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LE PLAISIR AU TRAVAIL : de la gestion du savoir-faire au management de l’aimer-faire

LE PLAISIR AU TRAVAIL : de la gestion du savoir-faire au management de l’aimer-faire
Après l’amélioration des conditions de travail, la prévention des risques psychosociaux et le développement du bonheur au travail, voici venu le temps du plaisir au travail. Mais peut-on manager le plaisir ? Qui est responsable et comment s’y prend-on ? Si je vous dis plaisir, à quoi pensez-vous ? Dans notre pays, la plupart des personnes associent le mot plaisir à une bonne bouffe, aux rapports charnels, aux loisirs mais très rarement au travail. Plutôt dommage quand on sait qu’on y consacre environ 66.000 heures de sa viei, ne pensez-vous pas ? Tout le monde s’accorde à dire qu’un salarié qui éprouve du plaisir dans son travail, sera non seulement plus épanoui mais aussi plus performant. En quoi bonheur et plaisir au travail sont-ils différents ? Bonheur et plaisir n’ont (vraiment) rien à voir Bien que tous deux soient des ressentis agréables, ils sont vraiment très différents. Quel intérêt a-t-on à développer le plaisir au travail ? Développer le plaisir au travail : pour quoi faire ? A.

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"Salariés libérés, performance assurée?" échanges avec Isaac Getz et Mehdi Berrada “Salarié-e-s libéré-e-s, performance assurée ? A la rencontre d’entreprises à contre courant qui font une confiance totale à leurs collaborateurs et leurs collaboratrices » : c’était le sujet qui interpellait les près de 200 participants à la soirée «Vivre l’économie autrement» du Centre du Hautmont près de Lille début décembre. Dans un monde qui ne sait plus très bien où il va, devant les incertitudes qui raccourcissent nos horizons, quand le pragmatisme semble être devenu synonyme de « baisse la tête, avance et tais-toi » ce sujet peut apparaître un rien provocant. Parler d’entreprises libérées, de bonheur pour être performant, d’autonomie, de liberté, de responsabilité ou de pouvoir confié à ceux qui font, c’est effectivement parler de pratiques managériales à contre-courant. Trois intervenants qui ont étudié, accompagné ou mis en place ce type d’organisation nous ont partagé leurs visions et expériences. Quel est l’engagement des salariés aujourd’hui ?

Management : 54 % des collaborateurs veulent plus d'autonomie Le management du XXIe siècle sera centré sur l’humain, ou ne sera pas. Derrière ce point de vue d’expert qui traduit l’adaptation attendue de la fonction de managers, c’est l’organisation générale du travail qui est remise en question. La révolution culturelle inévitable du monde de l’entreprise (induite par la transformation numérique) propulse collaborateurs et managers vers de nouvelles façons de produire, de s’organiser, d’interagir et dans laquelle l’humain doit être remis au centre des préoccupations. Dans ce contexte, RH Info a réalisé l’enquête “Transformer le management… Vous y croyez ?“, dont l’infographie du jour vous présente les résultats. Le management “traditionnel” reste incontournable

Enseigner l’empathie Dans ce second volet, Guy Azoulai aborde la question de l’enseignement de l’empathie en présentant les différents outils qu’il utilise lors de ses formations à l’entretien motivationnel. Présentation du concept d’empathie Le concept d’empathie est présenté en mettant l’accent sur son rôle déterminant dans la dynamique interpersonnelle de la motivation et du changement : Les attitudes spontanées face à la détresse émotionnelle Poult, la biscuiterie 3.0 La biscuiterie 3.0 ? Une entreprise qui produit des biscuits connectés ? Tous les employés sont connectés aux réseaux sociaux et portent des Google Glass ? En fait non… encore que, pourquoi pas! Mais ça n’est pas là le sujet de cet article.Poult est une entreprise différente, qui effectivement produit des biscuits … de manière différente. Cette entreprise industrielle a mis l’innovation, et notamment l’innovation managériale, au cœur de sa stratégie.

L'importance du feedback dans le management Pas toujours facile à pratiquer, le feedback reste pourtant un outil indispensable au management. Définition Élément essentiel de régulation en communication, le feedback est un moyen de transmettre un « retour » à une personne sur ses actes, avec comme objectif d’agir sur ses actes futurs, soit en les maintenant ou en les renforçant, soit en les modifiant ou en les corrigeant. Les journaux d’apprentissage Le journal des apprentissages a pour premier résultat de faire écrire quotidiennement les élèves. Il a bien d’autres effets. Jacques Crinon a contribué à mettre en place avec des enseignants et à étudier cette pratique réflexive du journal d’apprentissage. Les travaux de Jacques Crinon :

Témoignages de collaborateurs de Sogilis, une entreprise libérée Je n’ai rien contre les Poult, ChronoFlex, et Favi. Au contraire leurs témoignages et exposition médiatique permettent de montrer la voie aux entreprises désireuses de se libérer et d’adopter un management plus approprié au contexte de travail actuel. Mais à force de parler toujours des mêmes, on pourrait se demander si elles ne sont pas l’exception qui confirme la règle… et bien non, la France compte de nombreuses entreprises en pleine croissance et qui ont fait le choix du collaboratif ! D’ailleurs, cet article parlera de l’une d’entre elles, moins visible mais tout autant libérée : Sogilis, qui développe des logiciels sur-mesure, utiles et durables. Et comme la parole aussi est libérée, c’est à 2 collaborateurs que j’ai demandé de me raconter ce que ça changeait concrètement de travailler dans une entreprise libérée versus une entreprise classique.

Pour être un grand leader, vous devez apprendre à bien déléguer Chroniques d’experts Leadership Le 13/02/2018 © Getty Images Nouveaux schémas de pensée: quel impact sur l’éducation? Michel Serres l’a joliment surnommée « Petite Poucette », en raison de la dextérité et la rapidité avec laquelle l’individu type de cette génération née après 1980 fait usage de ses pouces pour tapoter sur les écrans numériques. D’autres ont opté pour des termes plus génériques, comme la « génération du Millénaire », la « génération Y » ou encore la « génération Net ». L’appellation qui a eu le plus de succès est certainement celle du futurologue américain Marc Prensky, qui parle depuis 2001 des « digital natives », les enfants du numérique pourrait-on dire en français. Une question de générations ?Derrière ces nombreuses dénominations, ces experts veulent mettre le doigt sur un même phénomène : ceux qui sont nés après 1980 seraient différents des précédentes générations car leur exposition aux nouvelles technologies impacterait leur cerveau, façonnant des modes de pensée et d’apprentissage différents. Nous y gagnons et nous y perdons, donc.

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