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Trois mini définitions: tags, nuages de tags, folksonomie

Trois mini définitions: tags, nuages de tags, folksonomie

Jeff Jarvis : «Internet, c’est la vie ; et la vie, c’est le foutoir» Jeff Jarvis incarne bien la figure américaine de l’activiste de l’Internet. À 57 ans, ce journaliste new-yorkais, devenu professeur de «journalisme entrepreneurial» à la New York University, s’est imposé comme une référence de la blogosphère avec son site Buzzmachine. Il y dissèque les dernières tendances de la nouvelle économie et des médias à l’ère numérique. Libéral-libertaire comme on dirait en Europe, Jeff Jarvis se livre à un véritable éloge de la «publitude» dans le livre Tout nu sur le Web tout juste sorti (éditions Pearson). Vous avez quelque chose contre la protection de la vie privée en ligne ? Pas du tout, notre droit à la vie privée et au contrôle des informations nous concernant est un droit fondamental de l’être humain. Et qu’en fait-on ? J’ai eu un cancer de la prostate et j’ai décidé de l’annoncer publiquement parce que je pensais que cela pourrait m’aider. La «publitude», selon vous, vaut mieux que la «privacy»… Qui le conteste ? Ça sert à quoi, la «publitude» ?

Web social Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Web social[1] fait référence à une vision d'Internet considéré comme un espace de socialisation, un lieu dont l'une de ses fonctions principales est de faire interagir les utilisateurs entre eux afin d'assurer une production continuelle de contenu, et non plus uniquement la distribution de documents. Il est considéré comme un aspect très important du Web 2.0. Historique[modifier | modifier le code] En 1955, le terme Social Web apparait sous la plume de l'auteur C. Au début des années 1990, les idées associées à ce concept ont aussi été utilisées relative aux systèmes en ligne utilisés pour supporter les interactions sociales telles que les communautés virtuelles ou les MUD (ou Multi-user dungeon, qui sont les jeux de rôle en ligne multi-utilisateurs). L'évolution du web social[modifier | modifier le code] Blogs et wiki[modifier | modifier le code] L'art social[modifier | modifier le code] Le crowdsourcing[modifier | modifier le code]

Les folksonomies comme support émergent de navigation sociale et de structuration de l'information sur le web Multiplicité des politiques de structuration du web Depuis sa création au début des années 1990, le web a connu des évolutions importantes aussi bien sur un plan technique que sur celui des usages. Aujourd’hui, on recense plusieurs dizaines de milliards de pages web, pour plus de cent millions de sites web « indexables » à travers le monde, contre seulement 100 000 en 1996, soit six ans après sa création [5] hhttp :// www. worldwidewebsize. com/ – http ://fr.wikipedia.... [5] . L’évolution du taux d’équipement informatique, la démocratisation de l’accès à internet et le succès grandissant des sites de stockage et de partage de contenus intensifient le développement du web et viennent également modifier la nature des documents disponibles en ligne. Le web peut être décrit comme un espace documentaire dont l’organisation est anarchique et en évolution permanente. Dans un contexte de diffusion des nouvelles technologies, de numérisation croissante des « documents » [11] PEDAUQUE, 2003 S.A.

Web 2.0 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cartographie sensible du web 2.0 L'expression « Web 2.0 » désigne l'ensemble des techniques, des fonctionnalités et des usages du World Wide Web qui ont suivi la forme originelle du web[1]. Le Web 2.0 est donc l'évolution du Web vers l'interactivité à travers une complexification interne de la technologie mais permettant plus de simplicité d'utilisation, les connaissances techniques et informatiques n'étant pas indispensables pour les utilisateurs. L'expression « Web 2.0 » utilisée par Dale Dougherty (en) en 2003, diffusée par Tim O'Reilly en 2004 et consolidée en 2005 avec l'exposé de position « What Is Web 2.0 »[3] s'est imposée à partir de 2007. Présentation[modifier | modifier le code] Le Web 2.0 facilite l'interaction entre utilisateurs, le crowdsourcing et la création de réseaux sociaux rudimentaires, pouvant servir de contenu et exploitant les effets de réseau, avec ou sans réel rendu visuel et interactif de pages Web.

Qu'est-ce que le Web 2.0 ? Tim O'Reilly (version française) - JP JP Qu'est-ce que le Web 2.0 ? Tim O'Reilly (version française) 1- Le web en tant que plate-forme 2- Tirer parti de l'intelligence collective 3- La puissance est dans les données 4- La fin des cycles de release 5- Des modèles de programmation légers 6- Le logiciel se libère du PC 7- Enrichir les interfaces utilisateur Qu'est ce que le web 2.0 : modèles de conception et d'affaires pour la prochaine génération de logiciels. L'explosion de la bulle internet en 2001 a définitivement marqué un tournant dans l'histoire du web. Beaucoup de gens ont à ce moment considéré que le web était une technologie surévaluée alors qu'au contraire, le fait qu'une bulle se forme puis éclate est un trait commun à toutes les révolutions industrielles. exemples les principes qui sont d'une manière ou d'une autre à la base des succès du web 1.0 mais aussi des applications récentes les plus remarquables. 1 - Le web en tant que plate-forme largement déployés sur la toile. Netscape vs. DoubleClick vs. Akamai vs.

Blog Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un blog, anglicisme pouvant être francisé en blogue[1] et parfois appelé cybercarnet[2] ou bloc-notes, est un type de site web – ou une partie d'un site web – utilisé pour la publication périodique et régulière d'articles, généralement succincts, et rendant compte d'une actualité autour d'un sujet donné ou d'une profession. À la manière d'un journal de bord, ces articles ou « billets » sont typiquement datés, signés et se succèdent dans un ordre antéchronologique, c'est-à-dire du plus récent au plus ancien. Au printemps 2011, on dénombrait au moins 156 millions de blogs, et pas moins d'un million de nouveaux articles de blog publiés chaque jour[3]. On recensait en 2012, 31 millions de blogs aux États-Unis[4] alors que dans le monde on estime à 3 millions le nombre de blogs qui naissent chaque mois[5]. Étymologie[modifier | modifier le code] Formes francisées[modifier | modifier le code] Identité dans les blogs[modifier | modifier le code]

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