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1790

1790
Présentation - Mur des Fermiers Généraux (1785-1792) : 3 370 hectares; 600 000 habitants 1700-1725 Construction de nombreux hôtels faubourg Saint-Germain 1708-1709 Hiver glacial, la Seine gèle, on peut la traverser à pieds 1718 Hôtel d’Evreux (palais de l’Elysée), constructions d’hôtels faubourg Saint-Honoré 1720 Hôtel Matignon, rue de Varenne 1724 Prolongation des Champs-Elysées jusqu’à l’Etoile 1746 Hôpital des Enfants Trouvés, parvis de Notre-Dame (G. Carte sur fond de voirie actuelle cliquez ici Le Paris du XVIIIe siècle poursuit les grandes tendances en place au siècle précédent. Tout d’abord l’ouverture de la ville sur la campagne environnante et le développement des faubourgs. Ensuite l’extension irrésistible vers l’ouest : au sud, le faubourg Saint-Germain devient le quartier aristocratique par excellence alors que le Marais se marginalise ; au nord de la Seine le faubourg Saint-Honoré dépasse la Ville-l’Evêque et atteint le Roule. Le mur des Fermiers Généraux Voir aussi Sources

Plan de Turgot Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Contexte[modifier | modifier le code] En 1734, Michel-Étienne Turgot, alors à la tête de la municipalité parisienne (en tant que prévôt des marchands), décide de promouvoir l'image de Paris auprès des élites (parisiennes, provinciales et étrangères) en faisant réaliser un nouveau plan de Paris. Il confie à Louis Bretez, membre de l'Académie de Peinture et de Sculpture et professeur de perspective, le soin de lever et de dessiner le plan de Paris et de ses faubourgs. Par contrat, il lui est demandé une observation de grande précision et une reproduction très fidèle, il dispose même d'un mandat de visite l'autorisant à entrer dans les hôtels, les maisons et les jardins. Le cartographe devait contractuellement représenter en élévation églises, édifices, fontaines, places, monuments publics. Description[modifier | modifier le code] Le plan est orienté en direction du sud-est. Il couvre approximativement les actuels onze premiers arrondissements.

Paris vie quotidienne : les boulevards au XVIIIe siècle Les BOULEVARDS DE PARIS au XVIIIe siècle (D'après un article, paru en 1782) En moins de deux ans, Louis XIV avait fait aplanir et planter d'arbres tous les boulevards, depuis la porte Saint-Antoine jusqu'à l'entrée de la rue Royale, où se trouvait la nouvelle porte Saint-Honoré. Mais le Cours, comme on appelait alors ce vaste terrain, était encore revêtu de murs sur toute sa longueur, et quoique cette promenade fût déjà chère aux Parisiens, elle semblait toujours être en dehors de la ville, comme le sont aujourd'hui les boulevards du midi. Ce ne fut qu'à la fin du XVIIIe siècle, en l'année 1777, que l'on commença enfin à paver les boulevards, et à en combler les fossés, pour que des maisons pussent être élevées des deux côtés de la promenade. La belle société avait depuis longtemps abandonné le quartier du Marais ; et la place Royale, si brillante au siècle précédent, n'était plus peuplée que de bonnes d'enfants et de marchandes de citrons.

Histoire de l'hygiène et des excréments dans le Paris du XVIIIe Toujours à la recherche de pratiques d’écriture innovantes (!), Marine – qui tient le merveilleux blog « Raconte moi l’histoire – et moi-même avons décidé d’expérimenter un nouvel exercice, celui des billets croisés sur un même thème. La première expérience est odorante car nous traitons des excréments (sans commentaire) : Marine vous entretient ainsi de l’évacuation des excréments à travers l’histoire tandis que je vous parle de la difficulté de se soulager dans les rues de Paris au XVIIIe! Quand on s’intéresse à la vie de nos ancêtres, on ne se pose pas toujours les questions les plus triviales, et pourtant… Que se passait-il, quand, au XVIIIe ou au XIXe siècle, un homme du peuple avait une rage de dent ou quand une dame était prise d’une subite diarrhée? Pour répondre à cette dernière et odorante question, Louis-Sébastien Mercier nous offre quelques pistes. En 1790, on pisse à nouveau en plein air au Jardin des Tuileries. L. L. A lire aussi : WordPress: J'aime chargement…

Accueil - Bretez site officiel Médaille de cristal CNRS 2020 Merci au CNRS pour l'attribution de cette distinction, à l'InSHS pour la confiance et le soutien, à l'ensemble de mes collègues de la MSH LSE, ainsi que tous ceux qui partagent mes passions : Bretez, le paysage sonore, NOMADHISS et tous les autres projets auxquels je participe Le projet Bretez est un projet transversal et transdisciplinaire qui prend le sensible et le sensoriel comme vecteur complémentaire à la recontextualisation. Les innovations du concept : => la 5D (la 3D, le déplacement à la première personne et la prise en compte de la dimension sensible - le sonore) ; => la modélisation volumique riche en détails - tant pour les intérieurs que pour les extérieurs - et leur génération en temps réel ; Les innovations en matière d'édition scientifique : => nouveaux procédés éditoriaux de type hétérographique ; => nouveau média impliquant la réalité augmenté ; => nouveau support média impliquant l'immersion englobante spatialisée et interactive. Soif de lecture ?

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