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Commercial Atelier Dove sur l'estime de soi

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La discrimination à l'encontre des obèses a la dent dure SOCIETE Les personnes obèses souffrent toujours autant, sinon plus, de discrimination... Alexandra Luthereau Publié le Mis à jour le Mots-clés Aucun mot-clé «Stop aux diktats». Les personnes obèses pâtissent de préjugés solidement ancrés dans les esprits. Traitements injustes De ce fait, «la discrimination à leur encontre demeure importante, voire tend à augmenter», explique Jean-François Amadieu, professeur agrégé en Sciences de gestion, Université de Paris I Panthéon-Sorbonne et président de l’observatoire des discriminations. Au-delà des critiques sur son physique, une personne obèse est souvent victime de traitements injustes et humiliants. Capacité à séduire Et cela est valable dans le monde du travail. Anne-Sophie Joly, elle-même en surpoids, témoigne de sa difficulté à trouver un emploi depuis la cessation d’activité de son entreprise. L'obésité devient un marqueur social «L’obésité est problème de santé publique. Attentats de Paris: une dispute avec son amie leur sauve la vie

Timide - Enfant timide Mal dans sa peau Eva a 5 ans, un regard que l’on ne parvient pas à saisir, un air à la fois apeuré et souffreteux. Les yeux obstinément rivés au sol, elle ignore mon bonjour et ma main qui se tend. Et, dans mon bureau, me tourne le dos et se colle à sa mère. « Vous voyez, me dit cette dernière accablée, c’est toujours comme ça ! A l’école, c’est pareil. D’ailleurs, c’est pour ça que l’on vient. « Timide »… A l’énoncé du mot, Eva n’a pas bougé, mais sa tête s’est enfoncée encore un peu plus dans ses épaules. Le piège de la banalité L’étonnement de la mère d’Eva n’a rien de surprenant, car « timide » fait partie de ces mots – comme « paresseux », « coléreux », « nerveux », etc. – dont on ne songe pas à se méfier. Cette vision – impensée – des choses est audible en consultation. L’enfant fait donc momentanément l’économie d’une angoisse. Un symptôme complexe Faut-il, de tout cela, conclure que la timidité n’existerait pas ? L’image de soi.

Une adolescente trisomique devient mannequin pour Wet Seal Pondu par PerrineP le 25 septembre 2013 Karrie Brown, une jeune adolescente atteinte du syndrome de Down, a enfin réalisé son rêve en posant pour la marque de prêt-à-porter Wet Seal ! Cette jeune demoiselle de 17 ans s’appelle Karrie Brown. Karrie, qui est atteinte du syndrôme de Down (ou trisomie 21) rêvait depuis longtemps de devenir mannequin et c’est maintenant chose faite grâce à la magie d’Internet ! C’est la maman de Karrie qui a attiré l’attention de la marque en postant des photos de sa fille sur la page Facebook de Wet Seal. Wet Seal a alors réagi en lançant un défi à Karrie : si sa page Facebook Karrie Brown – Modeling The Future atteignait rapidement les 10 000 likes, Karrie aurait une belle surprise. En à peine deux jours, le défi était relevé et comptait déjà plus de 20,000 fans ! Karrie en bikeuse chic pour Wet Seal Karie et les autres mannequins Wet Seal Ça vous a plu ? Ne ratez aucun article de madmoiZelle.com ! Cet article a été pondu par PerrineP - Tous ses articles

Etre métis aujourd'hui Les métis sont perçus comme des humains à la fois incomplets et encombrés: ni tout à fait noirs, ni tout à fait blancs, on leur dénie méthodiquement tous les bénéfices d’une “double culture” que les discours politiquement corrects ne cessent pourtant de valoriser. Et si on observe de près le fonctionnement des sociétés “métissées” nées de l’esclavage, on ne peut que s’inquiéter du destin auquel sont promis les métis dans les nations occidentales. L’invité Bertrand Dicale est l’un des meilleures spécialistes de la culture populaire et de la chanson française. Reportage Lydia Gabor nous propose une rencontre avec Nirmala, métisse née à Fribourg de mère hollandaise et de père indien du sud.

Ananda Marchildon licenciée : peut-on discriminer les mannequins sur le physique ? La justice néerlandaise a condamné l’agence Elite pour avoir licencié le top-modèle Ananda Marchildon en raison de 2 centimètres de tour de hanches en trop. La filiale néerlandaise de l’agence Elite avait demandé dans un e-mail daté du 23 mars 2010 de passer de 98 centimètres de tour de hanches à 90 centimètres. J’ai rédigé de nombreux contrats de mannequins et je n’ai pas vu en France de telles clauses dans un contrat de travail. L’e-mail était donc maladroit de la part de l’agence. Mais je suppose que de tels critères peuvent être demandés oralement aux mannequins, de manière informelle, et mis en œuvre lors du recrutement des agences. Ananda Marchildon posant pour une publicité Sloggi. En effet, les mensurations des mannequins à la date de leur embauche ne peuvent pas apparaître explicitement sur le contrat. Une pratique condamnable L’article 225-1 du code pénal rappelle en effet que l’apparence physique est un motif de discrimination illicite. Propos recueillis par Daphnée Leportois

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