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Le référentiel des métiers et fonctions

Le référentiel des métiers et fonctions

Les 6 étapes d'un projet de recherche d'information (1996-2011) - Pédagogie du projet Démarche adaptée et mise à jour par Hélène Guertin avec la collaboration de Paulette Bernhard, professeure honoraire, École de bibliothéconomie et des sciences de l'information (EBSI), Université de Montréal, Québec, à partir de l'ouvrage La recherche d'information à l'école secondaire : l'enseignant et le bibliothécaire, partenaires de l'élève (1997) - Crédits Note : Le travail d'élaboration de la démarche a bénéficié de l'accès privilégié au document de travail daté de 1996, obtenu avec la permission de Yves Léveillé, dont le titre provisoire était La recherche d'information à l'école secondaire : un projet de recherche d'information en six étapes. La présente version remaniée (2005) respecte l'esprit du document : Les compétences transversales dans Programme de formation de l'école québécoise, enseignement secondaire (2004), ministère de l'Éducation du Québec. Autres modèles du processus de recherche d'information (site Form@net)

Le premier classement des écoles du Web par Le Figaro Étudiant Pour aider les étudiants à s’orienter, et les recruteurs à évaluer les candidats, Le Figaro Étudiant - en partenariat avec le site d'information dédié aux jeunes StreetPress - a réalisé le premier classement des écoles qui forment aux métiers de l'Internet. Les premières places du classement sont occupées par les écoles qui ont le plus d'ancienneté (HÉTIC, IIM, Gobelins). Du côté des formations publiques, certaines formations courtes dispensées dans les IUT font partie du top 10 (IUT Michel Montaigne à Bordeaux, IUT Belfort-Montbéliard, IUT Marne-la-Vallée). La première place revient à l’HÉTIC, une école francilienne créée en 2002 au sein du groupe Studialis. Avec dix ans d’ancienneté, l’HÉTIC fait partie des doyens de ce palmarès et "se voit plébiscitée par les recruteurs, qui apprécient son niveau d’études à Bac + 5 ainsi que sa pédagogie qui favorise la professionnalisation des étudiants, avec par exemple la présence d’une junior entreprise". Consulter l'intégralité du classement

Des techniques documentaires aux technologies de l'information, du documentaliste au knowledge manager : quelques réflexions Alors que les formations traditionnelles des documentalistes sont en crise, la section Documentation de l'IUT Paris V ferme ses portes, l'INTD a des problèmes de recrutement, l'on voit par ailleurs se multiplier de nouvelles formations dans le domaine de l'information. C'est, par exemple, le diplôme « d'intelligence économique et veille stratégique » aux Hautes Écoles de Gestion de Genève et Neuchâtel, la licence professionnelle « veille en entreprise » à l'université de Franche Comté à Besançon, le diplôme en « ingénierie de communication industrielle et technologie » de l'université technologique de Compiègne, le DESS de l'université Paris IV « Conseil éditorial et gestion des connaissances numérisées ». Jacques CHAUMIER Conseiller auprès du Président Bureau van Dijk. Paris Tout ceci pose deux questions : y a-t-il encore des techniques de la documentation, y a-t-il encore besoin d'un enseignement des techniques documentaires. |cc| Jacques Chaumier — novembre 2004

Archimag Le blog de Marie-Anne Chabin Archiver, après ? Marie-Anne Chabin, Djakarta, 2007 Écouter et choisir entre les avis, voilà le premier pas de la connaissance ; voir et réfléchir sur ce qu’on a vu, voilà le second pas de la connaissanceConfucius « Les archives, ensemble de documents créés dans le cours quotidien des activités et sources de mémoire, d’information et d’action, jouent un rôle essentiel dans le développement de la société. Patrimoine unique, précieux et irremplaçable, transmis de génération en génération, les archives servent la transparence administrative, concourent à la constitution de l’identité collective et permettent l’accroissement des connaissances ». Les archives sont une source de connaissances transmises de génération en génération, depuis que l’activité humaine produit des traces documentaires archivables et archivées. Quelle est la nature de la relation entre archives et connaissance ? Quelles connaissances pour quelles archives ? On ne recrée pas les archives du passé. Redondance et sélection

Thesaurus.com | Free Online Thesaurus of Synonyms and Antonyms Gestion de contenu Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir ECM. La gestion de contenu d'entreprise (en anglais Enterprise Content Management : ECM) vise à gérer l'ensemble des contenus d'une organisation. La définition officielle du terme a été créée par l'organisation internationale AIIM (Association for Information and Image Management) en 2000. Enjeux[modifier | modifier le code] Dans l'économie moderne, on doit pouvoir gérer des informations électroniques de toute nature. Or il s’avère aujourd’hui que les entreprises et les administrations publiques doivent faire face à l’explosion du volume de contenus électroniques, non structurés ou semi-structurés, et à leur diversité, qu’ils soient issus de documents bureautiques (textes, tableaux, etc.), d’applications web (portails, intranets, extranets, sites web, etc.), de documentations techniques, des courriels, etc. La gestion de contenu est l'un des chantiers de l'ingénierie des connaissances. Gestion de contenu Autres

Deep Web From Wikipedia, the free encyclopedia (Redirected from Deep Web) Deep Web may refer to: L’usager co-créateur des services en bibliothèques publiques L’enquête nationale du Credoc sur la fréquentation des bibliothèques et diverses enquêtes de terrain (voir références en fin d’article) montrent une évolution des pratiques des usagers, notamment l’accroissement significatif d’un usage sur place qui se passe des ressources documentaires de la bibliothèque. L’émergence d’un Internet plus participatif dit web 2.0 et l’accroissement du niveau d’étude de la population française change aussi les attentes des usagers. En synthétisant et prolongeant mon mémoire d’étude à l’Enssib, j’apporte ma pierre aux réflexions de Bibliobsession, de Bertrand Calenge (notamment ici, ici et ici) et autre Bibliothèque=Public. 1/ L’évolution des publics et de ses pratiques Les bibliothèques sont confrontées à des évolutions externes qui ne sont pas sans conséquence sur son fonctionnement. Les médiathèques sont aussi en concurrence frontale avec internet et les loisirs numériques. 2/ Les services non documentaires 3/ L’usager co-créateur de la bibliothèque Connexe

Web profond Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec darknet. Ne pas confondre[modifier | modifier le code] Ressources profondes[modifier | modifier le code] Les robots d'indexation sont des programmes utilisés par les moteurs de recherche pour parcourir le web. On peut classer les ressources du web profond dans une ou plusieurs des catégories suivantes : contenu dynamique ;contenu non lié ;contenu à accès limité ;contenu de script ;format non indexable. Voir aussi la section raisons de la non-indexation qui donne plus de précision. Taille[modifier | modifier le code] Une étude de juillet 2001 réalisée par l'entreprise BrightPlanet[1] estime que le web profond pouvait contenir 500 fois plus de ressources que le web indexé par les moteurs de recherche. En 2008, le web dit « invisible » non référencé par les moteurs de recherche représente 70 à 75 % de l'ensemble, soit environ un trilliard de pages non indexées[2]. Web opaque[modifier | modifier le code] Portail d’Internet

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