background preloader

Fond investissement banlieue

Fond investissement banlieue

LE CAPITAL-RISQUE SENSIBLE À LA BANLIEUE - Les Echos.fr La coopérative est l'avenir de l'entreprise LE MONDE | • Mis à jour le | Par Clémentine Autain, gérante de la société coopératice de production (SCOP) du mensuel "Regards" Là où la SNCF puis Louis Dreyfus Armateurs (LDA) ont renoncé, des salariés de Seafrance imaginent investir leurs indemnités de licenciement pour remettre à flot les navires qui relient la France à l'Angleterre. A l'imprimerie Hélio-Corbeil, dans l'Essonne, on s'apprête à sauver une centaine d'emplois par la reprise de l'activité en société coopérative ouvrière de production (SCOP). Les salariés de Fralib (Unilever), qui fabriquaient le thé Lipton, planchent sur une société coopérative d'intérêt collectif (SCIC), qui permet d'associer salariés, collectivités publiques et entreprises privées. La coopérative se rêve, se discute, se construit. L'idée de créer une société coopérative et participative apparaît de plus en plus comme une solution envisagée par les salariés d'entreprises menacées. Je comprends que, à Seafrance et ailleurs, certains hésitent.

Racaille, millionnaire, philanthrope (qui est Rodolphe Pedro) - Stafed Racaille, millionnaire, philanthrope (qui est Rodolphe Pedro)de : Stafed mercredi 14 octobre 2009 - 12h37 2 commentaires Singulier destin que celui Rodolphe Pedro, né en Suisse puis élevé dans les banlieues françaises, renvoyé de l’école à 16 ans et porteur aujourd’hui d’un projet d’université de la finance dans les quartiers, qui ouvre jeudi à Lyon. Sa société de conseil en patrimoine est la première en France, avec 105 collaborateurs. 80% sont issus de l’immigration, 90% n’ont pas de diplôme. « Vous dites que personne ne vous a donné la chance de montrer de quoi vous êtes capables. L’homme qui s’exprime ainsi devant un parterre très bigarré s’appelle Rodolphe Pedro et a connu un destin singulier, si destin est le mot qui convient pour un personnage qui a tant lutté contre la fatalité. Lassé de prendre des coups, Rodolphe se met à les rendre, au détriment de ses résultats en classe. Rodolphe Pedro met six mois à remonter une entreprise de spectacle à Lyon.

Changer de banque pour changer la banque Àquoi sert l’argent que nous déposons dans les banques ? Changer de banque est-il possible ? Et sur quels critères ? Existe-t-il un établissement financier idéal ? Beaucoup se posent ces questions après la mise en lumière des terrifiantes spéculations auxquelles s’adonnent les grandes banques, et de leur rôle néfaste dans la crise de 2008. C’est pour y répondre que Politis vous propose un classement de ces établissements, du plus éthique au plus toxique, fondé sur les données les plus récentes issues d’organisations non-gouvernementales. L’utilité du service bancaire n’est donc pas mise en question. Choisir une banque davantage éthique est donc nécessaire – et possible – mais pas suffisant. Rodolphe Pedro : Des quartiers au monde de la finance - Pas de quartier pour le chomage Le parcours de Rodolphe Pedro a de quoi faire rêver. A 37 ans, il est à la tête de la CFCI , 1ère compagnie financière indépendante de France, et gère plus d’un milliard d’euros pour le compte de ses clients. Un sacré chemin parcouru pour ce petit gars des quartiers, déscolarisé à 16 ans. Une histoire de chance ? Certainement pas ! « Ma réussite, je ne la dois qu’à moi-même. Démocratiser les métiers de la finance Mais l’itinéraire de Rodolphe Pedro ne s’arrête pas à sa réussite personnelle. Aujourd’hui, Rodolphe Pedro voit plus large. Lancement d’UNIFI à Lyon, au mois d’octobre La première promotion d’UNIFI fera donc sa rentrée au mois d’octobre, à Lyon, dans les locaux de l’IDRAC. Un discours qui vous donne des idées ? > Pour en savoir plus sur la formation proposée par l’UNIFI et les modalités d’inscription : > Pour en savoir plus sur la CFCI et ses activités:

Crédit coopératif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Groupe Crédit coopératif Le Crédit coopératif est une banque coopérative française. Le Crédit coopératif exerce l’ensemble des services bancaires classiques. Le Groupe Crédit coopératif comprend le Crédit coopératif, ses filiales et ses établissements de crédit associés. Histoire du Groupe[2][modifier | modifier le code] Le Groupe Crédit coopératif a deux origines : la Banque coopérative des associations ouvrières, et la Caisse centrale de crédit coopératif. Organisation[modifier | modifier le code] Une banque coopérative[modifier | modifier le code] Le Crédit coopératif est régi, principalement, comme coopérative par la législation coopérative[9], et en tant que banque, par le Code monétaire et financier. Son capital est apporté à 80 % par ses clients ; la totalité des droits de vote en Assemblée générale est détenue par ses clients-sociétaires, des personnes morales, qui votent selon le principe coopératif « une personne, une voix ».

Solutions fournisseur - b-process, expert en facturation lectronique et d mat rialisation fiscale Les sites collaboratifs réclament le soutien de Bercy Ce sont des entreprises d'un nouveau genre. Des enteprises du numérique, des sites internet qui proposent des services entre particuliers : co-voiturage, location de logements ou dîner chez l'habitant, échange d'appartements, mutualisation d'achats, etc Ces entrepreneurs se sont réunis, mardi 25 juin, à Bercy pour un "BercyJam" au cours duquel ils ont pu faire part de leurs besoins et doléances à Fleur Pellerin. Des demandes multiples Création d'un statut à part entière, labellisation, fiscalité ad hoc (TVA réduite) pour les sociétés et clarification pour les utilisateurs (franchise fiscale), aide au financement par le biais de prêts participatifs et/ou incitations en direction des investisseurs : les demandes ont fusé. "Allez-y, c'est Noël", a lancé l'un des participants à ses acolytes lorsqu'il s'est agit de suggérer à l'Etat comment aider financièrement ces entreprises d'un nouveau genre. Des fablabs lancés cet automne Des avantages pour les consommateurs

Fiche de paie lectronique : int r t et mise en oeuvre - AgoraVox le m dia citoyen Le Code du Travail permet à l’employeur de remettre le bulletin de paie du salarié "sous forme électronique" : Y a-t-il réellement une modernisation du droit social ? Intérêt et mise en oeuvre du bulletin de paie électronique par Antoine JUILLARD Master II en droit - GestionDeLaPaie.Com Sommaire : La loi n° 2009-526 du 12 mai 2009 de simplification et de clarification du droit et d’allégement des procédures a modifié les articles L3243-2 et L3243-4 du code du travail. La nouvelle rédaction de l’article L3243-2 permet à l’employeur de remettre le bulletin de paie du salarié « sous forme électronique, dans des conditions de nature à garantir l’intégrité des données ». La dématérialisation des procédures et l’action écologique étant très à la mode, il était évident que le bulletin de paie devait se dématérialiser pour prendre une forme électronique. Que doit-on en penser ? I) L’accord préalable du salarié II) Une mise en oeuvre plus compliquée qu’il n’y paraît III) Les risques du système d’E-coffre

How Innovation is Changing and What’s Changing Innovation [Video] It’s not often that an executive of a company that helps its clients become more innovative tells an audience to slow down innovation. But that’s exactly the message Narinder Singh, cofounder and chief strategy officer at Appirio, delivered at Massolution NYC 2013. Before our readers take the advice to heart and pull the breaks on their innovation programs, hear out Singh’s message in its entirety. “There is a merit to slowing down innovation,” he explained. Related:- Massolution NYC 2013 Presentations Now on YouTube- Appirio Acquires TopCoder to Bolster its CloudSpokes Developer Community - Slowing Down Innovation by Increasing Relative Speed Singh goes back to the early 20th century to chronicle the fate of innovations that were a generation behind (hint: they failed), and discusses the ways to avoid making the same mistakes.

Les polos de la réussite - Conte de Noël - Sophie Fay - Economie - nouvelobs.com mars 2010 Depuis le temps que je travaille, j'en ai vu passer des boss. Des compétents, des enthousiastes, des fédérateurs, des amuseurs, mais aussi des dilettantes, des autoritaires, des manipulateurs, des lâches, j'en passe et des meilleures (ou des pires). Récemment, j'ai été amenée à me poser la question : mais qu'est-ce qui fait un bon patron ? Pas juste un manager d'équipe, mais un chef, quelqu'un qui gère à la fois une structure et qui est amené à prendre des décisions cruciales. Un bon patron, c'est d'abord quelqu'un qui assume ses responsabilités. Qui prend des décisions impopulaires, mais qui sait les expliquer pour ne pas se mettre tout le monde à dos. Qui n'a pas peur d'aller au front et ne se cache pas derrière un conseil d'administration ou des principes rigides. Qui, malgré des vents contraires, donne toujours l'impression qu'il gère la situation. Un bon patron, c'est quelqu'un qui écoute. Ce n'est pas un petit chef qui ordonne sans justifier. La réponse est oui.

Related: