L’industrie mode/textile a un avenir en France
« La crise actuelle a eu comme effet inattendu de réaffirmer l’importance de l’industrie dans l’économie », écrivent Dominique Jacomet et Gildas Minvielle (IFM) dans la revue Mode de Recherche (n°18, consacré à l’artisanat, la main et l’industrialisation). « Le textile-habillement est emblématique de la désindustrialisation qui a affecté l’ensemble de l’économie française, écrivent Dominique Jacomet et Gildas Minvielle. Véritable laboratoire de l’économie, la rupture industrielle qui s’est manifestée dans ce secteur dans les années 1980 et 1990 a préfiguré ce que l’ensemble de l’industrie allait connaître dans les années 2000 (…). Au début des années 1980, les industries du textile-habillement comptaient environ 600 000 emplois en France. En 2011, les effectifs industriels totalisaient à peine 100 000 personnes (…). Ne subsiste en France que la production de petites séries qu’il s’agisse de textiles ou de confection (…). Détail d'un métier Leavers (entreprise Codentel, Calais).
Croix-Rouge française
La Croix-Rouge française (CRF) est une association d'aide humanitaire française fondée en 1864[1]. Elle a pour objectif de venir en aide aux personnes en difficulté en France et à l'étranger. Ses missions fondamentales sont l'urgence, le secourisme, l'action sociale, la formation, la santé et l'action internationale. Reconnue d'utilité publique depuis 1945, la Croix-Rouge française est l'une des 192 sociétés nationales du Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge. Histoire[modifier | modifier le code] Infirmière de la SSBM (Société de secours aux blessés militaires) fondée en 1864, ancêtre de la Croix-Rouge. 1914-1918. Action de la Croix Rouge de Dol-de-Bretagne pendant la Guerre 14-18 Action de la Croix Rouge auprès des blessés de la Grande Guerre 14-18 Naissance de la Croix-Rouge française[modifier | modifier le code] Le Mouvement a été fondé selon sept principes fondateurs : humanité, impartialité, neutralité, indépendance, volontariat, unité et universalité[4].
Benjamin, 25 ans : ma vie 100% made in France pendant 9 mois
Benjamin Carle, 25 ans, a décidé de vivre made in France pendant neuf mois. Le règlement que s'est fixé le cobaye enquêteur est tyrannique : son appartement doit peu à peu se vider de tout ce qui n'est pas produit dans l'Hexagone. Si l'origine du produit n'est pas précisée, il dégage. S'il n'existe rien pour le remplacer, on s'en passe. But de l'opération : arriver à 100% en mars 2014. Son salaire de 1 800 euros net par mois doit suffire. La semaine dernière, un expert du label Origine France Garantie a passé son appartement de Belleville au scanner. Cette expérience de croisé du local « c'est un fil rouge pour illustrer les difficultés du made in France dans un contexte marqué par les fermetures d'usines », explique l'intéressé. « Ce sera une plongée dans le patrimoine industriel. Dix ans après la vague verte et la mode bio, le made in France est devenu la nouvelle manne marketing. Pourtant il en veut ce consommateur. Il y a un problème d'échelle.
Vêtements | Le commerce équitable
Les produits équitables sont disponibles dans tous les lieux de consommation habituels : grandes surfaces, boutiques, vente par correspondance. Aujourd’hui, ces produits font partie de notre vie quotidienne. On les trouve dans la majorité des lieux commerciaux : Pratiquement toutes les enseignes de la grande distribution proposent aujourd’hui des références garanties commerce équitable. Pionnières du commerce équitables, les boutiques spécialisées équitable ou bio sont depuis toujours fidèles à leur engagement. Après l’alimentaire, c’est au tour du textile de surfer sur la vague du commerce équitable. Depuis quelques mois, les fashionistas se frottent les mains: elles vont enfin pouvoir s’acheter des vêtements équitables et… follement tendance! Si le commerce équitable ne représente que 0,01 % Chiffre communiqué par la Plate- Forme pour le commerce équitable des échanges commerciaux, sa notoriété, elle, est en forte hausse. Ni label ni norme Pas de vêtement 100 % équitable La réponse?
Made in France : lancement d'un appel à projets pour les PMI innovantes
CMJN de base Soutenir l'innovation et préserver le savoir-faire et l'appareil productif français. Telles sont les deux ambitions de l'appel à projets publié le 29 mai 2013 par la DGCIS. Destiné en priorité aux PMI françaises indépendantes, il concerne les projets collectifs innovants intégrant une démarche de développement durable. "Il s'agit ainsi de soutenir les projets collectifs innovants visant à inciter les entreprises, et en particulier les PME, à intégrer des démarches d'innovation, de création, de développement durable, de traçabilité, de valorisation et de promotion des savoir-faire", explique l'appel à projets. Parmi les critères de sélection, le projet doit être notamment porté par une entité fédératrice (ex : pôle de compétitivité, CCI, organisation profesionnelle...). Date limite de dépôt de candidature : 30 août 2013 à 17h.
1083
Les pré-commandes continuent sur 1083.fr --- Derniers jours ! Dépassons les 1083 commandes et inventons le 1er jeans open source ! Plus que quelques jours avant la fin de notre campagne, mardi minuit ! Ensemble nous allons réussir le pari de fabriquer en France vos jeans bio et vos baskets eco-concues. Je vous propose à présent un nouveau défi, un fou défi : atteindre 1083 pré-commandes! Comme je m'y suis engagé, si nous y arrivons je mettrai un point d'honneur a relier Menton et Porspoder en vélo... mais ce n'est pas tout. Si nous dépassons 1083 pre-commandes, nous rendrons les patrons de nos modeles "libres de droits" (open-source) afin de permettre a toutes celles et ceux qui le veulent, de réaliser leur jeans 0km ! Créons ensemble, innovons ensemble, marchons ensemble ! 1083 précommandes Ulule ? Le projet : le 1er jean "Borne in France" Je vous propose de relever avec nous ce défi : Fabriquer un jeans et une paire de basket, à moins de 1083km de chez vous ! Borne in France : Thomas
Dis-moi ton âge, je te dirai quelle entreprise créer !
Crédits photo : Shutterstock.com « Il y a trop de statuts juridique différents », « Auto-entrepreneur, il n'y a rien de mieux », « surtout ne jamais dépendre du RSI» (régime social des indépendants), « ne quitte pas le régime salarié, tu perdrais toute ta retraite ! » Oui, il existe différentes manières de créer une entreprise ! Oui, le statut social, la protection sociale, les régimes de retraite sont différents ! Un casse-tête pour le futur entrepreneur Beaucoup d'intervenants dans le monde de l'entrepreneuriat développent la stratégie du « c'est compliqué, faites appel à moi ». Tout cela entretient un doute inquiétant pour l'entrepreneur en herbe, qui fort de son idée de développement, se trouve confronté à un brouillard épais nécessitant des heures et des heures de conseil et d'études pour trouver le statut juridique et social le moins mauvais !! La question-clé : la protection sociale Aujourd'hui, la question est autre !