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151 musées en exposition permanente sur Google

151 musées en exposition permanente sur Google
Pour le «symbole international de la culture» , c'est à Paris que Google a choisi de présenter, hier, la nouvelle version de son impressionnant «Art Project». Le logo du groupe a même été redessiné en bleu-blanc-rouge et affublé d'une Tour Eiffel en guise de «L» pour l'occasion... Enrichi et relifté, le projet fait la part belle à la culture hexagonale : il compte aujourd'hui 6 musées français parmi ses 151 partenaires, alors que seul le château de Versailles participait au début de l'aventure, en février 2011 . L'ouverture du site googleartproject.com avait alors fait grand bruit, en offrant à tous les internautes de la Terre une visite virtuelle de quelques musées parmi les plus prestigieux, du MoMA de New York à la National Gallery de Londres en passant par le musée Reina Sofia de Madrid et la Galerie des Offices à Florence. «Un an après le lancement de la première version, Art Project passe aujourd’hui à une toute autre échelle» , explique fièrement Google. Photo Google

Google ouvre les portes virtuelles de 151 musées Un an après le lancement d'Art Project, plate-forme Internet proposant une sélection d'oeuvres d'art numérisées en très haute résolution, Google a mis en ligne une nouvelle version de ce site. Il rassemble désormais 31'000 oeuvres, contre un millier initialement. Le Musée olympique de Lausanne, Capitale olympique, est partie prenante du Art Project avec un total de 104 objets. Offre vaste D'une institution à l'autre, le nombre d'oeuvres numérisées est très variable: 25 pour le quai Branly contre 255 pour le musée d'Orsay et plus de 5000 pour le centre d'art Britannique de Yale. Des images de Street View En choisissant cette fonction «Exploration des musées grâce à la technologie Street View», les internautes peuvent se déplacer virtuellement dans les salles des musées, sélectionner les oeuvres d’art qui l’intéressent et cliquer pour en savoir plus, ou encore plonger dans les images haute résolution disponibles. (laf/ats)

Les calendriers, de l'Antiquité au XX e siècle, de magnifiques documents historiques ! avec Mireille Pastoureau, directeur-conservateur de la Bibliothèque de l’Institut de France Dans la bibliothèque de l’Institut de France, sont enfouis des trésors que Mireille Pastoureau, conservateur général et directeur de cette bibliothèque a plaisir à ressortir du fonds pour des expositions temporaires. Récemment, elle a proposé de magnifiques calendriers anciens, des pièces exceptionnelles, parmi lesquelles des calendriers hindou, tibétain et égyptien. Une exposition surprenante fait rayonner la bibliothèque de l'Institut de France : "Histoires de calendriers". L'exposition est dédiée à Emmanuel Poulle (1928-2011), historien spécialiste de l’astronomie médiévale, membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres (1996), professeur et directeur de l’Ecole nationale des chartes, secrétaire perpétuel de l’Académie internationale d’histoire des sciences qui nous a quittés récemment. Remonter le temps grâce aux calendriers A propos du calendrier égyption antique Déjà abonné ?

Les économistes sont-ils des imposteurs ? Dans son livre les Imposteurs de l'économie (Ed. Jean-Claude Gawsewitch), le journaliste de Mediapart Laurent Mauduit dénonce la «monopolisation» du débat économique par «une vingtaine d'experts», sujets aux conflits d'intérêt ou à une pensée unique libérale. Un réquisitoire déjà dressé par le documentaire les Nouveaux Chiens de garde ou un récent article du Monde diplomatique. Libération.fr a fait réagir les économistes Patrick Artus (chef économiste de Natixis, professeur associé à Paris-I et administrateur de Total) et Dominique Plihon (professeur à Paris-XIII, président du conseil scientifique de l'association Attac). Le débat sur la légitimité des économistes vous semble-t-il bienvenu? P. Il est vrai cependant que le conflit d'intérêt peut exister quand on travaille pour une institution privée. D. La nouvelle charte de l'OFCE comporte l'obligation de mentionner d'éventuelles collaborations avec le secteur privé. P. D. P. D. P. D. P. P. D.

Google vous fait visiter les plus grands musées du monde Explorer les collections du musée d’Orsay à Paris, du Museum of Modern Art de New York (MoMa), de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg, ou encore celles du Musée national de Tokyo… Google vous permet aujourd’hui de découvrir en quelques clics plus de 30.000 œuvres d’art en haute résolution venant de 150 musées du monde, grâce à sa plateforme Google Art Project. Et il ne s’agit pas uniquement de peintures. Les passionnés d’art ou les curieux peuvent également admirer sculptures, graffitis et photographies. Cette plateforme en ligne, lancée il y a un an avec 1.000 œuvres issues de 17 musées, fait ainsi peau neuve en passant à une toute autre échelle. En France, plusieurs sites ont rejoint le Château de Versailles, partenaire d’Art Project à ses débuts: le musée d’Orsay, le musée de l’Orangerie, le Château de Fontainebleau, le musée du Quai Branly et le Château de Chantilly. Sur le site Google Art Project, il est possible de faire une recherche par musée ou nom d’artiste. Anaëlle Grondin

Quand des professeurs d’histoire-géographie renversent leur classe 2/2 Fin des témoignages de nos quatre collègues, suite au premier article sur la pédagogie inversée. L’occasion aussi pour nous de confronter ces pratiques, d’en mesurer les atouts, le potentiel, et sans doute quelques limites. A discuter et à débattre ! Comment votre expérimentation est-elle accueillie par vos élèves, les parents d’élèves, vos collègues, vos supérieurs hiérarchiques ? Cyril Delabruyère Par les élèves au début assez mal, puis ils s’y font dans l’ensemble. David Bouchillon Les parents : pas de retours négatifs. Ghislain Dominé Paradoxalement, ce sont mes élèves de Seconde qui ont eu le plus de mal à saisir la démarche, une bonne moitié de la classe se raccrochant au modèle traditionnel du cours consigné dans le cahier. Thomas Reyser Globalement, l’accueil de cette démarche a été plutôt positif du côté des élèves et des parents. Je crois davantage aux bienfaits d’une « blended education¹ » : il faut garder cette immense liberté qu’offre la pédagogie inversée. Thomas Reyser

Mort de l'écrivain AntonioTabucchi C’est quoi un grand écrivain ? Quelqu’un qui révèle des réalités enfouies ou inaperçues, qui traduit les forces obscures en jeu dans la société ou dans les rapports entre les personnes. Quelqu’un, aussi, qui produit sa forme et sa langue. Antonio Tabucchi est un grand écrivain. Ce qui frappait, d’emblée, chez lui, c’était son intelligence, sa culture. «La Dolce Vita». Au moment de retourner dans sa Toscane natale par le train de nuit, il achète, près de la gare de Lyon, le petit livre d’un poète alors peu connu, dont la traduction française vient de paraître : il s’agit de Bureau de tabac, de Fernando Pessoa. Mais quelque chose d’autre mijotait dans sa tête : la fiction. En 1986, au retour d’un voyage de quelques semaines en Inde, il conçoit un merveilleux roman sur la perte d’identité, la dissolution de soi, Nocturne indien (prix Médicis étranger 1987). En 1994, l’Italie tombe brusquement sous la coupe de Berlusconi, dont il perçoit immédiatement le danger. Réalité.

Google fait visiter six musées français Europe 1C.B avec agences Le géant américain donne un second souffle à sa plateforme de mise en ligne d'œuvres d'art. Explorer les collections du musée d'Orsay à Paris, découvrir les œuvres du MoMa de New York, admirer les trésors du Musée de Delhi. Un an après le lancement d'Art Project, le géant américain met en ligne mardi une nouvelle version de son site. Voici une vidéo présentant la configuration d'Art Project de Google : Avec cet outil, le géant américain veut montrer qu'Internet "peut aider la culture locale", souligne un responsable de sa communication. "Visualiser les œuvres dans leur contexte" C'est à Paris, où Google a récemment inauguré un siège, que la firme a choisi de présenter la nouvelle version de ce projet. Mais là, se sont bien les musées qui choisissent de répertorier leurs œuvres dans la base de données de Google. Grâce à la technologie Street View, certains musées partenaires permettent de réaliser une visite guidée virtuelle. Un projet boudé par Le Louvre

La démocratie athénienne: - Le blog de mgouralnik Jeudi 15 décembre 2011 4 15 /12 /Déc /2011 09:03 A Athènes comme dans beaucoup d'autres cités grecques, la ville a un lieu religieux qu'on appelle l'acropole et un lieu plus commerçant qu'on appelle l'agora. A Athènes on retrouve également au coeur de l'agora la plupart des institutions politiques exepté l'assemblée des citoyens (l'Ecclésia) qui siège sur la coline de la Pnyx. Voici un plan très simplifié de la ville d'Athènes au Vème siècle avant J. Et ci-dessous une reconstitution de l'Agora d'Athènes: Voici une petite vidéo qui reprend pas mal d'éléments vus en cours mais qui en développe aussi de nouveaux: Partager l'article ! inShare Par mgouralnik - Publié dans : Sixième 0

Nouvel album de Madonna - MDNA Incontestablement raté, le nouvel album de Madonna entérine la déchéance de l'ex-pop star ultime. Avec MDNA, son douzième album, la chanteuse court assez lamentablement après la tendance dance, qui secoue les Etats-Unis depuis cinq ans. Si elle n'est pas allée jusqu'à débaucher David Guetta, Madonna a choisi d'exploiter la filière française avec Martin Solveig, DJ parisien qui constitue, avec Guetta et Bob Sinclar, la triplette tricolore à succès. Mais la dance d'hypermarché n'est pas la seule spécialité française que Madonna exploite. Le cynisme romantique Deux thèmes s'affrontent dans les textes de cet album. Le contraste rococo D'une ballade insipide à une titre boum-boum ibizesque ou un hymne pop, Madonna s'essaye à tous les styles sur cet album. La performance décevante Madonna est à la rue musicalement, mais veut continuer à en imposer sur scène. L'audace d'arrière-garde Des flingues, de la fumée de cigarettes, des hommes en bas torrides et un érotisme noir et blanc qui brille...

150 musées du monde à portée de clic - A la Une du Web - High Tech Le Musée d'Orsay sur le Google Art Project Imaginez que vous puissiez vous balader dans le musée d'Orsay, le Moma de New York, le Rijksmuseum d'Amsterdam, le musée national d'anthoropologie de Mexico, la Tate Modern de Londres, la Pinacothèque de Sao Paulo, les galeries nationales de Tokyo, la Maison blanche à Washington ou le château de Versailles... tout ça, sans bouger de chez vous. Hé bien c'est possible : 151 des plus grands musées du monde sont désormais accessibles en visite virtuelle sur une plate-forme Google dédiée à l'art : le Art Project... En fait, Google a utilisé la technologie Street View, qui permet de se promener dans la plupart des villes de la planète avec une vision à 360 degrés, et les ingénieurs l'ont adaptée aux galeries des musées. Le résultat est ébouriffant : on a vraiment l'impression de déambuler tranquillement dans les salles de collections. Versailles sur le Google Art Project Du côté des critiques d'art, on hésite entre enthousiasme et scepticisme.

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