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L’hydrogène au coeur de la future révolution énergétique ?

L’hydrogène au coeur de la future révolution énergétique ?
Le rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst), rédigé par le sénateur du Tarn Jean-Marc Pastor et le député de Moselle Laurent Kalinowski et publié le 22 janvier fera date : il trace en effet la « feuille de route » qui pourrait permettre à la France de ne pas rater le tournant énergétique, technologique et industriel majeur de l’hydrogène (Voir Rapport). Dans cette excellente étude, les auteurs proposent notamment de défiscaliser intégralement la production d’hydrogène issue de sources d’énergie non émettrices de gaz à effet de serre. Autres propositions intéressantes : étendre le « bonus écologique » aux véhicules utilitaires à pile à combustible et simplifier le cadre réglementaire actuel régissant les véhicules à hydrogène. Ce rapport rappelle qu’1 kg d’hydrogène libère environ trois fois plus d’énergie qu’1 kg d’essence.

Fusion froide Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Diagramme d'un calorimètre utilisé à l'institut de la nouvelle énergie à base d'hydrogène au Japon. L'expression médiatique fusion froide désigne des réactions supposées « nucléaires à température et pression ambiante ». L'expression fusion froide n'est pas admise par la majorité de la communauté scientifique, parce que l'expérience de Pons et Fleischman est difficilement reproductible et a déclenché une polémique mondiale sur la vérification effectuée par les comités de lecture. Domaine de la fusion froide[modifier | modifier le code] Pour les chercheurs en fusion nucléaire standard, le mot « fusion » désigne la formation d'un noyau atomique à partir de deux autres projetés violemment l'un contre l'autre par une vitesse très élevée (qui peut être issue par exemple d'une température très élevée, de l'ordre de plusieurs millions de degrés). Avant l'expérimentation de Fleischmann et Pons[modifier | modifier le code]

La fusion froide contre le plutonium Autres articles Le rythme de l’étude de l’espace lointain par des stations interplanétaires va ralentir, considèrent les experts. Les réserves mondiales de plutonium-238, accumulées lors de la fabrication des armes nucléaires s’amenuisent, alors que c’est cet isotope, qui permet d’actionner les batteries thermiques des appareils spaciaux qui sont trop éloignés du Soleil pour pouvoir fonctionner avec des panneaux solaires. Le plutonium-238 est utilisé dans le secteur aérospatial depuis des décennies. « Le plutonium est produit dans les centrales nucléaires. Le combustible des centrales nucléaires contient des isotopes de plutonium différents et il n’y a que 1% de plutonium-238 parmi tous ces éléments. Pourrait-on se passer de cet isotope dans le secteur spatial ? « Les vols dans l’espace lointain durent longtemps et il est impossible de remplacer quoi que cela soit dans les appareils. « J'espère que des sources d’énergie à base d’hydrogène pourront les remplacer.

De l'hydrogène produit avec des pierres et de l'eau Des roches riches en olivine fournissent une source d'énergie propre et pourraient contribuer à comprendre l'origine de la vie. À défaut de pétrole, la France continue d'avoir des idées. Une nouvelle méthode pour produire de l'hydrogène a été élaborée par le Laboratoire de géologie de Lyon (Université Claude-Bernard), en coopération avec le CNRS et l'École normale supérieure. De l'eau mise en contact avec de l'olivine, un minéral de couleur verte abondant sous les mers et disponible également en grande quantité sur terre au sultanat d'Oman et en Nouvelle-Calédonie, permet de produire de l'hydrogène. Le Dr Muriel Andreani, du Laboratoire de géologie, explique: «Nous avons reproduit une réaction chimique qui a lieu dans le milieu naturel. La réaction pourrait être reproduite de manière industrielle, mais «ce n'est pas pour tout de suite.

L'hydrogène : Comment le produire ???? a)Comment produire de l'hydrogène? Comme nous l'avons précédemment dit, l'hydrogène n'est pas directement disponible dans la nature. Nous cherchons donc à savoir comment faut-il faire pour produire de l'hydrogène car pour faire fonctionner une pile à combustible, l'hydrogène est indispensable. Il existe plusieurs méthodes pour en produire. Pour que cela en vaille le coup, les frais de production ne doivent pas être trop élevés, le processus de fabrication doit être non polluant sinon l'intérêt principal de l'hydrogène ne serait pas respecté et la production ne doit pas nécessiter trop d'énergie dans un souci de rentabilité. On connaît trois principales méthodes mais aucune ne répond exactement aux critères que nous avons précédemment cités. La deuxième "grande technique" de production d'hydrogène que nous allons développer c'est la production d'hydrogène par décomposition de l'eau. Réaction totale: 2 H2O(l) => O2(g) + 2 H2(g) Schéma d'une électrolyse (expérience que nous avons réalisé)

Energie : une production d’hydrogène inédite... et brevetée Le recours à l’hydrogène comme vecteur énergétique propre est l’une des solutions pour répondre aux actuels défis énergétiques. Afin de produire ce carburant du futur, l’électrolyse de l’eau figure parmi les filières "écologiques" les plus prometteuses. Principal écueil : son rendement. Soucieux d’optimiser cette technique, des chercheurs de quatre laboratoires du CNRS, en collaboration avec les entreprises AREVA NP et SCT, sont parvenus, pour la première fois, à produire de l’hydrogène en quantité notable par une nouvelle méthode. Comment produire proprement de l’hydrogène ? Plus énergétique que le pétrole ou le gaz naturel, non polluant et non toxique, l’hydrogène pourrait progressivement suppléer les énergies fossiles et répondre à l’essentiel de nos besoins énergétiques. Electrolyse : des inconvénients Pour cela, l’électrolyse de l’eau, c’est-à-dire sa décomposition en hydrogène (H) et oxygène (O), est l’une des solutions envisagées. Comment pallier ces défauts ? Deux étapes majeures

production-hydrogene-propre528 Air Liquide a mis en place l’initiative Blue Hydrogen afin que 50 % de ses applications d’hydrogène énergie soient couvertes par des moyens bas carbone ou zéro carbone d’ici 2020 Les espoirs placés dans l’hydrogène sont en train d’être vérifiés. Le gaz intéresse depuis longtemps le secteur des transports et les acteurs du stockage énergétique. Pour les transports, l’hydrogène va être rechargé dans un réservoir pour alimenter, via une pile à combustible, un moteur électrique. « L’intérêt est de déplacer le stockage de la batterie qui a des capacités de stockage intéressantes plutôt sur le court terme et avec des propriétés de décharge au cours du temps, sous une forme matérielle, non électronique, sous la forme d’un gaz stocké dans un réservoir pour des périodes longues, de plusieurs mois à plusieurs années avec des pertes quasi-nulles », explique Jean-Baptiste Mossa, Chef du projet de mobilité hydrogène d’Air Liquide. Avant d’utiliser l’hydrogène, il faut le produire.

La production d'hydrogène plus abordable grâce à l'énergie solaire L'électrolyse de l'eau, ou hydrolyse, est une technique qui produit du dihydrogène (H2) et du dioxygène (O2) en partant de l’eau, grâce à un courant électrique. © Adam Rędzikowski, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0 La production d'hydrogène plus abordable grâce à l'énergie solaire - 2 Photos Souvent évoqué comme le carburant du futur, l’hydrogène est un bon candidat pour alimenter les voitures dotées de piles à combustible. Mais il rencontre un plusieurs écueils : sa production avec les méthodes actuelles (comme l’électrolyse) reste chère, peu efficace, et impacte l’environnement. Aussi, la possibilité de produire de l’hydrogène à partir d'eau et de lumière du soleil est suivie avec sérieux, et plusieurs recherches récentes en témoignent. Conversion bon marché de l’énergie solaire en hydrogène Quand la lumière (flèche arc-en-ciel) atteint le système, un potentiel électrique est créé. Vers une production significative d’hydrogène directement sur les toits ? A voir aussi sur Internet

Production d'hydrogène Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] À partir des hydrocarbures[modifier | modifier le code] Le dihydrogène peut être généré à partir du gaz naturel, avec un rendement d'environ 80 %, ou à partir d'autres hydrocarbures avec des degrés divers d'efficacité. La méthode de conversion des hydrocarbures cause des rejets de gaz à effet de serre. Étant donné que la production est concentrée dans un seul établissement, il est possible de séparer les gaz et de s'en débarrasser de façon adéquate, par exemple pour les injecter dans une couche de pétrole ou de gaz naturel (voir la capture du carbone), bien que ce ne soit pas le fait actuellement dans la plupart des cas. Réduction de la vapeur d'eau[modifier | modifier le code] Généralement le dihydrogène est produit par vaporeformage par le gaz naturel, mais la charge peut aussi être du GPL ou du Naphta. L'énergie libérée par cette réaction est de 191,7 kJ/mol. CO + H2O → CO2 + H2 - 40,4 kJ / mol

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