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Vous avez dit « Sérendipité » ?

Vous avez dit « Sérendipité » ?

Sérendipité, mot de l'année Le concept de l’année qui fait bonne fortune dans les sciences humaines est un mot impossible à mémoriser. « Sérendipité » ne figure même pas dans les dictionnaires français. Issu de serendipity, il signifie « don de faire des trouvailles ». Le terme, forgé par le collectionneur Horace Walpole en 1754, faisait partie du jargon des bibliomanes anglais. Il a migré petit à petit comme concept vers les sciences et la technique, le droit et la politique mais aussi l’art et, tel monsieur Jourdain qui « sérendipite » sans le savoir, la vie quotidienne. La sérendipité est un état d’esprit à cultiver pour faire des trouvailles, mais souvent refoulée par les chercheurs qui ne veulent pas être considérés comme des chercheurs par hasard. Pek van Andel et Dominique Bourcier, De la sérendipité.

Biblionet - De la sérendipité, par Christophe Jacquemin 05 septembrei 2009 Présentation et commentaires par Christophe Jacquemin De la sérendipité dans la science, la technique, l'art et le droit "Connaissez-vous la sérendipité ? Ce mot n'existe pas en France, mais savez-vous qu'il existe dans les dictionnaires anglais (serenditpity) depuis plus d'un siècle ? Je me souviens encore très bien de cette après-midi-là, qui n'avait ressemblé à aucune autre. Avant de parler plus précisément du livre, rappelons tout d'abord ce qu'est la sérendipité... Un mot dont l'origine a été forgée il y a 255 ans La sérendipité est l'art de découvrir, inventer et créer ce à quoi on ne s'attend pas. C’est un politicien, écrivain et grand (le plus grand peut-être) épistolier anglais, Horace Walpole (1717-1797), qui a créé le mot en s’inspirant d’un "silly fairy tale" (un conte de fées idiot, ce sont ses mots) "Les Trois Princes de Serendip", conte persan publié en 1557, lesdits princes passant leur temps à faire des découvertes inattendues. Un conte persan 2. 3. 4.

le blogue de tilly: sérendipité, quand tu nous tiens Hou, que ce mot là est vilain (je trouve). Mot laid, mais qui définit un bien bel état d'esprit, ouvert, libre de toute contrainte, propice à la créativité, à la découverte de nouveautés, au progrès, et caetera. J'étais il y a quelques jours plongée dans un bain de sérendipité. C'était dans le grand amphi de la Faculté de Pharmacie de Paris, pour le cinquante-sixième Carrefour des Possibles. illustration empruntée sans autorisation à Jacques Rouxel, via les Chroniques de la propriété industrielle et de l'innovation Parmi les coups de projecteur et les dix projets innovants présentés ce soir-là, j'ai été touchée par la présentation du XO, l'ordinateur à cent euros pour les pays en développement. Dans un autre style, le napperon-lecteur (webnapperon 2.0 !) Malheureusement il n'y pas d'image disponible de la radio numérique wifi Diabolo qui était présentée en bleu, blanc et rouge. un jeune homme qui me demande le passage pour gagner l'extrémité du banc abattant où je me suis posée.

Complicated Commons Il y a les biens communs. Il y a "l'utopie pragmatique". Il y a les biens communs informationnels. Et puis il y a cette réalité obsédante qui fait que l'essentiel des communs informationnels même explicitement déclarés comme tels (par le biais de licences creative commons par exemple) sont aujourd'hui hébergés et/ou accessibles, dans des plateformes principalement structurées autour d'enclosures. Internet : média adroit. Il y a cette folie galopante d'une course à la propriété, à la mise à bas de l'appropriation en dépit même du bon sens : DRM partout, grignotage patient et systématique du domaine public établi, il y a le triangle des bermudes de la judiciarisation / criminalisation / pénalisation de la consultation et de l'accès. "C'est un usage, né de la répétition, à moins qu'une clause de non-préjudice n'empêche celle-ci de constituer un précédent. (...) Négation du négoce de la négociation. Business partout, ROI nulle part. Il y a l'oubli. Il y a ce que fut l'idéal du web.

Comment travailler en mode collaboratif en ligne : 2 dossiers pratiques Travailler en mode collaboratif devient une exigence professionnelle de plus en plus demandée que ce soit dans le monde de l’entreprise, des institutions, des associations et des EPN (espaces publics numériques). Apprendre à gérer des projets en ligne et sur des plateformes, c’est mettre en forme des compétences d’écriture, d’échanges, de partage de contenus, de veille, de maîtrise de modes de réunions à distance… Un vaste champ qui évolue sans cesse et se distingue par des outils de plus en plus mobiles et de capitalisation de connaissances et compétences qui passent via différents médias : texte, image, vidéo, son… Une pluri-compétence appréciée au sein des organisations ainsi qu’une co-construction de contenus. Dossiers pratiques et pédagogiques A base de schémas, cartes heuristiques, illustrations et captures d’écran et de textes (conseils, recommandations, listes d’items…), il est explicité les enjeux, le rôle, les critères de réussite de projets collaboratifs en ligne. 1. Licence :

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