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Cinq intox sur la « théorie du genre »

Cinq intox sur la « théorie du genre »
Des centaines de parents ont retiré, hier, leurs enfants de l'école pour protester contre « l'enseignement obligatoire de la théorie du genre » dès la primaire. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Jonathan Parienté C'est le dernier « coup » des opposants à la supposée « théorie » du genre : suivant les recommandations de Farida Belghoul, ancienne figure de la lutte des « Beurs » des années 1980, devenue proche du militant d'extrême droite Alain Soral, des dizaines de parents ont retiré, lundi 27 janvier, leurs enfants de l'école pour protester contre « l'enseignement obligatoire de la théorie du genre » dès la primaire. Lire les dernières informations Après des boycotts de parents, Peillon dément tout enseignement du « genre » à l'école Une vaste opération d'intox, qui repose sur des fantasmes de plus en plus répandus. Or, c'est tout simplement faux. Lire : La « théorie du genre », ennemie de « l'ordre naturel » Deuxième intox : l'enseignement de la « théorie du genre » devient obligatoire

Genre : état des lieux La Vie des idées : « Gender studies », « théorie du genre », « théorie du gender », « théorie du genre sexuel » : les associations catholiques et les députés accablent ces théories de tous les maux, sans jamais les définir. Peut-on définir les gender studies, ou études de genre ? Laure Bereni : L’expression « études sur le genre » (on parle aussi, indifféremment, d’« études genre » ou d’« études de genre ») s’est diffusée au cours des dernières années en France pour désigner un champ de recherche qui s’est autonomisé dans le monde académique depuis une quarantaine d’années, et qui prend pour objet les rapports sociaux entre les sexes. La première réaction que m’inspirent les discours des contempteurs du genre, c’est qu’il est faux de laisser penser qu’il existerait une théorie du genre. Ce label utilisé par les adversaires des recherches sur le genre laisse entendre qu’il existerait un corpus idéologique homogène et doté d’une stratégie politique déterminée.

SOCIÉTÉ • Pourquoi les Français n’ont rien à craindre de l’immigration Un Américain enseignant la philosophie dans une université parisienne s'étonne de trouver en France un discours politique et intellectuel sur les dangers de l’immigration. Il livre son témoignage en tant qu'"étranger privilégié". De Paris – On peut difficilement passer plus d’une journée en France sans entendre quelqu’un affirmer que les minorités ethniques constituent le plus gros problème du pays et que la présence d’immigrés compromet l’identité même de la France. Depuis un an, je vois constamment de jeunes Noirs se faire interpeller et contrôler à la gare du Nord – pratique qui, contrairement à ce qui se passe à New York, ne soulève ici pratiquement aucun débat. "La France n’existe plus" A propos des minorités ethniques vivant dans la capitale, des Français que je ne connaissais pas m’ont à plusieurs reprises fait remarquer : “Ce n’est plus la France. Présomption d’égalité Une xénophobie alimentée Politiques migratoires L’exaltation du terroir Justin E.

Animeco Disciplines, classes et programmes Enseignement exploratoire de Sciences Économiques et Sociales (programme de 2010), partie V : Individus et cultures. Comment devenons-nous des acteurs sociaux ? Objectif de l’animation Étudier la socialisation différenciée selon le genre. Utilisation Les parties découverte et cours sont adaptées à l’utilisation avec un tableau interactif ou un vidéo projecteur : les formats des caractères sont grands pour être visibles dans une classe. L'activité se prête bien à une utilisation en travaux dirigés, dans une salle informatique, au tableau interactif ou au vidéo projecteur. Avec un vidéo projecteur, un élève peut utiliser la souris de l'ordinateur pour répondre aux questions. Les « pétales » du menu général peuvent se tourner pour accéder à chaque partie. Découpage de l’animation En accord avec le programme, une partie découverte introduit l'existence d'une socialisation différenciée selon le genre en utilisant les jouets de Noël des jeunes enfants. Déroulement

Pedro Almodóvar Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pedro Almodóvar Pedro Almodóvar à Madrid en septembre 2008. Pedro Almodóvar Caballero est un réalisateur de cinéma espagnol, né le à Calzada de Calatrava dans la province de Ciudad Real et la communauté autonome de Castille-La Manche, en Espagne. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et premiers pas artistiques[modifier | modifier le code] Vers 18 ans, il quitte sa maison seul pour s'installer à Madrid, sans argent et sans travail, mais avec un projet très concret : étudier le cinéma et en faire son métier. Il survit grâce à divers petits métiers et s'achète sa première caméra super 8 après avoir décroché un emploi à la Compagnie nationale de téléphone d'Espagne. Il collabore à diverses revues underground et écrit des nouvelles dont certaines sont publiées. Carrière cinématographique[modifier | modifier le code] En 1986, il fonde avec son frère Agustín Almodóvar la maison de production « El Deseo S.A. ». — Pedro Almodóvar.

Pays de la Loire - « Nous ne sommes pas en crise, nous changeons d’ère » « Nous ne sommes pas en crise, nous changeons d’ère » Après avoir travaillé quinze ans dans la presse pour BFM radio et Le Figaro, Yannick Roudaut a ensuite fondé plusieurs entreprises dont le cabinet de conseil en stratégie Alternité. Expert APM et Germe, il est l’auteur de « La Nouvelle Controverse, pour sortir de l’impasse » aux éditions la Mer Salée (www.lamersalee.com). Intervenant en écoles de management et à l’Université de Nantes, Yannick Roudaut évoquera « la 3ème révolution industrielle », lors de l’Université des entrepreneurs vendéens (les 6 et 7 février prochains). Rencontre. Pouvez-vous rappeler ce que recouvre le concept de troisième révolution industrielle ? Comment se concrétise cette révolution ? Pour vous, il s’agit d’un changement de monde. En quoi l’imprimante 3D est-elle une telle innovation de rupture ? Vous indiquez aussi qu’une révolution industrielle s’accompagne d’un nouveau modèle économique.

Pantène part en guerre contre les stéréotypes de genre dans sa nouvelle publicité Pantène part en guerre contre les stéréotypes de genre dans sa nouvelle publicit © Capture YouTube Dans sa dernière campagne, Pantène dénonce les clichés sexistes dont sont victimes les femmes. La filiale philippine de la marque de shampoing vient de publier une vidéo dans laquelle elle encourage les femmes à affirmer leurs ambitions et à être « fortes et brillantes ». Après Dove qui s'était fait remarquer en avril dernier grâce sa campagne Dove Real Beauty Sketches (comprenez « Croquis de la vraie beauté par Dove ») qui encourageait les femmes à s'aimer telles qu'elles sont, c'est au tour de Pantène d'essayer à sa façon, de les aider à s'assumer. La filiale philippine de la marque de shampoing vient de publier une vidéo dans laquelle elle dénonce les clichés sexistes dont sont victimes les femmes, surtout, elle met le doigt sur les critiques à l'encontre de celles qui osent affirmer leurs ambitions. Voir la vidéo

Challenging Gender Stereotypes in Pedro Almodovar's All About My Mother | Adilbek Sultanov character. Esteban, although he indirectly has impact on later events, unfortunately dies too early tomake a difference to the story in first-hand. He, it can be said, himself becomes an object of Manuela and Lola‟s grief and others‟ pity. his disease. a woman‟s mercy, and anineffective family member, hence an object of care and pity. , Huma, Rosa, Nina, and Rosa‟s mother,all have distinct personalities, which portray them beyond simple “to -be-looked-at- ness”. no sexual scenes, which would otherwise make the film conform to a stereotypical voyeuristic practice. Even women‟s red outfits, so popular with the heroines, reflect their aggressive and active position in the story. centrism appears to be inapplicable to “All about mymother”, and even reversed to a certain extent. women‟s role in the plot, in that he questions the importance of clear male/female gender divisions per se.

Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif Bernard Stiegler est philosophe, théoricien de l’évolution des systèmes techniques. Il a découvert les modèles du libre de façon presque accidentelle, en tant que Directeur de l’INA. Initiateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars industrialis créé en 2005, il dirige également depuis avril 2006 l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) qu’il a créé au sein du centre Georges-Pompidou. Les modèles ouverts, contributifs et collaboratifs sont de plus en plus nombreux, la contribution s’étend à de nouveaux territoires, comment interprétez-vous cette évolution ? Avant de répondre, il y a un préalable, reconnaître que tous les modèles ne sont pas équivalents. C’est pour cela que je parle de pharmakon. Aujourd’hui, nous avons besoin d’une typologie des modèles contributifs. Je travaille beaucoup avec des communautés de Hackers : jusqu’à “la crise Snowden” ils ne voyaient pas véritablement le caractère pharmacologique du net. J’ai une vision freudienne de l’économie.

La publicité La publicité est omniprésente mais nous influence t-elle ? La publicité ne nous laisse pas indifférent : Elle séduit, amuse ou au contraire agace, exaspère. On peut appréhender la communication publicitaire à partir du schéma de Laswel : Qui ? Annonceur (émetteur) Dit quoi ? La publicité est un produit de consommation de masse. Dans la publicité, le monde est différent Les personnes ne travaillent pas ou rarement. Elle relaie les pratiques consommatoires des groupes qui sont dans des positions dominantes et les produits de luxe sont présentés comme accessibles à tous. Exemple : stéréotype de l’ageLes jeunes (stéréotype de l’adolescent) sont habillés comme des jeunes, ont un portable…Les vieux ne sont pas si vieux, ils sont alertes, en bonne santé et s’occupent de leurs petits enfants. Exemple 2 : stéréotype ethniqueLes pâtes sont italiennes (couleurs rouge et verte pour l’emballage) et le gel douche à la noix de coco est présenté par un mannequin noir. La publicité mécaniste

Gender : l'impossible débat ? La première chose qui me frappe sur les débats actuels autour du genre, c’est la différence de vocabulaire entre « pro » et « anti » sur le sujet. La notion même de « théorie du genre », si fréquemment utilisée par ses opposants, est rejetée avec vigueur par ceux qui défendent les « études de genre ». « Théorie du genre » / « étude de genre », de quoi parle-t-on ? « Le fondement de cette théorie consiste à nier la réalité biologique pour imposer l’idée que le genre « masculin » ou « féminin » dépend de la culture, voire d’un rapport de force et non d’une quelconque réalité biologique ou anatomique. » Sur Wikipedia, nous trouvons cette définition sur les études de genre : Le constat est évident : les définitions ne coïncident pas et j’irais même jusqu’à dire qu’elles montrent que les opposants à la « théorie du genre » dénoncent des positions que ne tiennent pas nécessairement les partisans des « études de genre ». Un débat qui ne peut être que nuancé Comment situer cet exemple ?

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