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François Ier

François Ier
Introduction 1515 ! Une date qui résonne dans la mémoire de tous les écoliers de France comme un coup de canon. Elle renvoie à une prestigieuse victoire : Marignan ; et à un des plus grands rois de France : François Ier. Les guerres d'ItalieLa lutte contre l'empire de Charles Quint Louis XII Le règne de Louis XII Louis XII est le fils de Charles d'Orléans, le prince poète, et de Marie de Clèves. Les guerres d'Italie Les guerres d'Italie sont des conflits menés par les souverains français en Italie pour faire valoir leurs droits héréditaires sur le royaume de Naples, puis sur le duché de Milan. La maison d'Anjou, branche cadette des Capétiens règne sur Naples jusqu'en 1442. Liste des guerres d'Italie : Les expéditions italiennes de Louis XII A la suite d'une alliance entre Vénitiens et Français, Louis XII s'empare du duché de Milan en 1500. François Ier : Un roi jeune et victorieux L'avènement de François Ier François, duc d'Angoulême, est un beau cavalier, haut de taille et large de carrure.

1494-1559 - Les guerres d'Italie - Herodote.net Pendant un demi-siècle, intoxiqués par l'aventure guerrière et les délices de la Renaissance italienne, les nobles français passent et repassent les Alpes sous un prétexte ou un autre, épuisant leurs forces dans les guerres d'Italie. Stériles et ruineuses, elles s'étirent sur les règnes de Charles VIII, Louis XII, François 1er et Henri II. Entamées par le départ de Charles VIII pour Naples dont il veut ceindre la couronne, elles se terminent par le traité du Cateau-Cambrésis, le 3 avril 1559. Charles VIII à la conquête de Naples Tout commence avec Charles VIII. Le fils et successeur de Louis XI décide, sitôt majeur, de faire valoir de vagues droits familiaux sur le royaume de Naples. Le 6 juillet 1495, sur le retour, il se heurte à Fornoue, près de Venise, à une armée beaucoup plus nombreuse que la sienne. Louis XII à la conquête de Milan La Ligue de Cambrai La Sainte Ligue Mais par un retournement d’alliances, le Saint-Siège et Venise forment une Sainte Ligue contre les Français !

Historiographie du crime et de la justice criminelle dans l’espace français (1990-2005) Des DOI (Digital Object Identifier) sont automatiquement ajoutés aux références par Bilbo, l'outil d'annotation bibliographique d'OpenEdition.Les utilisateurs des institutions abonnées à l'un des programmes freemium d'OpenEdition peuvent télécharger les références bibliographiques pour lesquelles Bilbo a trouvé un DOI. Le service d'export bibliographique est disponible pour les institutions qui ont souscrit à un des programmes freemium d'OpenEdition.Si vous souhaitez que votre institution souscrive à l'un des programmes freemium d'OpenEdition et bénéficie de ses services, écrivez à : access@openedition.org. Audren, F., La justice au risque de l’histoire. Bercé, Y. Bertrand, R., Carol, A. Blanc-Chaléard, M. Carbasse, J. Carbasse, J. Chauvaud, F., Histoire et justice panorama de la recherche, Le temps de l’histoire, nov. 2001. Chauvaud, F., Petit, J. Cubero, J., Histoire du vagabondage. Douze ans de recherche sur l’histoire du crime et de la justice criminelle (1978-1990). Farcy, J. Farcy, J.

Le brigandage à l’époque moderne : approches méthodologiques 1 A. Furetiere, Dictionnaire universel, 1688-1689. 1Qui sont les brigands de l’époque moderne ? 2 Dictionnaire Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du xie (...) 3 Dictionnaire universel français et latin…, 1704-1771, Articles « brigand » et « bandi ». 4 D. 2D’autres dictionnaires attribuent au mot « brigand » une origine italienne : briga signifie bande en italien ; « brigante » serait apparu dans la langue italienne en 14102. 6 On peut donner pour exemple les travaux de F. 3L’histoire du brigandage a longtemps semblé relever davantage de la littérature populaire que de l’histoire politique et sociale. 9 Y. 4Les archives de la période moderne confirment l’existence de ce type de brigandage tout en introduisant d’importantes nuances montrant que le brigandage social n’en épuise pas toutes les formes. 10 Je renvoie sur ce thème aux travaux de R.

Quelle délinquance? Quelle criminalité? C'est à partir des violences ressenties que les différents membres d'une population définit ce qu'il accepte et ce qu'il réprouve. A partir de l'intensité de ces violences-là qu'ils estiment les peines à encourir pour ceux qui sont désignés comme coupables de ces souffrances. Du moins dans un monde sécularisé qui laisse peu de place à des considérations religieuses tirées d'interprétations de livres sacrés. A partir du moment où l'on ne considère pas qu'ils soient la voix de Dieu, on en revient à des interprétations plus ou moins objectives. Les violences commises par les délinquants ou les criminels (parfois les individus ont peine à établir une frontière entre un délit et un crime...tout-à-fait à l'inverse des professionnels des institutions judiciaires), "laissent des traces plus ou moins profonde sur les corps et dans les esprits, comme l'écrit Pierre V TOURNIER. "A chacun sa vérité? - la sociologie de la déviance ; - la sociologie du droit ; - la sociologie politique ;

Du fait divers à l'histoire sociale. Criminalité et moralité en Sicile au début de l'époque moderne ces faits se rattache à la rivalité entre Charles Quint et François Ier et aux luttes entre cardinaux de la Curie romaine. Mais l'on n'a jamais précisé l'éventualité de parallélismes avec la révolte des Comuneros, ou de rapports avec Jeanne la Folle et Ferdinand, frère de Charles Quint. Et l'on ne comprend pas mieux la signification de la conquête de Tripoli, ni le but réel de cette expédition qui, après le sanglant succès initial, se transforma en une charge financière épuisante pour l'île, dénuée de tout résultat positif. Ces faits, l'historiographie les a diversement interprétés. Commentant la conjuration des frères Impératore, Sandoval, le biographe de Charles Quint, la jugeait seulement inspirée par des raisons personnelles, et en indiquait au moins une parfaitement valable, à savoir la rivalité entre deux familles du patriciát urbain de Palerme. Son prédécesseur, Remon Cardona, écoutant les plaintes des vassaux contre les feudataires, avait traduit en justice de nombreux barons.

Les sociétés rurales à l'époque moderne - Hystoria Les sociétés rurales sont très importantes à l'époque moderne car elles regroupent 90% de la population française. Elles sont les greniers de la France car principalement agricole mais au fur et à mesure développent des activités non-agricoles. Nous pouvons nous demander quels sont les caractéristiques de la population rurale et comment elle survit. Dans un premier temps nous allons voir quels types de population la compose, puis ses moeurs, et enfin son économie. I - Les sociétés rurales comme modèle théorique A - Les non-paysans Le paysan compose 90% de la population du village, il est généralement dominé et a un niveau de vie déplorable. C - Les pauvres et les errants C'est une population très mal intégrée, on distingue 2 catégories : - Les pauvres structurels sont ceux qui ne peuvent pas travailler à cause d'une tare quelquonque comme idiotie congénitale, problème physiqye ou mental, cette population représente 1% de la population et on essaye de les intégrer à la société.

Criminalité On entend par criminalité l'ensemble des faits dont un individu puisse avoir à répondre en justice : crimes, à la suite d'accusations ; délits, à la suite de poursuites. L'étude de la criminalité nous permet de déterminer la place qu'occupent dans notre organisme social les faits criminels et délictueux, d'en apprécier le caractère et la relation nécessaire avec certains phénomènes économiques, moraux, sociaux, de rechercher enfin les divers moyens qui peuvent en enrayer la marche progressive. La statistique criminelle, qui est à cet égard une photographie vivante de la criminalité d'un pays, ne peut réellement être utile et féconde que si elle donne pour chaque crime ou délit comme une sorte d'état-civil moral du criminel ou du délinquant : quels étaient son âge, sa profession, ses antécédents, de quelle famille était-il issu, etc., etc. Pour l'instant nous devons encore nous contenter de bien moins. En 1830, il s'est commis 41 410 délits de droit commun, contre 173 605 en 1895. A. B.

Les stéréotypes nationaux à l'époque moderne (vers 1500 - vers 1800) la diversité sous des traits généraux1. Pour peu que la caractérisation se répande et connaisse un certain succès, elle devient stéréotype. Les deux démarches s'imposent simultanément dans la culture occidentale, la première avec l'Enquête d'Hérodote, la seconde avec la première formulation par Hippocrate de la théorie des climats. Ce bref retour aux origines a pour but de souligner à quel point l'attribution de stéréotypes aux peuples n'est en rien originale à l'époque moderne. Genèse du stéréotype Le mot «stéréotype» n'apparaît dans la langue française qu'en 1796, et est alors utilisé dans son acception strictement typographique. 1 Pour la définition problématique de ce processus de généralisation, voir M.

Les rituels de l'agression en Aquitaine au XVIIe siècle HANLON LES RITUELS DE AGRESSION son voisin un signe de cette moquerie symbolique qui mettait mal le statut affiché Or il pas de statut acquis sans obligation de le défendre contre usurpateur Au village la hiérarchie pouvait être distincte et si fortement dif férenciée elle admettait aucun ombrage Dans les villes et bourgades age- naises qui nous intéressent ici en revanche la complexité urbaine et le renou vellement continuel de cette hiérarchie obligeaient chaque acteur se montrer vigilant égard de son prochain Plus le rang était élevé plus le territoire défendre était vaste et plus il fallait se soucier des indélicatesses de son entou rage La provocation est le comportement générant le plus de bénéfices en matière de prestige parce elle peut ébranler une position de prestige Cette âpre concurrence encourage et explique en partie la nature violente de cette société Les configurations de l'affrontement

Comment connaître les paysans du XVIe siècle ? Comment connaître les paysans du XVIe siècle ? Prétendre approcher la population paysanne des siècles passés n'est pas une entreprise aisée et la tâche s'avère de plus en plus difficile à mesure que l'on remonte dans le temps, à cause de la documentation qui non seulement se raréfie et se dégrade mais aussi ne correspond pas nécessairement à nos interrogations. Ainsi le XVIe siècle, entre Moyen Age et temps classiques, pourrait sembler se situer à un degré moyen de difficulté. La démarche ici proposée voudrait être une réflexion sur les sources : comment peut-on connaître les paysans qui, le plus souvent analphabètes, ne se sont presque jamais exprimés par écrit ? Pour gagner en efficacité, je réduirai mon champ et ma visée aux modes de vie, à la civilisation matérielle et aux mentalités de la paysannerie dans la France du XVIe siècle. 1. RHR 50 -Juin 2000

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