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Management: les cinq tendances de 2014

Management: les cinq tendances de 2014
Connaissant mieux le fonctionnement de son cerveau, soucieux de développer le travail collaboratif, inventif pour venir à bout des problèmes et bienveillant, le management ne devra toutefois pas perdre de vue le sens de sa mission en 2014 : fixer des objectifs à atteindre sans brûler les étapes. 1. Le neuro-management La question de l'apport des neurosciences au management commence à se frayer un chemin dans l'Hexagone. 2. Remis au goût du jour, ce mode d'organisation du travail fait toujours des émules. 3. Faire mieux avec moins... " Le concept d'innovation Jugaad développé par Navi Radjou, consultant en innovation d'origine indienne qui consiste à trouver de nouvelles opportunités de croissance dans un monde aux ressources limitées en utilisant les bouts de ficelle, s'applique aussi parfaitement au management ", remarque Loïck Roche, directeur de Grenoble école de management. 4. Et si les collaborateurs étaient le bien le plus précieux des managers? 5. Related:  MANAGEMENT

Management de l'entreprise Les principes Définition du management Le management de l'entreprise englobe toutes les notions nécessaires (connaissances, méthodes, techniques) pour gérer une organisation, selon une direction donnée, tout en assurant le niveau de performance prévu. Qu'est-ce que le management ? Le management de l'entreprise couvre de multiples aspects. Gouvernance d'entreprise Les principes de Gouvernance d'entreprise, les principes, la mise en oeuvre, le dossier complet, les ressources Développement durable et Responsabilité sociale des entreprises Développement durable et Responsabilité Sociale de l'Entreprise, le dossier complet. La stratégie d'entreprise La stratégie d'entreprise en pratique , La démarche stratégique, Analyse stratégique, Théoriciens de la stratégie, Les ressources Le contrôle de gestion Le contrôle de gestion de l'entreprise intégrée , Guide en ligne pour le contrôleur de gestion de l'entreprise "intégrée par les technologies" Les méthodes de management Les tableaux de bord de pilotage

« La qualité doit devenir le mot d'ordre de toute notre économie » Comment définissez-vous la qualité ? Il s'agit de toutes les caractéristiques qui ne relèvent pas du prix et permettent à un consommateur d'effectuer son choix. Cela peut être la qualité de fabrication, le niveau technologique, le design, l'image de marque, les délais de livraison, le service avant et après-vente. Quels sont les pans économiques français dans lesquels la qualité est aujourd'hui un facteur de rentabilité ? Certains secteurs high-tech comme l'aéronautique, le matériel de transport, la pharmacie sont très bien positionnés en termes de qualité, comme en témoigne leur solde commercial, largement positif. Il s'agit là d'une démarche qualité fondée essentiellement sur la recherche-développement, qui repose sur la capacité des ingénieurs et des chercheurs à concevoir des produits et des services nouveaux. "La qualité n'est pas réductible à la R&D" Y a-t-il un secteur exemplaire en terme s de démarche qualité ? Le luxe me semble être un parfait exemple. Que préconisez-vous alors ?

Six positions et positionnements du Dirigeant en faveur de la RSE Soit 6 positions du dirigeant, ses différents rôles, fonctions et missions d’une part, et son positionnement spatio-temporel d’autre part. Au plan vertical : le dirigeant se situe en haut et en bas. Au sommet de la hiérarchie, il assure le leadership. Il conduit le changement, prend des décisions stratégiques, analyse et gère les risques. Au plan horizontal : le dirigeant est dans le présent et le futur. Au plan transversal : le dirigeant est dans l’alternance, il combine deux positionnements l’interne et l’externe. S’agissant de la démarche RSE, le dirigeant met à profit ses positions et positionnements, autant que ses qualités et compétences, afin d’ancrer celle-ci dans la culture organisationnelle. Il encourage les initiatives, les expériences, et les expérimentations. Il prêche par l’exemple. Il confie des responsabilités, des missions, et des objectifs RSE aux membres de l’équipe dirigeante, ainsi qu’aux managers.

Motivation des organisations post modernes Management Postmoderne ou « Comment s’adapter aux nouveaux leviers de motivation de ses collaborateurs ? » Le monde économique et l´entreprise changent. Une atmosphère postmoderne semble irréversiblement et irrésistiblement émerger sous nos yeux et bouscule le paradigme managériale. Que c´est dur de manager ou d´être managé en 2014 ! Visibilité réduite, changements de cap incessants, une réunion suivie d´une autre, voilà le menu quotidien du manager avec à la clé déstabilisation, démobilisation et saturation des équipes et des individus. Les 3 convictions du manager : Conviction 1: Le besoin de management subsiste. Un management performant n´obéit pas au contexte ou à la conjoncture. Conviction 2 : l’engagement de ses collaborateurs: une question d’intuition L´engagement des collaborateurs est une affaire d´époque et de circonstance. Conviction 3 : le manager postmoderne, un réenchanteur du quotidien Ces 3 convictions plantent le décor de l´hypothèse du management postmoderne. L’initiation*

Manager in Progress | e-learning gratuit Qu’est-ce qu’un manager responsable aujourd’hui ? L’engagement de la direction générale dans un management différent, qui favorise la naissance d’une organisation reliant l’économique et l’humain, est le point de départ indispensable à un changement de paradigme vers un management responsable. C’est une réponse aux attentes des acteurs de l’entreprise et de leur environnement et un fantastique levier pour des performances durables et responsables, dont les indicateurs d’appréciation s’appuient sur des critères économiques autant qu’ humains, j’insiste sur ce point. Tout changement étant mis en œuvre par le haut, ce n’est que par la direction générale et les managers relais que pourra naître une véritable prise de conscience de la nécessité de conduire cette nouvelle politique en matière de management. De nos jours, le mot « chef » a été remplacé par un nouveau vocable, celui de « responsable d’équipe » ou de « manager ». Le manager est ainsi de plus en plus pressé par sa hiérarchie et par les exigences de ses collaborateurs.

L’éthique devient un facteur clé du management des entreprises Dans certaines entreprises, le code de déontologie est remis à chacun des arrivants sous la forme d’un livret, consultable également sur internet. Ne pas se contenter d’énoncer quelques règles génériques, les valeurs doivent être expliquées clairement. Scandales financiers, affaires de corruption, délits de conflit d’intérêts…, régulièrement des scandales secouent le monde des affaires. Face à ces risques de dérapages, les entreprises ont pris conscience d’adopter un comportement éthique socialement et écologiquement sous peine de boycott, de pression de l’opinion publique ou tout simplement de mauvaise image. Des institutions bancaires aux multinationales en passant par les administrations publiques, de plus en plus d’organisations édictent des codes d’éthique ou de déontologie afin d’exprimer leurs engagements que doivent s’approprier managers et salariés. Mettre en exergue les comportements qui sont en phase avec les valeurs Brahim Habriche.

Vers un management responsable Si l’économie a imposé depuis le milieu des années 90 une vision court-termiste au profit des actionnaires, elle a ainsi conduit les entreprises à traiter plus durement ses autres parties prenantes et notamment ses salariés. Cette crise de gouvernance et managériale se double d’une crise profonde du travail, fruit de 15 années de transformation accélérée des entreprises et de sous-estimation du facteur humain. Autant de facteurs contextuels qui ont de lourdes conséquences sur le management RH et rendent nécessaires une réorientation. Gestion des ressources humaines et responsabilité sociale des entreprises : vers un nouveau paradigme managérial Le Management des Ressources Humaines consiste d’abord à définir sa propre stratégie et à l’adapter en permanence en termes humains, de moyens et d’objectifs, au sein d’un environnement plus que jamais incertain et changeant. Management stratégique des RH et responsabilité sociale Cet article sur votre blog

Syndrome de l'imposteur Histoire[modifier | modifier le code] La psychologue Pauline Rose Clance a été la première à étudier ce sentiment d'insécurité injustifié. Dans son travail de thérapeute, elle a remarqué que beaucoup de ses patients non diplômés partageaient une même préoccupation : bien qu'ils aient de bonnes notes, ils ne croyaient pas qu'ils méritaient leur place à l'université[1]. D’après Clance et Imes, il existe 4 comportements qui font « effet boule de neige » : - le premier comportement implique rapidité et travail acharné. - le deuxième comportement consiste à avoir le sentiment d'être un imposteur et donc, de porter un masque. - le troisième comportement implique charme et perspicacité pour gagner la faveur de leurs supérieurs. - le quatrième comportement est celui de l'imposteur évitant de faire preuve de confiance en soi. Notion en psychologie ou en psychiatrie[modifier | modifier le code] Le terme est inventé par les psychologues cliniques Pauline Rose Clance et Suzanne A. [réf. nécessaire].

Enquete - Entreprises controversées : les listes noires d’investisseurs changent-elles la donne ? - Pratiques d'Investissement Responsable Publication : juin 2013 Le centre de recherche de Novethic a étudié l'influence que peut avoir l'exclusion normative. A travers l'analyse des listes noires publiées par 19 investisseurs d'Europe du Nord gérant 1500 milliards d'euros sur des critères de violations des droits humains, il a établi des typologies des modes d'action des investisseurs. Classés en trois catégories (manquements au droit du travail, absence de respect des droits des communautés locales et activités exercées dans des régions où des exactions sont commises par les autorités publiques), les violations des droits humains recensées par les investisseurs sont interprétées de façon différente. Entreprises exclues Novethic a analysé en profondeur les controverses concernant six multinationales très présentes sur les listes noires : Walmart pour les conditions de travail chez ses sous-traitants et l'absence de liberté syndicale;Yahoo! Les investisseurs cherchent à identifier les risques pour éviter d'en payer le prix

Les émotions, alliées du bien-être au travail Nous avons beau les prendre pour des ennemies incapacitantes, des perturbateurs de la pensée rationnelle, des marques d’une faiblesse déraisonnable et indigne d’un professionnel, les émotions sont excellentes conseillères à ceux qui savent leur prêter une oreille accueillante et attentive. Partons à la rencontre les émotions, pour mieux comprendre leur rôle et leur utilité au travail. Ces émotions qui nous submergent et nous empêchent parfois de réfléchir sereinement ou d’agir, nous aimerions souvent les voir disparaître et nous retrouver d’une sérénité ataraxique face aux aléas de nos vies professionnelles. Nous nous imaginons alors maîtres de nous en toutes circonstances, placides et efficaces, résolvant avec une efficacité et une confiance imperturbable les petits tracas, les impondérables et les épreuves. Seulement dans la vraie vie, les choses sont bien différentes et en réalité, nous devrions être heureux de tous ces débordements émotionnels pour trois raisons: Aller plus loin

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