pour assurer la formation d’instituteurs laïcs et exclut l’Église du Conseil supérieur de l’Instruction publique (1879-l880).

Accueil | Ressources numériques en histoire de l'éducation L'école, facteur d’exclusion ou d’intégration ? Les problèmes posés par le rôle de l'école par rapport au phénomène d'exclusion et aux exigences d'intégration qui traversent notre société sont au coeur de nombreux débats aujourd'hui. Je voudrais placer ce texte sous le double exergue de deux citations : - la première tirée de la Bible "L'étranger qui réside avec vous sera pour vous comme un compatriote, et tu l'aimeras comme toi-même, car vous avez été étrangers au pays d"Egypte1 . - la seconde du poète latin Térence :"Je suis homme, et rien d'humain ne m'est étranger". 1Nous avons à réfléchir sur le paradoxe - peut-être même la contradiction - qu'implique le titre même de cette conférence. 2Au cours du dernier quart de siècle, nous avons vu l'école, successivement mais parfois simultanément, voire par les mêmes personnes, accusée de sélectionner socialement en excluant les jeunes du savoir, et convoquée à contribuer par la formation de ces mêmes jeunes à la réparation de la fracture sociale et à la solution du problème du chômage.

Jules Ferry En 1870, après la chute du Second Empire, dont il était opposant, il est membre du gouvernement provisoire et, pour quelques mois, maire de Paris. C'est dans le cadre de cette dernière fonction qu'il contribue à réprimer les insurgés de la Commune de Paris. Mort à 60 ans des suites d’un infarctus du myocarde trois semaines après avoir été élu président du Sénat, il est inhumé à Saint-Dié-des-Vosges. Situation personnelle Origines Jules François Camille Ferry est le fils de Charles-Édouard Ferry, avocat, et d’Adèle Jamelet[1]. François-Joseph Ferry, grand-père de Jules, est maire (indépendant) de la ville (1797-1815 ; 1816). Formation Carrière professionnelle Jules Ferry devient un avocat réputé et se passionne pour la chose publique, se spécialisant rapidement dans la défense des républicains. Vie privée et familiale Le 8 juillet 1875, les francs-maçons donnent une grande solennité à sa réception par le Grand Orient de France au sein de la loge « La Clémente Amitié ». Parcours politique Débuts

Ordonnance n°59-45 du 6 janvier 1959 portant prolongation de la scolarité obligatoire | Legifrance Ordonnance n°59-45 du 6 janvier 1959 portant prolongation de la scolarité obligatoire Le président du conseil des ministres, Sur le rapport du ministre de l'éducation nationale, Vu la Constitution, et notamment ses articles 34 et 92 ; Le Conseil d'Etat entendu ; Le conseil des ministres entendu, L'instruction est obligatoire jusqu'à l'âge de seize ans révolus pour les enfants des deux sexes français et étrangers, qui atteindront l'âge de six ans à partir du 1er janvier 1959. La présente disposition ne fait pas obstacle à l'application des prescriptions particulières imposant une scolarité plus longue. L'instruction obligatoire a pour objet l'éducation et les connaissances de base, les éléments de la culture générale et, selon les choix, de la formation professionnelle et technique. Elle peut être donnée soit dans les établissements ou écoles publics ou libres, soit dans les familles par les parents, ou l'un d'entre eux, ou toute personne de leur choix. Le président du conseil des ministres :

Les lois  Lois Jules Ferry Plus généralement, l’expression « lois Jules Ferry » peut désigner un ensemble plus vaste de textes réformant l’enseignement en France entre 1879 et 1886 à l’initiative de Jules Ferry. Cet ensemble inclut, outre les deux lois précédentes relatives à l’école primaire objet de cet article, des lois relatives à la formation des professeurs, à l’enseignement secondaire et supérieur, ou au fonctionnement de commissions administratives compétentes en matière d’enseignement. La loi Goblet du 30 octobre 1886 parachève les lois Jules Ferry en confiant à un personnel exclusivement laïque l'enseignement dans les écoles publiques, remplaçant les instituteurs congrégationnistes ; elle est parfois également rattachée à ces lois. Les lois Ferry redéfinissent en profondeur le droit de l’éducation en France, et modifient la loi Falloux du 15 mars 1850 qui régissait jusque-là cette matière. Contexte[modifier | modifier le code] État de la question scolaire et politique[modifier | modifier le code]

l'égalité des chances

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