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« Crise et Web ont généré une très large économie de la débrouille »

« Crise et Web ont généré une très large économie de la débrouille »

Internet, ça change la vie ! Tant pis pour les élites Tribune Un des problèmes majeurs qu’on rencontre, quand on essaie de comprendre l’impact d’Internet dans nos sociétés, c’est de prendre le recul nécessaire : il est si difficile d’imaginer notre vie sans lui qu’on n’arrive pas à voir ce qu’il change. Il nous manque la possibilité de comparer notre monde à un monde sans réseau informatique global pour appréhender vraiment tout ce qu’il a changé et tout ce qu’il changera. Il est plus facile – du coup – de tenter l’exercice de l’allégorie. Il était une fois Imaginons quelque chose de vraiment très improbable : les Mayas se sont plantés et la fin du monde n’est pas pour dans un mois. Imaginons que, du coup, notre technologie continue d’évoluer et que d’ici une dizaine d’années, un groupe de hackers invente dans son coin une imprimante 3D capable de reproduire à peu près n’importe quoi, au niveau moléculaire. Au tout début, les fichiers sont rares. Une nouvelle économie Peu à peu, une nouvelle économie se met en place. Un monde nouveau Déclencheur

The power of community marketplaces - the case of p2p travel Would you let a stranger sleep in your home? Surely most people’s answer to this question would be no. With the power of “reputation capital”, peer-to. peer (p2p) community marketplaces are revolutionising the way its members enjoy unique travel experiences and make new connections online and offline. Back in 2007, two friends and I were planning a short holiday in Pamplona (northern Spain) to attend the famous San Fermín festival. It was a last minute decision and after trying many hotels and hostels we were unable to make a reservation, as they were all fully booked for those dates. We were on the verge of cancelling our trip, but I then checked loquo (Spanish site similar to craigslist or olx) and luckily we found someone who had a spare room available for rent. Before our arrival, we knew nothing about the person who was about to host us – we had no references from other people, no reviews from previous guests and no agency in between to make the transaction seem more trustworthy.

Pourquoi les pauvres ne votent pas en fonction de leur intérêt économique Qu'on se le dise: les citoyens économiquement les plus modestes ne sont pas toujours fans des politiques de redistribution. Du moins si l'on en croit leur vote. C'est ce que démontrent depuis plusieurs décennies les études électorales américaines. Et, de plus en plus fréquemment, les études électorales européennes. Comme le confirme Bruno Cautrès, chercheur au Cevipof (centre de recherches politiques de Science Po), «Depuis une trentaine d'années, la sociologie, autrefois déterminante dans l'explication du comportement électoral, n'explique plus qu'en partie le vote.» Ainsi Marine Le Pen (moyenne nationale: 17,9%) a réalisé un bon score chez les ouvriers où elle se place au même niveau que François Hollande (autour de 30%) au premier tour, alors que son programme propose plus d'exclure certains des minima sociaux que d'augmenter à proprement parler ces derniers. Quand les pauvres seront riches Quatre chercheurs américains, Ilyana Kuziemko, Michael I. Le pouilleux, c'est l'autre

Heidemarie Schwermer, le choix d'une vie sans argent Vivre sans argent ? Impossible direz vous. Et pourtant. Il y a 16 ans, Heidemarie Schwermer a fait ce choix. Ce qui ne devait être qu'une expérience de douze mois est devenu pour cette Allemande, aujourd'hui âgée de 69 ans, un véritable mode de vie. Un film, Living without money, de la Norvégienne Line Halvorsen, retrace d'ailleurs le parcours de cette ancienne institutrice, mère de deux enfants, qui a un jour décidé de s’alléger du matériel, rapporte le site Business Insider. Jamais Heidemarie Schwermer n'aurait crû pouvoir tenir si longtemps sans argent. Les prémices de cette idée un peu folle remontent au mois de mai 1996. Un constat qui choque cette femme, convaincue qu’il ne s’agit pas fondamentalement d’un manque de ressources, mais de leur mauvaise répartition. Cette femme énergique refuse de se résigner à cette situation de fait.

Austérité en Europe : Madrid mène la révolte | Rue89 Eco Le 14 novembre aurait pu être la journée d’un soulèvement syndical et populaire de l’Europe, en soutien de ses pays du Sud les plus affectés par la crise. En France, les cortèges n’étaient pas très fournis, mais très encartés. Manifestations monstres et troublées en Espagne, grève générale au Portugal, quelques blessés en Italie, calme relatif en Grèce. De cette journée de mobilisation contre les politiques d’austérité, on retiendra l’annonce que la croissance dans la zone euro devrait stagner (0,1%) en 2013. Récit d’une « journée européenne d’action et de solidarité » contre les politiques d’austérité. 18h50. 18h20. Violences entre policiers et manifestants en Espagne 18 heures. « La grève est inutile, parce qu’on a passé la journée à discuter des chiffres et de la violence, sans dédier une minute au pourquoi de la manifestation ni aux solutions » 17h10. 17 heures. 16h50. 16 heures. 15h20. Sur cette vidéo, des manifestants crient « Assassins, assassins ! Sur celle-ci, un homme raconte :

“La Co-Révolution est en marche… et elle est globale” Anne-Sophie Novel et Stéphane Riot, auteurs de Vive la Co-Révolution ! et membres de OuiShare sont en tournée sur les routes de France pour transmettre le virus du collaboratif. Nous les avons interrogé pour savoir si la « révolution collaborative » est effectivement en marche… Quel était l’objectif du livre ? Anne-Sophie Novel : Il s’agissait de faire le point entre de nombreuses observations effectuées depuis 2009 : en tant que blogueuse et ecolo-geek, je sens les interdépendances avec les écosystèmes vivants et numériques qui m’entourent. Partout je vois les dynamiques collaboratives se mettent en oeuvre. Qu’est ce que le « co » ? Anne-Sophie : C’est tout cela à la fois ! Certains sont plus au fait de cette tendance, plus concernés, mais ceux qui le sont moins restent également prédisposés à ces nouvelles logiques. Pourquoi la Co-« Révolution » ? Anne-Sophie : Ce n’est pas tant un choix médiatique que celui d’un terme englobant. Alors… let’s co ! Crédit illustration: xtof

2007-2015: une si longue récession Partager cet article En ce début d’année 2016, il n’est pas inutile de faire le point sur la situation économique de la zone euro, sur la base des dernières données publiées par Eurostat. Cela permettra également de répondre à plusieurs questions posées par les internautes à la suite de ma chronique « Changer l’Europe, maintenant« . Commençons par comparer la situation des pays de la zone euro, considérés globalement, à celle des Etats-Unis. On constate tout d’abord que la « grande récession » de 2007-2009, provoquée initialement par la crise américaine des subprimes et la faillite de Lehman Brothers en septembre 2008, a eu approximativement la même ampleur en Europe et aux Etats-Unis. La reprise commence courant 2009, et le niveau d’activité retrouve fin 2010-début 2011 quasiment le même niveau que celui de fin 2007. De ce point de vue, le graphique suivant est édifiant: On constate que la moyenne de la zone euro cache des réalités très différentes entre les pays de la zone.

Les nouveaux modes de solidarité SOCIAL • L'austérité pousse les Européens dans la rue Des centaines de milliers de personnes ont participé aux manifestations organisées dans toute l’Europe par la Confédération européenne des syndicats pour protester contre les politiques de rigueur. Pour la presse européenne, cette fatigue vis-à-vis de l’austérité remet en question la manière dont l’assainissement budgétaire est mené. presseurop.eu 15 novembre 2012 | Partager : Alors que les transports étaient paralysés dans plusieurs pays par des mouvements de grève, des affrontements ont eu lieu en Espagne, au Portugal et en Italie entre manifestants et forces de l’ordre. Pour El País, qui titre sur "les centaines de milliers de personnes” qui “exigent dans la rue que [le Premier ministre Mariano] Rajoy rectifie sa politique”, celle d’hier est une "protestation paneuropéenne […] contre le diktat de l'austérité" : "Dans plusieurs pays, on a assisté à des manifestations et des démonstrations, renforcées par des grèves partielles en Italie et en Grèce.

L'économie de la multitude ParisTech Review – Dans L’Âge de la multitude (Armand Colin, mai 2012), vous affirmez que la révolution numérique a déjà eu lieu, mais que la numérisation du monde économique et social continue, avec la diffusion de nouveaux modèles économiques et industriels. Les plateformes, véritables infrastructures du monde de demain, sont parfois aussi puissantes que les Etats, mais elles sont elles-mêmes tributaires de leurs échanges avec la multitude, qui est au centre du jeu. Qu’appelez-vous « la multitude » ? Henri Verdier – Nous avons repris ce concept à une tradition philosophique ouverte par Antonio Negri et Michael Hardt, reprise et développée en France par Yann Moulier-Boutang. Pour ces auteurs, la multitude succède au prolétariat. Nicolas Colin – Ce concept qui décrit parfaitement le nouveau monde social a un autre avantage : il nous permet de pallier les difficultés de traduction de ce que les Américains désignent par « People ». Est-ce du revenu libéré, ou de la destruction de valeur ?

A Proud Nation Ponders How to Halt Its Slow Decline Changing any country is difficult. But the challenge in France seems especially hard, in part because of the nation’s amour-propre and self-image as a European leader and global power, and in part because French life is so comfortable for many and the day of reckoning still seems far enough away, especially to the country’s small but powerful unions. The turning of the business cycle could actually be a further impediment in that sense, because as the European economy slowly mends, the French temptation will be to hope that modest economic growth will again mask, like a tranquilizer, the underlying problems. The French are justifiably proud of their social model. But in a more competitive world economy, the question is not whether the French social model is a good one, but whether the French can continue to afford it. But Mr. In May 1968, students at the University of Paris in Nanterre began what they thought was a revolution. “The young people march now to reject all reforms,” he said.

L’échange de services | Accorderie Les principes de base 1) Une heure de service rendu vaut une heure de service reçu Le principe de fonctionnement de base d’une Accorderie est qu’une heure de service rendu vaut une heure de service reçu, quels que soient la nature, la complexité ou l’effort reliés au service échangé. De l’aide pour faire le ménage vaut autant que du dépannage informatique, de la correction de textes, de la couture ou des conseils en décoration. 2) L’échange repose sur le temps et non l’argent La monnaie d’échange d’une Accorderie, c’est le temps et non l’euro. 3) Équilibre dans les échanges L’adhésion à une Accorderie implique, de la part de chaque Accordeur, une obligation morale vis-à-vis du groupe et une aptitude réelle à rendre service. 4) De l’échange et non du bénévolat Dans une Accorderie, le seul bénévolat est celui de la participation aux réunions du conseil d’administration. 5) Prise en charge de l’organisme par les Accordeurs De l’échange de services à trois niveaux

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