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Traité de savoir-vivre à l'usage des jeunes générations

Traité de savoir-vivre à l'usage des jeunes générations
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Slavery Footprint - Made In A Free World Made in a Free World - A solution for business. Powered by Translate Slavery Footprint Slavery exists... Deep within the supply chains of the products we love.Consider this... likely contains cotton that was picked by children in Uzbekistan who are forced to trade their school days for days in the fields. has Capacitors that are made with Coltan. 64% of Coltan reserves are located in Congo where child labourers are work from sunrise to sunset. there are estimated 200,000 child slaves working in Ivory Coast alone, harvesting 40% of the world's cocoa beans. Here's how it works The supply chain enslaves more people than atany other time in history. And they're working for you. No need to feel guilty... have the power to change this. voice matters Together, we'll work towards a world where everything you buy could have a new kind of "Made in..." tag. your slavery footprint by taking our survey. your results and encourage your friends to do the same. It all began with.. Justin Dillon The U.S. Original text

Ni frontières ni papiers, Raoul Vaneigem Il fut un temps où l’anarchiste Albert Libertad, pressentant le développement d’une bureaucratie kafkaïenne et de la dictature paperassière, invitait les citoyens à brûler leurs papiers d’identité et à redevenir des êtres humains en refusant de se laisser réduire à des numéros, dûment répertoriés dans le dénombrement étatique et statistique des esclaves. Nos existences sont aujourd’hui si imprégnées de ces chiffres qui contingentent indifféremment les paiements bancaires, les salaires, la sécurité sociale, les allocations de chômage et les retraites qu’exister sans papiers paraît aussi impossible et impraticable que la recommandation de Libertad d’en finir avec le marquage infamant et policier du bétail social. Ajoutez à cela un processus de dégradation de l’Etat dû à l’emprise des puissances bancaires, elles-mêmes menacées par un effondrement monétaire mondial. Car les Etats ont perdu le privilège, qu’ils s’arrogeaient, de gérer le bien public. Qu’en est-il aujourd’hui ? Comment ?

Internationale situationniste Formellement créée en juillet 1957 à la Conférence de Cosio di Arroscia, l'Internationale situationniste est née du rapprochement d'un ensemble international de mouvements d'avant-garde, dont l'Internationale lettriste (elle-même issue d'une rupture avec le Lettrisme d'Isidore Isou), le Mouvement international pour un Bauhaus imaginiste, le Comité psychogéographique de Londres et un groupe de peintres italiens. Son document fondateur, Rapport sur la construction de situations…[1], a été rédigé par Guy Debord en 1957. Dans ce texte programmatique, Debord pose l'exigence de « changer le monde » et envisage le dépassement de toutes les formes artistiques par « un emploi unitaire de tous les moyens de bouleversement de la vie quotidienne ». Au début, les Situationnistes ont fait parler d'eux pour leur utilisation du calembour comme arme politique, tournant en dérision l'art contemporain pour démontrer l'inanité et le superficiel d'une culture dite bourgeoise. 15 mai 1968 : 16 mai 1968 :

Relations internationales Georges Simenon Une association veut qu'un singe touche des droits d'auteur sur un selfie Connue pour ses coups d'éclats, Peta, qui milite pour le droit des animaux, a porté plainte pour que le célèbre singe Naruto devienne propriétaire des autoportraits pris avec l'appareil d'un photographe. Un singe peut-il détenir des droits d'auteur? La sulfureuse association de défense des droits des animaux Peta milite en ce sens. La question de la propriété de ces clichés avait déjà été posée en 2014, alors que les photos avaient fait le tour du monde. Mais c'est finalement David Slater qui est traîné devant les tribunaux. «Notre argument est simple: la loi américaine sur les droits d'auteur n'interdit pas à un animal de détenir des droits d'auteur, et comme Naruto a pris la photo, il en détient les droits d'auteur, comme tout être humain le serait, indique l'association. Au-delà de l'anecdote, l'affaire questionne le fondement même des droits accordés aux animaux.

Institut de Documentation et Recherche sur la Paix Les grèves belges « Des grèves de masse ne peuvent se produire que lorsque les conditions historiques en sont présentes. Elles ne se laissent pas proclamer sur commande. Des grèves de masse ne sont pas des moyens artificiels, qui peuvent être employés lorsque le parti est arrivé dans une impasse avec sa politique, afin de le sortir du jour au lendemain de ce marasme. Lorsque les contradictions de classe se sont exacerbées et lorsque la situation politique s'est tendue au point où les moyens parlementaires ne suffisent plus pour faire avancer la cause du prolétariat, alors la grève de masse apparaît comme une nécessité impérieuse, et alors elle est hautement profitable à cette cause, même si elle n'aboutit pas à une nette victoire. » (Rosa LUXEMBOURG : « La grève de masse politique », dans Vorwaerts, 24 juillet 1913) Les sociologues avaient dit que la classe ouvrière était en train de disparaître ; voilà qu'elle se manifeste avec une énergie rarement égalée. Comment expliquer ce paradoxe? I. II.

Une photo de l'iceberg qui aurait coulé le Titanic vendue 32.000 dollars La maison anglaise Henry Aldridge & Son Devizes a vendu, le 24 octobre, un cliché qui représenterait le morceau de banquise contre lequel s'est heurté le paquebot en 1912. L'authenticité de l'image n'a pas été confirmée. Un prix faramineux, pour une photo dont on doute de l'authenticité. Cette photo en noir et blanc a été prise par membre de l'équipage du paquebot Prinz Adalbert le 15 avril 1912. Un élément pourtant pourrait confirmer l'authenticité du funeste iceberg. À l'époque, la photo a été immédiatement remise au cabinet d'avocats qui défendait les droits de la maison mère du Titanic, la White Star Line. Depuis plus d'un siècle, des reliques en tous genres continuent de faire vivre la légende noire du Titanic.

Accueil Un avion stratosphérique belge en 1938. Les Belges et l'air S'il est communément admis que la France est le berceau de l'aviation, la Belgique a eu également son heure de gloire en matière de recherches et de construction aéronautique. Épopée quelque peu oubliée, en particulier du fait qu'après la Seconde Guerre Mondiale, une nation de dimensions modestes (et de plus ruinée par le conflit) ne pouvait plus être en mesure d'assumer, comme dans les années vingt ou trente, une production aéronautique strictement nationale, hormis peut-être pour quelques appareils de tourisme. La Belgique ne se contenta pas de jouer les spectatrices en matière de conquête de l'air et fournit son lot de pionniers, mais aussi de constructeurs, dont certains connurent un certain succès. Le Renard R-35 : histoire "La perte de l'avion stratosphérique R-35 nous enlève un pilote de grande classe et détruit un grand effort technique". ©Aérostories, 2002. > suite : construction et caractéristiques

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