background preloader

Le fabuleux business du transmedia storytelling

Le fabuleux business du transmedia storytelling
A l’occasion de la grande conférence Tools of Change for Publishing organisée par O’Reilly et qui vient de s’achever à New York, il y a eu une intervention très intéressante de Jeff Gomez, qui est, avec Henry Jenkins, un des grands pontes du transmedia storytelling aux USA. Sauf qu’à la différence de ce dernier, enseignant-chercheur au MIT, Jeff Gomez en a fait un réel business avec sa compagnie Starlight Runner Entertainment qui créé des « univers narratifs » pour, entre autres, Avatar, Halo, Dexter, et Pirates des Caraïbes. Mais, au juste, le transmedia storytelling, à part être un vilain terme jargonneux, c’est quoi, et surtout, comment ça fonctionne ? Le transmedia storytelling en bref Si on prend une définition très large de « transmedia storytelling », on peut comprendre le concept comme le fait de raconter une histoire sur différents médias. Qu’est ce que ça apporte par rapport à une histoire classique ? Comment faire du transmedia storytelling ? Share and Enjoy

Storytelling (technique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le storytelling ou conte de faits[1] ou mise en récit[2] signifie littéralement « racontage d'histoire »[3]. L'expression désigne une méthode utilisée en communication fondée sur une structure narrative du discours qui s'apparente à celle des contes, des récits. Son emploi notamment en communication politique est controversé du fait des usages parfois discutables auxquels se livrent les Conseillers en communication désignés sous le terme de spin doctors. Les hommes ont toujours eu recours à de grands mythes pour expliquer l’univers et organiser le chaos. Qu’on les appelle aèdes ou griots, Homère et les autres ont été de grands conteurs. Le conte de faits est l'application de procédés narratifs dans la technique de communication pour renforcer l'adhésion du public au fond du discours. Avant Steve Denning c'est John Seely-Brown de Xerox Parc qui a publié sur ce sujet.

sans titre « Storytelling, le livre », de Stéphane Dangel et Jean-Marc Blancherie – Editions du Désir (2009) Où en est le storytelling en France ? Storytelling ? Oui : comme « story », histoire, et « telling », raconter. C’est déjà plus positif que de présenter la discipline sous le résumé suivant : l’art de raconter des histoires. Dépasser les idées reçues « Storytelling, le livre », écrit par Stéphane Dangel, professionnel de la communication, écrivain et « activiste » du storytelling, et Jean-Marc Blancherie, spécialiste du knowledge management et… conteur (Editions du Désir – 2009), veut aller plus loin que cette simple conclusion. Car en langue anglaise, les manuels de storytelling ne manquent pas. Les recettes du storytelling Le livre part des fondements théoriques (Platon, Aristote…), en les visitant d’un point de vue actuel qui en retient les éléments qui peuvent enrichir la pratique contemporaine du storytelling. Un concept éditorial original

Spin doctor Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un spin doctor est un conseiller en communication et marketing politique agissant pour le compte d'une personnalité politique, le plus souvent lors de campagnes électorales. En français canadien, on parle parfois de « doreur d'images »[1]. Étymologie[modifier | modifier le code] Il est vrai que la fonction est ancienne et s'est formalisée depuis les années 1930, même si le mot lui-même, spin, n’a vraiment été popularisé qu’à partir de 1984 et du débat entre Ronald Reagan et Walter Mondale. To spin, en anglais, signifie « faire tourner ». La commission générale de terminologie et de néologie française recommande depuis 2007 l'emploi du terme « façonneur d'image » pour traduire cette fonction. Pratique des Spin doctors[modifier | modifier le code] Sous l'Allemagne nazie, le ministre Goebbels a été le précurseur et l'initiateur d'une propagande systématique à grande échelle en faveur d'un régime totalitaire. Voir aussi[modifier | modifier le code]

Storytelling Deux théoriciens du "storytelling": Christian Salmon et Yves Citton Désormais omniprésent, le terme a été diffusé en France par la publication de l'ouvrage de Christian Salmon, Storytelling. La Machine à fabriquer des histoires et à formater les esprits, dont on peut lire un compte rendu dans notre revue des parutions, Acta-Fabula : "Hold-up sur l'imaginaire", par Ivanne Rialland. C. Salmon est également l'auteur de Storytelling, saison 1. Liens utiles : "Storytelling": Kate Moss, Obama, Sarkozy, l'identité nationale : entretien avec C. Page associée: Récit Atelier de Fabula

| Comment écrire son histoire à l’époque du storytelling Comment écrire l’histoire de sa vie à une époque où des histoires nous sont racontées partout: dans les médias, au cinéma, en politique, dans la publicité? Comment prendre en main son destin personnel au milieu de ces histoires faites pour gouverner nos vies? Le monde foisonne d’histoires. On ne nous a jamais autant raconté d’histoires. Ce qu’on appelle le storytelling est devenu un instrument de gouvernement. Des histoires pour gouverner Pourquoi des histoires? Les marques utilisent elles aussi le storytelling pour se faire apprécier des consommateurs. Comment, dès lors, les individus peuvent-ils écrire leur propre histoire? Dans ce contexte encombré par les histoires, notre propre histoire est reléguée tout au fond de nous. La meilleur façon de parler au peuple Le storytelling est l’art de raconter des histoires. Le storytelling est apparu au début des années 90, selon Christian Salmon (Monde diplomatique). L’épopée et son héros Mais une histoire a besoin de personnages. Et l’individu?

sans titre Le “story-telling” est devenu l’un des termes à la mode du marketing-journalistique. Pour intéresser désormais le public, il faut lui raconter une histoire susceptible de l’émouvoir. Une pratique ancienne qui présente des risques déontologiques. Les faits sont mornes, banals, inintéressants ? L’enquête universitaire valide ou invalide un postulat en fonction des éléments trouvés. Patrick Champagne dans “la vision médiatique” a montré comment les journalistes construisent parfois la réalité qu’ils prétendent décrire. Story-telling, par souci de vitesse et de rentabilité Primo, les journalistes télé n’ont guère le temps de procéder à une vraie enquête. Secondo, la course à l’audience, la concurrence pousse au spectaculaire et à la simplification. Des émeutes à Vaux-en-Velin ? Tant pis si les choses sont plus complexes, tant pis si la majorité des habitants de la cité est composée de travailleurs silencieux et dociles. Et puis l’intelligence n’est tout simplement pas rentable.

"Storytelling": ces histoires que construit le pouvoir | Rue89 Avec « Storytelling », Christian Salmon signe un essai décapant sur la nouvelle « arme de distraction massive », devenue grâce à la mondialisation et à la férocité cynique des communicants, l’arme de destruction rêvée du marché : quand « l’art de raconter des histoires » devient l’art de « formater les esprits » pour les aliéner. Ce n’est pas de la fiction : le « storytelling » manage le monde depuis les années 90. Entretien. Dans un monde où le rapport au réel oscille majoritairement entre téléréalité et chaînes tout-info, la fiction semble devenue une norme sous-jacente, un besoin, une échappatoire. Dans « Storytelling », l’ex-président de l’ancien Parlement international des écrivains, Christian Salmon, retrace la généalogie de cette nouvelle doctrine (« l’art de raconter des histoires »), aujourd’hui devenue « arme de distraction massive » à même non seulement de formater notre rapport à la réalité, mais de fabriquer le réel. Le « storytelling » est apparu dans les années 90.

STORYTELLING | Home Storytelling le blog du storytelling De Homère à nos jours, les mythes qui nous passionnent n’ont pas beaucoup changé. Simplement, aujourd’hui, on les applique aussi aux entreprises. « Il était une fois… » : avec ces simples mots, le conteur sait allumer des étoiles dans les yeux de son public. Les entreprises ne s’adressent évidemment pas toujours de façon aussi littérale à leurs clients mais, si elles savent dépasser le discours convenu sur les produits et services qu’elles proposent, si elles peuvent capter l’attention de leur cible, alors l’expérience qualité en sera démultipliée. Pour schématiser, il existe 7 grands types d’histoires efficaces en entreprise : 7 comme les 7 merveilles du monde, comme les 7 dieux principaux du panthéon gréco-romain ou comme les 7 jours de la semaine (c’est un excellent moyen mnémotechnique !). MARDI (jour de Mars, dieu de la guerre) – D’autres entreprises adorent la compétition, veulent « devenir calife à la place du calife », autrement dit prendre la place du leader de leur secteur.

Pélerins d'altitude

ce qui est cool, c'est que ton prout est public. Je dis ça, c'est sans doute pertinent pour parler de ce site. by tristan May 13

Related: