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? Learning centres ? : mod?le international de biblioth?que int?gr?e ? l?enseignement et ? la recherche ? ?ducnet

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FADBEN Jean-Yves CAPUL, sous-directeur des programmes d’enseignement, de la formation et du développement numérique, DGESCO Bénédicte ROBERT, chef du département de la recherche et du développement, de l’innovation et de l’expérimentation, DGESCO Nicolas DOMPNIER, professeur documentaliste Yves DEBIEN, proviseur de lycée honoraire Michelle CAINE, ia-ipr EVS, académie de Dijon Pierre DANEL, ia-ipr EVS, CTICE, académie de Clermont Ferrand Julien ROCHE, directeur du service commun de documentation, Université de Lille Jean-Jacques PELLE directeur de l’éducation, Conseil général du Finistère Jean-Charles RINGARD, directeur de l’éducation, Conseil régional des Pays de la Loire Modérateur : Pascal COTENTIN, ia-ipr, CTICE, CRDP de Versailles Pour vous, les » learning centres » à la française, c’est quoi et pourquoi vous intéressez-vous à ce concept ? Nicolas Dompnier, professeur documentaliste, cité internationale Grenoble Michèle Caine, ia-ipr EVS, académie de Dijon Quelles perspectives ?

Les CDI et l'ère du numérique. " Ce qui a le plus changé au cours des vingt dernières années concerne deux points essentiels qui remettent en cause le CDI : la dématérialisation/délocalisation, la complexification". Bruno Devauchelle revient sur le rôle pionnier des CDI dans l'informatisation. La montée en puissance de la numérisation et des réseaux remet en question le rôle des CDI. "Le numérique apporte de l'incertain de l'inattendu, de l'inconnu dans un univers, le monde scolaire, qui par définition tente de s'y opposer. Parmi les premières fonctions qui ont été informatisées au sein de l'établissement scolaire, le centre de documentation figure en bonne place. Dans cette mission de mise en contact direct avec les "documents", instituée en 1974, il y a quelque chose de précurseur. - Les livres, les supports traditionnels du savoir ont une matérialité lourde (de la pierre au papier, un livre reste lourd à transporter). Bruno Devauchelle Toutes les tribunes de B Devauchelle

« Learning centres : vers un modèle à la française » Les journées sur les learning centres organisées par Médiat Rhône-Alpes et le SCD de l’université de Lyon 1 ont été introduites par Suzanne Jouguelet, auteur du rapport « Les learning centres : un modèle international de bibliothèque intégrée à l’enseignement et à la recherche 1 ». Elle s’est risquée à proposer une définition, en rappelant que learning signifie apprentissage mais aussi appropriation des savoirs, et que le terme center implique qu’il s’agit d’un lieu central. En effet, un learning centre est un lieu que l’on se préoccupe d’aménager de façon accueillante et d’ouvrir largement, mais aussi un ensemble de services qui visent à faciliter l’acquisition de connaissances. Elle a rappelé également que le créateur du premier learning centre, Graham Bullpitt, considère que l’anticipation des besoins des usagers est fondamentale et que, par conséquent, il ne peut y avoir de modèle « prêt-à-porter ». De multiples comptes rendus d’expérience Pédagogie, recherche et documentation

Jeux sérieux dans l’éducation : les modèles sont encore à inventer Du 15 novembre 2011 au 12 mars 2012 le STEM Challenge est organisé aux Etats-Unis. Concours de création de jeux vidéo pour la communauté éducative américaine, il permet aux élèves de rivaliser d’imagination. Ces projets de création favorisent l’intégration des jeux sérieux dans la classe. Depuis le milieu des années 2000, la notion de jeu sérieux vise à renouveler les approches ludiques présentes traditionnellement dans le e-learning et le ludo-éducatif en prônant le respect du « gameplay ». Le jeu sérieux serait donc un bâtard fécond entre jeu vidéo et e-learning, qui, contrairement aux logiciels ludo-éducatifs, ferait la part belle au « game design ». Le concours de création de jeu vidéo mis en place aux Etats-Unis se nomme STEM Challenge car son principal objectif est de développer l’appétence des élèves pour les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques. Ces pratiques de création de jeux vidéo au sein de la communauté éducative connaissent un renouveau en France.

Les learning centres dans le secondaire : stratégie institutionnelle et enjeux pour la formation des élèves et l’identité de l’enseignant documentaliste - Table Ronde - Les Trois Couronnes - Didactique de l'Information Documentation 1. Le CDI-learning centre, une idée qui prend forme rapidement Une activité et des avancées conséquentes sont observables sur les terrains institutionnel (DGESCO, IPR-EVS, réseau CRDP) et professionnel (les académies). En témoignent, pour le moins, un séminaire ESEN en mars 2011, un vademecum DGESCO dont la sortie est annoncée en mars 2012, ainsi que de nombreuses communications de l’Inspection générale écrites, vidéos et orales sur le web et dans divers colloques. La communication de proximité est également importante : de multiples déplacements dans les académies (Amiens, Besançon, Rennes, Corse, Dijon, Poitiers, Strasbourg…) à la rencontre des professeurs-documentalistes, des directeurs de CDDP et même des collègues néotitulaires (les moins de 5 ans à Dijon, les moins de 7 ans à Strasbourg) pour impulser des initiatives auprès d’un public sans doute pressenti comme davantage ouvert à ce genre d’innovation. 2. Second repère : l’ancrage à la Vie scolaire. Conclusion

Pourquoi les jeux sérieux ne sont-ils pas plus répandus? (Article précédent) L’école résiste encore à la pédagogie du jeu. La perception que l’apprentissage doit passer par l’effort et la discipline personnelle reste ancrée. Dans sa recherche, European Schoolnet énumère 9 principaux obstacles à l’utilisation des jeux en pédagogie. « Les jeux sérieux sont encore peu ou pas connus dans le monde éducatif, souligne Yasmine Kasbi. Pour répondre à l’argument du coût habituellement évoqué, Samuelle Ducrocq-Henry croit que le recyclage d’environnements existants est une avenue à étudier. Les enseignants sont-ils prêts à faire le saut? On reproche aussi aux jeux sérieux de ne pas avoir été pensés pour le milieu éducatif et de manquer de conformité avec les programmes d’études. (Lire la suite du dossier)

Actualité - Learning center et CDI (suite) Toujours d’actualité, la conception de l’évolution du CDI en learning center voulue par l’inspection générale que nous avions signalée dans une brève : Learning center et CDI, est au coeur du débat qui anime la profession. Certains éléments peuvent éclairer les différents points de vue en présence. D’un côté la "démarche de ré-invention du CDI" avec la prise de position de la hiérarchie tout d’abord exposée pendant le (colloque de l’Esen sur les Learning Center ), puis représentée par la vision de l’avenir des CDI et des espaces scolaires développée dans un entretien de Jean-Louis Durpaire Inspecteur général de l’éducation nationale depuis 2002, président des Capes de documentation et celui de Jean-Pierre Veran IPR, vive-président du jury des CAPES externes et du concours de recrutement des CPE : Les CDI tardent-ils à entrer dans le monde du web 2.0 ? Une interview de JL Durpaire dans Educavox dans le cadre de Ludovia fin août 2011. Vive le learning center ! Mise à jour 9 janvier 2012

La recette du bon jeu sérieux "Un bon jeu sérieux maîtrise l'art de motiver les utilisateurs, tout en établissant un équilibre entre les objectifs de jeu et les objectifs d'apprentissage et en se concentrant fortement sur les contenus éducatifs pertinents". Voilà la position de Simon Engelfeldt-Nielsen, directeur de la compagnie Serious Games Interactive, au Danemark. Alors qu'il s'apprêtait à intervenir à la conférence Online Educa de Berlin en décembre dernier, il a accordé une entrevue pour la lettre d'information Check Point eLearning, dans laquelle il détaille sa vision de l'évolution du serious game ces dix dernières années, et ce qui fait actuellement un "bon" jeu sérieux. Un équilibre strict entre expérience de jeu et apprentissages D'après S. Engelfeldt-Nielsen jeu doit avant tout motiver son utilisateur par le biais d'une intrigue suffisamment riche et une bonne jouabilité. Un joueur immergé dans l'histoire, pour qu'elle ne reste pas un décor Serious Games Interactive existe depuis six ans.

Entretien avec David Aymonin sur le learning center: Le learning center est au centre de nombreuses interrogations. Quoi de mieux dès lors que d’interroger David Aymonin, celui qui dirigea le Rolex center et qui est aujourd’hui en Nouvelle Calédonie au SCD de Nouméa après après avoir été conservateur de bibliothèques en Métropole mais aussi responsable de diverses structures documentaires de par le monde. Vous trouverez ici quelques éléments sur lui, même s’ils sont déjà un peu anciens. En préambule à « l’interviouwe » qui va suivre, je voulais d’abord te remercier Olivier de m’avoir contacté dans ma lointaine contrée, désormais la Nouvelle Calédonie, pour me donner l’occasion de réfléchir et de m’exprimer sur le sujet des learning centers, en l’élargissant à celui des bibliothèques scolaires appelée chez nous CDI, et en me permettant de constater à quel point le monde entier est confronté aux mêmes questions, de l’Australie à la Nouvelle Zélande, en passant par la Finlande ou la Suisse. 1. 2. 3. – arriverait à jouer le jeu. 4. 6. 7. 8.

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