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Your Nonprofit Tech Checklist

Your Nonprofit Tech Checklist
At the end of the Social Media for Social Good: A How-To Guide for Nonprofits is a nine-page “Nonprofit Tech Checklist” which I have copied and pasted below. Each item on the list is discussed in the book and some items won’t make sense unless you have read the book, but most will. I hope you find it useful. That was my number one priority when writing the book… to create a comprehensive, useful social and mobile media how-to guide for nonprofits. Oh, and the book tour thus far has raised more than $14,000 for nonprofits. The IRS is still trying to wrap it’s head around that one… a book tour fundraiser. Getting Started: Organization and Planning Web 1.0 :: The Broadcast Web 1) Website 2) e-Newsletter 3) “Donate Now” Fundraising Web 2.0 :: The Social Web 1) Facebook Create a Facebook Page.Design custom tabs.Find your Facebook voice.Find and monitor your Facebook Community Page, if applicable.Claim your Facebook Places Page, if applicable. 2) Twitter 3) YouTube 4) Flickr 5) LinkedIn 7) Blogging

Démocratiser l'économie Que devient l’économie sociale et solidaire dans la campagne présidentielle ? On en parle peu, pourtant les programmes des candidats y font référence. Voici le point de vue de Guillaume Légaut, ancien délégué général du Conseil des entreprises, employeurs et groupements de l’économie sociale (CEGES), qui a adressé ce texte le 16 février au blog "Classe contre classe". En attendant d’autres contributions. « Remettre l’économie au service des personnes » : bien des candidats à l’élection présidentielle ont subitement ces mots à la bouche alors qu’approche le vote des citoyens. Il est vrai que l’économie sociale et solidaire représente une part significative de l’emploi et de l’activité économique en France. Les signes de reconnaissance adressés par les candidats sont sympathiques mais ne suffisent pas. A lire pendant la campagne présidentielle L’économie sociale et solidaire ne prétend pas avoir une réponse idéale. Commençons par sécuriser le développement des entreprises de personnes.

Alec Ross, conseiller d'Hillary Clinton: "le crowdsourcing, un outil de développement" Youphil: Une de vos idées phares depuis que vous êtes au Département d'Etat est d’utiliser le "crowdsourcing" pour répondre aux défis du développement. Alec Ross: Toutes les solutions n’émanent pas forcément de gens qui ont fait des études et portent des chemises blanches et des cravates rouges. Parfois, la sagesse de la foule peut-être plus grande que celle d’un expert. Par exemple, nous avons crée un concours, Apps for Africa, où on a demandé aux citoyens d’Afrique de l’Est – Ouganda, Tanzanie, Kenya - d’identifier des défis sociétaux auxquels ils devaient faire face. Puis nous avons trouvé des développeurs web en Afrique de l’Est et leur avons demandé de construire des technologies qui pourraient y répondre. Ce n’est pas quelque chose que nous aurions pu concevoir à la Maison Blanche! La technologie est-elle plus qu’un simple outil pour le développement? Oui, c'est plus qu'un outil. Le Printemps Arabe a du conforter l’importance que vous apportez aux médias sociaux.

Hackers et ONG : la difficile rencontre La médiatisation récente des hacktivistes, notamment avec les coups d'éclat d'Anonymous et l'implication de nombreux hackers dans les révolutions arabes, a fait émerger la question de leurs relations avec les ONG. Beaucoup de hackers et d'ONG se battent pour les mêmes idées, mais avec des outils différents. L'agence Limite a eu la bonne idée de les réunir mercredi, lors d'une conférence de la Social Media Week , pour entamer la réflexion autour de cette question, encore peu traitée. Concrètement, où en est-on ? Pas très loin... Issus de deux cultures différentes, ces deux mondes ont du mal à communiquer. D'un côté, les ONG : ce sont de véritables institutions avec un sens traditionnel du militantisme, l'habitude d'actions IRL ou, plus précisément, AFK . De l'autre, les hacktivistes : il s'agit d'un mouvement plus jeune, souvent issu d'une génération plus axée vers l'engagement individuel et ponctuel. De nombreux points communs Et pourtant, la rencontre reste difficile. - La peur.

Quand nos comportements déroutent les économistes Recensé : Gilles Saint-Paul, The Tyranny of Utility. Behavioral Social Science and the Rise of Paternalism, Princeton, 2011. 174 p., $39, 50. Avec son ouvrage The Tyranny of Utility, Gilles Saint-Paul, professeur d’économie et membre de l’école d’économie de Toulouse, propose une mise en perspective originale des développements les plus récents de l’économie comportementale (behavioral economics) en les associant à la montée des mesures paternalistes prises par les pouvoirs publics aux États-Unis et en Europe. Ces mesures visent à réguler de manière plus ou moins intrusive et coercitive les choix individuels, dans le but avoué de faire en sorte que les individus agissent dans leur propre intérêt. La chute de l’homo economicus Comme l’indique Saint-Paul, la science économique était jusqu’à encore récemment le dernier refuge de la conception rationaliste de l’individu héritée des philosophes des Lumières. La montée du paternalisme Un argument philosophique Pour citer cet article : Nota bene :

Top 500 Social Entrepreneurs & Social Enterprises on Twitter | Lucy Wood I thought that it would be interesting to see who the ‘top’ individuals and organisations tweeting about social enterprise and social entrepreneurship were, so I put together a list of all people using the hashtag #socent over the last few weeks and used PeerIndex to rank them by their ‘social influence’. PeerIndex isn’t perfect but it uses information on peoples’ ‘Authority’, ‘Activity’ and ‘Audience’ on social networks to give them an influence score (more info here). La France à l'heure du Social Business ? : Quand l'entreprise s'engage Soutenir l’initiative entrepreneuriale Mardi 6 mars 2012 matin, Jean-Marie Sander, président de Crédit Agricole SA et de la Fondation Grameen Crédit Agricole, et Muhammad Yunus, Prix Nobel de la Paix, fondateur de la Grameen Bank au Bengladesh, célèbrent l’anniversaire de la Fondation Grameen Crédit Agricole, créée en 2008 pour mettre la microfinance au service de la lutte contre la pauvreté. A ce jour, 32 millions d’euros de financements ont été approuvés dans 19 pays en développement. Ce rendez-vous est aussi l’occasion d’annoncer la création d’un nouveau fonds entièrement dédié au Social Business. Dès les autorisations nécessaires obtenues, ce fonds doté de 15 à 20 millions d’euros, sera proposé à des investisseurs avertis, socialement motivés, désireux de combiner entrepreneuriat et solidarité pour faire face aux enjeux sociaux de notre temps. L’entreprise sociale, alternative à l’Etat providence ? Lutter contre la pauvreté 2 milliards de plus en 2050

innovation sociale britannique (1/3) : Qu’est-ce q A l’occasion d’un voyage d’études organisé par la 27e Région, nous sommes allés à la découverte de l’innovation sociale britannique, en rencontrant la plupart des cabinets de design et les principaux acteurs qui participent à redéfinir le rôle des usagers dans les services publics. Comment l’innovation s’inscrit-elle concrètement dans la vie des gens ? Peut-on faire de l’innovation sans technologie ? L’innovation sert-elle à faire de la politique ? Immersion. L’innovation sociale : redonner le pouvoir aux utilisateurs L’innovation sociale désigne un ensemble de stratégies, de concepts, d’idées et de formes d’organisation qui cherchent à étendre et renforcer le rôle de la société civile dans la réponse à la diversité des besoins sociaux (éducation, culture, santé…). Image : L’un des slogans du cabinet Think Public, tiré de leur plaquette de présentation : “Nous pensons que les gens qui utilisent et délivrent des services ont l’expérience et les idées pour les améliorer”. Hubert Guillaud

Enabling Social Innovation through space design | The Hubble 19th January 2011 Social innovation is by its very definition about people. So it stands to reason that any space wishing to encourage social innovation would have people at the heart of its design. The inclusive design approach embraces the social, challenging this ‘top down’ thinking and replacing it with a multi-stakeholder, non-linear, interactive ‘action based’ co-design process. Using an inclusive design approach to foster social innovation can produce impressive results, but it is not without its challenges. Mapping and developing effective tools to manage and guide this process will be key to embedding it in the mainstream so that eventually the inclusion of the end user in overall design process becomes the default position. Too many well meaning projects have failed to grasp this concept and have invested large amounts of money creating hollow centres for innovation. The key to developing effective social innovation is in its title.

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