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LerrybeRit, l'Infaux qui Rit

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Sud-ou-est.fr Le Sprat Enchaîné 22 sites canulars pour travailler l'esprit critique Sélection de sites canulars permettant un travail avec les élèves dans le cadre de l’EMI. La vie du Dauphin Du vrai et du faux ! A toi de décrypter l’information... Voir : La poudre verte Descriptif présent sur le site, avec les fautes d’orthographe en prime ! Voir : La vidange du lac d’Annecy La première vidange du deuxième lac de France en plus de soixante ans, l’opération s’est déroulée sans anicroches en février et marsVoir : Saint Pixel Toute la vie du moine enlumineur Saint-Pixel.Voir : La désencyclopédie La source en pleine évolution d’informations utiles et fiables, entièrement écrite par des singes savants.Voir : Le Saint Empire d’Alnéae État indépendant et souverain, formant des monarchies constitutionnelles héréditaires dans la Maison de Juergs-Waltha.Voir : Une source de cacao naturel en Belgique

Un ado découvre une cité maya William Gadoury, un adolescent de Saint-Jean-de-Matha dans Lanaudière, est devenu une petite vedette à la NASA, à l’Agence spatiale canadienne et à l’Agence spatiale japonaise, alors que sa découverte est sur le point d’être diffusée dans une revue scientifique. Passionné des Mayas depuis plusieurs années, il a analysé 22 constellations mayas et s’est aperçu que s’il reliait sur une carte les étoiles des constellations, la forme de chacune d’entre elles correspondait au positionnement de 117 cités mayas. Aucun scientifique n’avait encore découvert une telle corrélation entre les étoiles et l’emplacement des villes mayas. Le génie de William a cependant été d’analyser une 23e constellation. Celle-ci contenait trois étoiles et seulement deux cités correspondaient sur la carte. Selon sa théorie, il aurait donc dû y avoir une 118e cité maya dans un endroit reculé et inaccessible dans la péninsule du Yucatan, au Mexique. Une des 5 plus grosses cités «C’est toujours une question d’argent.

Les sites parodiques, du rire à l’intox Derrière l’humour, certains sites contribuent parfois à la circulation de fausses informations. Malgré eux ou à cause d’eux ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Adrien Sénécat Le second degré est toujours un exercice délicat. Des articles manipulés à des fins politiques Lundi 24 avril, au lendemain du premier tour de la présidentielle française, les compteurs d’audience du Gorafi s’affolent. Deux jours plus tard, l’ex-ministre de l’économie est pris à partie par des salariés de l’usine Whirlpool d’Amiens au sujet de cette citation apocryphe. « Cet article nous a échappé », reconnaît Sébastien Liebus, cofondateur du Gorafi. « C’est arrivé d’un coup et je n’arrivais pas à savoir d’où ça venait. Le problème s’est également posé aux Etats-Unis lors de la présidentielle de 2016, avec la diffusion massive d’articles prétendant que le pape François soutiendrait Donald Trump. Des blagues détournées par des sites sensationnalistes Des personnalités et des médias qui se font avoir

Non, les "minions" n'ont pas été inventés par les nazis C'est évidemment une fausse rumeur, mais elle a tout de même été partagée à des milliers de reprises en un mois : les personnages des "minions" s'inspirent d'expériences "scientifiques" des nazis. Tout est parti d'une photo en noir et blanc relayée sur Facebook. On y voit des personnes porter des combinaisons qui ressemblent effectivement à l'apparence des petits personnages jaunes. Le texte qui accompagne la photo explique en substance que leurs créateurs se sont directement inspirés de l'histoire de la photo. Il s'agirait d'enfants juifs sur lesquels des scientifiques nazis faisaient des expériences. Pourquoi c'est faux La photo en question a été prise en 1908.

Save The Pacific Northwest Tree Octopus Help Save The ENDANGERED From EXTINCTION! The Pacific Northwest Tree Octopus Rare photo of the elusive tree octopus The Pacific Northwest tree octopus (Octopus paxarbolis) can be found in the temperate rainforests of the Olympic Peninsula on the west coast of North America. An intelligent and inquisitive being (it has the largest brain-to-body ratio for any mollusk), the tree octopus explores its arboreal world by both touch and sight. Reaching out with one of her eight arms, each covered in sensitive suckers, a tree octopus might grab a branch to pull herself along in a form of locomotion called tentaculation; or she might be preparing to strike at an insect or small vertebrate, such as a frog or rodent, or steal an egg from a bird's nest; or she might even be examining some object that caught her fancy, instinctively desiring to manipulate it with her dexterous limbs (really deserving the title "sensory organs" more than mere "limbs",) in order to better know it. Why It's Endangered

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