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Psychologie Positive

Psychologie Positive
L’empathie désigne la capacité de se mettre à la place d’autrui, de se représenter ce qu’il ressent et/ou pense. Ressentir – Penser : ce sont là les deux facettes essentielles de l’empathie, l’une émotionnelle, l’autre cognitive. Certains auteurs en rajoutent une autre, la dimension comportementale. C’est une réaction généralement automatique et non intentionnelle. Il s’agit de la capacité de se représenter les états mentaux d’autrui. les psychanalystes parlent de « mentalisation » et les cognitivistes de « théorie de l’esprit ». Tous les spécialistes n’intègrent pas cette troisième facette dans le concept d’empathie. L’empathie constitue un socle essentiel sur lequel reposent nos relations sociales quotidiennes. Parmi les divers courants psychologiques, c’est la psychologie humaniste qui a été la plus attentive au concept d’empathie. Par Jacques Lecomte (1) Favre D. (2007). (2) Rogers C. (1968). (3) Rizzolatti G. et Sinigaglia C. (2008). Crédit photos : deanm1974© Fotolia Related:  EDUCATION A L'EMPATHIE

Bertrand Jarry : Commençons l'année en cultivant l'empathie à l'école... "Etre plus accessible et plus à l'écoute des élèves sans pour autant renoncer à transmettre. Conforter une école bienveillante et exigeante... Voilà clairement établie un lien entre conditions d'enseignement et transmission des savoirs". Omar Zanna (Iniversité Le Mans) et Bertrand Jarry (formateur académique) signent un ouvrage qui montre l'intérêt d'un enseignement de l'empathie dans le système scolaire parce que "la qualité même de l'apprentissage d'une discipline ne peut pas s'affranchir du rapport émotionnel entretenu avec elle". L'ouvrage montre, fiches pédagogiques à l'appui, particulièrement dans l'enseignement secondaire, comment mettre en oeuvre concrètement une éducation aux émotions et à l'empathie. Il montre aussi les retombées en terme de réussite scolaire. Vous êtes CPE. Comme CPE on est confronté aux difficultés d'ordre relationnelle et aux problèmes de violence. Dans les collèges on a des profils d'élèves similaires à ceux des jeunes délinquants. Au 8eme FEI

Qu'est-ce que l'empathie ? Le blog des Rapports Humains C’est un comble chers lecteurs du blog des rapports humains ! Je prétends traiter de sujets liés aux relations humaines et à la communication depuis plus de deux ans et je me rends compte aujourd’hui que je n’ai jamais parlé d’un des fondamentaux de ce domaine, l’empathie. Je compte bien rétablir la cohérence de la ligne éditoriale de ce blog en partageant cette semaine avec vous mes dernières lectures sur le sujet. Étymologiquement, « empathie » provient du terme Einfuhlung, qui fait référence à la projection d’une personne dans la situation de l’autre. Depuis lors, cette définition a évolué grâce aux travaux effectués dans différents champs de recherche tels que la philosophie, la psychologie et les neurosciences. D’après Jean Decety, neurobiologiste, professeur à l’université de Washington, et directeur du laboratoire Social Cognitive Neuroscience à Seattle, l’empathie ne peut s’envisager que lorsque la personne fait l’expérience d’une réponse émotionnelle face à l’émotion d’autrui.

 Se définit comme étant  la capacité à se mettre à... Education : « Le bien-être s’enseigne et se cultive » Selon Richard J. Davidson, chercheur en psychologie, le cerveau de l’enfant peut se former aux émotions. Le Monde | 15.11.2017 à 12h00 • Mis à jour le 21.11.2017 à 16h40 | Par Isabelle Maradan Sur quoi vous appuyez-vous ­pour ­affirmer que le bien-être s’apprend comme le vélo ou le piano ? Le travail de notre laboratoire et celui d’autres scientifiques du monde entier nous aident à comprendre le fonctionnement de l’esprit et à déterminer des stratégies pour améliorer notre bien-être émotionnel et physique. Nous pouvons changer intentionnellement et littéralement notre cerveau. Les neurosciences ont confirmé que la pleine conscience, la capacité de rebondir après une émotion négative, la perception des perspectives positives et le fait de prendre soin des autres favorisent le bien-être. Il est déterminant que les enseignants – et les parents – soient eux-mêmes ­familiers de la pleine conscience ou d’une pratique contemplative pour pouvoir l’enseigner aux enfants.

L'empathie, une qualité essentielle à votre réussite Que vous soyez vendeur, dirigeant ou même parent, plus vous êtes capable d’influencer les autres, que ce soit une personne ou un groupe, à prendre une décision ou à accomplir une action en fonction de ce que vous voulez, plus vous obtenez ce que vous désirez. Pour avoir de l’influence sur les autres, c’est-à-dire pour les amener à agir en fonction de vos idées, de vos méthodes ou de votre façon de faire, vous avez deux options : Soit que vous faites appel à la force ou même à la peur (cette alternative peut donner, à court terme, de bons résultats mais rarement à long terme);Soit que vous utilisez beaucoup d’empathie (ce qui vous procurera d’excellents résultats autant à court qu’à long terme). Mais qu’est-ce que l’empathie? Avoir de l’empathie consiste d’abord à saisir les raisons qui amènent une personne avec qui vous parlez à agir d’une certaine façon ou à avoir de telles réactions, et ce, avant même que vous portiez un jugement sur elle. Bonne empathie

La roue des émotions : un outil d'intelligence émotionnelle et de non violence pour les enfants Connaître et accueillir ses émotions est un pilier de la non violence et du bonheur. Tant que le cerveau n’a pas atteint sa pleine maturité (pas avant 20 ans, certains chercheurs affirmant même vers 30 ans), les processus de gestion des émotions ne sont pas totalement fonctionnels. L’enfant a alors des difficultés à contrôler et maîtriser ses réactions émotionnelles. L’apprentissage du langage des émotions aura alors sur l’enfant un impact sur son comportement social, et notamment sa capacité à surmonter le stress, à gérer son agressivité et à exprimer ses affects. Par ailleurs, un enfant qui enfouit ses émotions, ses peurs, qui ne peut pas manifester sa joie ou sa colère, n’apprend pas à tenir compte de ce que lui ou les autres ressentent. Quand un enfant apprend à repérer ses émotions et à repérer le message envoyé par son corps, il arrive mieux à s’adapter et à comprendre ce qui compte pour lui mais aussi pour les autres. te souviens-tu d’un moment où tu as ressenti de la colère ?

Empathie : le danger des mystifications L’empathie semble bien placée pour devenir le dernier concept à la mode. Mais pourquoi tant d’engouements ? Parce que nous avons tous envie d’y croire ! Et pour rendre l’empathie encore plus désirable, certains auteurs, comme Jeremy Rifkin, n’hésitent pas à la caricaturer et à la présenter comme une formidable force altruiste. Pourtant, les diverses recherches menées actuellement en neuro physiologie sont formelles : si l’empathie est bien la capacité de percevoir les états mentaux de l’autre, elle n’est pas la tendance à s’en préoccuper. Telle est la première mystification qu’entretient l’ouvrage de Jeremy Rifkin. 1. Tout d’abord, l’empathie n’est ni la sympathie, ni la compassion ni l’identification. L’empathie peut en effet être représentée sous la forme d’une pyramide constituée de trois étages superposés, correspondant à des relations de plus en plus riches, partagées avec un nombre de plus en plus réduit de gens (Tisseron S., 2010). 2. 2.1. 2.2. 2.3. 3. 3.1. 3.2. 3.3. 3.4. 4.

Quand l'enfant acquiert « la théorie de l'esprit » La « théorie de l'esprit », soit la capacité à comprendre les intentions d'autrui, apparaît bien plus tôt chez l'enfant qu'on le pensait jusqu'alors. Une expérience récente semble le prouver et relance un débat vieux de trente ans. Face à un petit garçon, âgé de 15 mois, assis sur un tapis, une jeune femme manipule un jouet : une tranche de pastèque en plastique. Elle enferme le jouet dans l'une des deux boîtes, verte ou jaune, posées devant elle, puis s'absente. Quelques minutes plus tard, la voilà qui revient prendre le jouet dans la boîte verte, là où elle l'a placé. Rien de plus normal dans tout cela. Mais changeons un peu le scénario. Tout se passe donc comme si le petit garçon de 15 mois pouvait déjà se mettre à la place de l'autre. Voilà justement ce que semble démontrer cette expérience, qui a fait l'objet d'une publication remarquée dans la revue Science, le 8 avril 2005. Qu'est-ce que la théorie de l'esprit ? Une façon nette de trancher cette question, selon D. Où en est-on ?

Developpement de la capacite de theorie de l'esprit chez les jeunes enfants - Severine Papin Introduction p.1 Partie théorique p.2 a. Les précurseurs. 2 b. a. b. a. b. a. b. a. b. c. Méthodologie p.18 a. b. a. b. c. a. b. a. b. c. a. b. c. Discussion p.29 Réflexions critiques p. 35 Bibliographie p. 37 Annexes p.40 Entre trois et quatre ans, âge de la scolarisation, l'enfant fait de nombreuses découvertes, notamment celle de l'autre. En effet, un déficit de cette capacité a de grandes répercussions sur le devenir des enfants. Ainsi le but de cette recherche est de spécifier le développement de la théorie de l'esprit chez l'enfant atteint d'autisme, suite à un précédent travail (Papin, 2006). La Théorie de l'esprit est définie comme la capacité d'un individu à attribuer des états mentaux (comme la pensée, les croyances, les sentiments et les désirs...) aux autres et à soi-même.

La maltraitance dans le cerveau La maltraitance dans le cerveau L'hippocampe cérébral de jeunes adultes maltraités durant leur enfance est plus petit que celui d'adultes non maltraités. Cette réduction du volume serait un facteur de risque d'apparition de maladies mentales. Les personnes ayant été maltraitées ont plus de risques de développer des troubles de l'humeur, de l'anxiété et de la personnalité, de consommer des drogues, de souffrir de maladies psychiatriques et de se suicider. On sait depuis de nombreuses années que le stress provoque des ravages dans le cerveau. Quelques études se sont intéressées à la maltraitance pendant l'enfance. Les neurobiologistes américains ont évalué le volume de l'hippocampe de 193 adultes âgés de 18 à 25 ans et ayant subi des maltraitances dans leur enfance (avant quatre ou cinq ans). Tous les participants présentaient une diminution du volume de trois couches de l'hippocampe – le CA3, le gyrus denté et le subiculum –, mais uniquement dans l'hippocampe gauche. Pour La Science

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