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Comment lutter contre le viol

Comment lutter contre le viol
[descriptions explicites de scènes de viol] On demande souvent aux féministes comment diminuer le nombre de viols, quelles mesures elles préconisent (sachant que la méthode la plus rapide est l'extinction du genre masculin mais vous allez pinailler). Si tout le monde s'accorde à être contre le viol, ce même monde devient d'un coup beaucoup moins prolixe quand il s'agit de définir le viol. Pour la majorité d'entre nous, un viol est commis par un type très moche sur une jolie fille qui garait sa voiture dans un parking. Là on est tous d'accord que c'est un viol et qu'il faut le punir. Avant donc de penser à diminuer le nombre de viols peut-être convient-il de comprendre ce qu'est un viol. - un mec couche avec une fille. Ces quatre scènes constituent des viols, mais, pour beaucoup d'entre nous ce seront des dérapages, des filles chiantes, des filles indécises, une baise ratée, une tentative. On en revient toujours à la même chose ; les stéréotypes de genre.

Du sexe sans désir J’ai conclu « Quand séduire devient faire céder » par une question très simple: pourquoi certains hommes veulent absolument obtenir du sexe de personnes qui ne les désirent pas? Je voudrais revenir brièvement là-dessus. Ceci n’est pas vraiment un article à part entière, juste une mise au point. Non, quand je demande « pourquoi veux-tu du sexe d’une personne qui ne te désire pas », « parce que personne ne me désire » n’est pas une réponse. Il y aurait plein de choses à dire d’ailleurs sur ce « mais personne ne me désire bouhou ouin » (Male Tears à la clé). Dans « pourquoi voulez-vous du sexe d’une personne qui ne vous désire pas? Je voudrais m’arrêter deux minutes ici pour signaler que cette réponse n’est pas seulement inappropriée parce que partant d’idées préconçues fausses. Séduire quelqu’un, c’est lui donner envie d’avoir une relation sexuelle avec vous. Il y a un très gros problème dans notre société avec l’éducation des garçons. Je ne crois pas qu’il existe des besoins sexuels.

Your Friends and Rapists — Medium, Long That summer I only listened to “Ceremony” and I remember it didn’t rain. I was nineteen years old. It was the summer after my second year at the University of Western Ontario, which would also be my last year at the University of Western Ontario, and I took a job advertised to students. The job was to get in a van and take a yellow pad of sign-up forms and a pen and wear comfortable shoes (no flip-flops) and sell fixed-price natural gas to anyone who could be convinced they were paying too much for broken-price natural gas. It was a blank summer. Every day seemed of exactly the same quality. I had it bad for one of them in particular. School began without me. To my boyfriend I said I was going to a party with my friends and to my friends I said I was going to a party with my boyfriend. It was an old Victorian house with wooden floors, except at the top, where the ceilings sloped halfway down the wall and the carpets were thick and gray. What things could I have done. Paglia: No!

Le « viol doux » et le « viol violent », une vidéo répugnante Le « viol doux », à différencier du « viol violent » (qui a dit pléonasme ?), est la nouvelle théorie sortie du cerveau malade d’un YouTubeur. Prenez un sac en papier, on sait jamais. Mise à jour un peu plus tard - La chaîne Youtube de la personne qui a fait la vidéo différenciant le « viol doux » du « viol violent » a été clôturée. On ne sait pas si c’est lui-même qui a choisi de la fermer ou si la décision vient de Youtube, mais ne cherchez donc pas à la retrouver pour la regarder : elle n’est plus en ligne. Le 13 janvier 2014 - Sur YouTube, on trouve de tout : des vidéos de chatons, des reprises de la chanson du moment dans tous les styles possibles, des sketchs, des fails, mais aussi des mecs qui viennent nous expliquer tranquillou-bilou qu’il existerait des « viols doux » et des « viols violents » (sic). Un charmant jeune homme, que nous appellerons Quézac M. À acheter d’urgence dans toutes les bonnes grandes surfaces. La logique : une allégorie. Article 222-23 Article 222-22

Les prostitueurs sont tous des violeurs Sous un titre un brin provocateur, je souhaiterais mettre à jour quelques unes de mes réflexions sur le système prostitutionnel. J’aimerais d’abord préciser un point : je ne suis pas, ni n’a été prostituée (1). Et, bien que ce qui soit le plus important dans la prostitution, ce vers qui on doit concentrer tous nos efforts sont les personnes prostituées, je ne veux pas parler d’elles aujourd’hui. Je veux parler des prostitueurs. Et j’applique, à ces hommes, mon raisonnement sur les violences sexuelles. Ainsi, je considère le comportement du prostitueur comme intrinsèquement violent. Le prostitueur est égoïste. Certains vont se persuader qu’ils sont "gentils" : je fais que ce dont elle a envie, je veux qu’elle prenne du plaisir, je la laisse faire ce qu’elle veut, je lui parle, je ne la frappe pas, je lui demande son âge et si elle est prisonnière d’un réseau… La sexualité (si on peut l’appeler ainsi…) des prostitueurs est profondément égoïste et violente. Like this: J'aime chargement…

UN PERMIS DE VIOLER ? Que penseriez-vous d’une société où votre métier pourrait, que vous soyez homme ou femme, vous octroyer un permis de violer en toute impunité, un permis de violer « pour le bien » de ceux que vous agressez ? C’est ce qui se passe ici même, en France, au cœur des Centres Hospitaliers Universitaires. Médecins et étudiants en médecine s’arrogent le droit de violer leurs patients. C’est-à-dire de leur imposer, dans un but d’apprentissage, des touchers vaginaux et rectaux sans avoir obtenu leur consentement préalable, alors qu’ils sont sous anesthésie générale, endormis et sans défense. (1) Certains d’entre eux pensent que ce n’est pas si grave et se justifient de façon plus ou moins ignoble : « ce qui me choquerait ça serait de faire un TV [toucher vaginal] à une patiente venue pour tt autre chose (aller chaipa, mettons une opération du genou), alors qu’elle a pas une maladie gynéco particulière… enfin surtout si personne n’en sait rien quoi ! Il est temps de dénoncer la culture du viol.

Brochure « Je ne veux plus être un violeur » | Un traître... A télécharger ici. L’auteur J’ai été identifié comme un garçon à la naissance, et élevé comme tel. J’ai donc grandi du bon côté du système d’oppression sexiste. Ces témoignages se veulent participer à l’avènement d’une culture du consentement. Le consentement À l’époque de ces récits, personne ne m’avait bien expliqué ce qu’était le consentement. J’ai compris plus tard : désir mutuel, plaisir mutuel. Pour que ça puisse exister, il faut donc avoir envie ensemble. J’ai compris trop tard. Une agression sexuelle Ma première relation de couple. Je ne me souviens plus de ce que j’ai répondu. Comprendre Se réunir un week-end avec trois autres amis garçons. Combien d’abus qu’on n’identifie que bien plus tard ? Un viol Une relation de couple. Je ne me souviens plus de la suite. Se parler Les représentations que l’on nous donne du sexe sont souvent silencieuses. On n’est pas obligé de tout verbaliser. Je peux te caresser le téton ? Au début, ça fait bizarre. Centre de vacances. Stratégies Quelques pistes :

WHOA: 4 Questions That Got 120 Rapists To Admit They Were Rapists * The exact questions asked in the study were: Have you ever been in a situation where you tried, but for various reasons did not succeed, in having sexual intercourse with an adult by using or threatening to use physical force (twisting their arm, holding them down, etc.) if they did not cooperate? Have you ever had sexual intercourse with someone, even though they did not want to, because they were too intoxicated (on alcohol or drugs) to resist your sexual advances (e.g., removing their clothes)? FACT CHECK TIME! For more depressing facts about rape, check out this list by Soraya Chemaly and this 2012 report from the CDC. NOTE: Unfortunately, these studies focused solely on men as perpetrators of rape and didn't get into the sex, orientation, or gender identity of the victims.

Où sont les types qui ont violé mes copines? Sylvain Mimoun, l’apologie de la pédophilie et l’incitation au viol… # Sous le choc. Colère du mal à trouver les mots Le très médiatique,Sylvain Mimoun , gynécologue et sexologue , serait-il pédophile ? J’estime que je suis en droit de poser cette question et vous vous poserez la même lorsque vous lirez ce qui est sans nul doute une apologie de la pédophilie. Il y aurait beaucoup à dire sur ce ramassis de m…. Mais je m’arrêterais sur sa définition du viol. Ce qui lui "importe" dans le viol c’est "la violence" La violence ce n’est pas seulement la violence physique et surtout Mimoun oublie le viol par CONTRAINTE – MENACE – ou SURPRISE et en admettons même qu’il n’y pas viol . l’atteinte sexuelle sans violence, menace, contrainte ou surprise est un délit ! """""""""En consultation, des gens qui ont aujourd’hui 50 ou même 70 ans me confient qu’à un moment donné, dans leur enfance, ils ont eu une relation sexuelle (rapport ou caresses) avec quelqu’un de plus âgé, parfois un adulte. Les enfants ne sont pas des anges : ils ont un sexe. Like this:

TÉMOIGNAGE : "J’AI INFILTRÉ LES PUA" « FéeMiniste "BlackCrow", 35 ans vit en France. Il a infiltré le milieu des PUA pendant 7 ans et me fait l’honneur de nous livrer une partie de son témoignage sur ce blog suite à l‘appel contre le viol que la blogueuse Diké et d’autres ont lancé la semaine dernière. (VOUS POUVEZ TOUJOURS SIGNER LA PÉTITION !!) "Il est un monde qui existe, que vous connaissez toutes voir tous. Un monde ou l’on croit à l’amour véritable, fonction de l’image que l’on veut bien s’en faire, rapport à nos convictions et nos croyances. Mon témoignage est différent des articles que vous pourrez lire et qui critiquent "la forme" qu’utilisent les PUA (qui reste hallucinante et vomitive). Pour démarrer, je vais me contenter de vous raconter une histoire. I – Qu’est ce qu’un PUA ? Vous avez sûrement déjà lu la définition sur wikipédia ou un article. Un PUA n’est pas un animal, bien qu’au final on puisse penser que s’en est un (vous comprendrez par la suite). Au départ, je ne savais même pas ce que voulait dire PUA. - De la pub

nos abus sexuels… | Egalitariste Certains hommes jouent fort bien de leur situation de dominants et méprisent consciemment des femmes en les utilisant/abusant sans scrupules. Ils sont nombreux, mais ils ne sont sans doute pas la majorité. Je veux plutôt m’adresser à ceux qui comme moi gardent le sentiment d’être de bonne volonté, mais ont intégré beaucoup de schémas de notre société patriarcale et ne se rendent pas toujours bien compte : qui outrepassent les limites des femmes « sans le vouloir vraiment »… si tant est qu’une véritable bonne foi soit possible en situation de domination. Car on a aussi appris à abuser plus ou moins consciemment des situations d’autorité ou de pouvoir. De fait, la façon dont nous sommes élevés, garçons et filles, nous rend aisé, à nous hommes, de provoquer ces situations d’abus… Nous sommes soumis à de nombreuses injonctions différentes suivant les sexes, ainsi qu’à des modèles distincts auxquels on est tenus d’adhérer et qu’on reprend le plus souvent sans nous en rendre compte.

"Non, j'ai un copain" J'en étais sûre. Déjà pendant mes années d'adolescence revêche, je ne rejetais jamais des avances importunes en évoquant un petit ami, réel ou imaginaire. Je tenais à ce que l'indésirable sache que je refusais ses avances car je n’étais pas attirée par lui, et que ma réponse aurait été la même sur une île déserte après des mois d'abstinence. Or une femme qui invoque son seul manque d'appétence est moins prise au sérieux que la femme "casée", qui appartient à quelqu'un d'autre. Un désir, une volonté, une initiative qui n’appartient qu’à elle peut, dans l’esprit d’un homme, toujours être infléchi. « Femme qui dit non veut dire peut-être », dit un adage fort spirituel. Et si les femmes osaient dire oui ? Sans culpabilité de la part des femmes, sans négation de l’autre de la part des hommes, le désir doit être accepté et valorisé chez les deux sexes. Comme le dit Clémentine Autain dans la préface du livre "Elles se manifestent" (éditions Don Quichotte) : Citée dans le Nouvel Obs.

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